Quand Takagi Me Taquine Vol.13 - Actualité manga
Quand Takagi Me Taquine Vol.13 - Manga

Quand Takagi Me Taquine Vol.13 : Critiques

Karakai Jôzu no Takagi-san

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 22 Octobre 2021

Takagi n'est jamais en panne d'inspiration pour taquiner son Nishikata adoré... mais voici déjà un long moment que Nishikata lui-même s'est laissé prendre au jeu, en tâchant encore et toujours de lancer des défis à la jeune fille dans l'espoir de la prendre à son propre piège ! Mais malheureusement pour lui, l'espiègle et mignonne Takagi a un don pour lire en lui, a donc toujours un coup d'avance, et ne se prive jamais pour en profiter, comme le prouvera encore ce 13e volume au fil de 9 nouveaux chapitres globalement indépendants.

Après un premier chapitre un peu original puisque Soîchirô Yamamoto propose une histoire entièrement muette mais claire où Nishikata essaie d'anticiper la présence de Takagi, le mangaka déroule son petit lot habituel de petites scènes où, quand c n'est pas Takagi qui vient taquiner Nishikata, c'est le jeune garçon qui lui lance des défis qu'il croit bien pensés. Nishikata qui veut marcher jusqu'au sanctuaire sans marcher sur la route pour être sûr d'avoir un bon présage mais qui tombe forcément sur Takagi, puis qui est pris en flagrant délit de "gagatisme" sur le chien des voisins alors qu'il veut essayer de paraître mature pour impressionner la jeune fille, un oubli de cahier à l'école qui va finir par entretenir les rumeurs de couple entre nos deux personnages principaux, une partie de "juste prix" où il y a un piège, une journée à la plage entre amis qui va devenir un peu gênante pour notre héros, une course à pieds qui va se finir en joli coucher de soleil presque romantique...

Le fait est que l'auteur en manque toujours pas de petites idées dans les défis et taquineries où, toujours, Nishikata perd ou se retrouve dans l'embarras. Et c'est toujours aussi vrai dans ce tome où, parfois, la mignonne et malicieuse collégienne montre plus que jamais son don pour les sous-entendus, en laissant toujours mieux transparaître ses vrais sentiments sans que Nishikata n'ose vraiment les relever, tant il ne sait jamais sur quel pied danser exactement avec son amie.

Et une nouvelle fois, il n'en faut donc pas plus pour passer un bon petit moment. Mien de rien, il faut le faire pour se renouveler pendant autant de volumes sur un concept de ce genre, et de ce côté-là Soîchirô Yamamoto s'en tire toujours correctement.
  

Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs