Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 08 Août 2016
L'experte polyvalente Riko Rinda se lance à nouveau dans une affaire bien différente des précédentes, et s'immisce quelque peu dans le monde de la peinture en décidant de participer au recrutement visant à dénicher un conservateur temporaire pour la Joconde, qui doit être exposée au Japon pour la première fois depuis une quarantaine d'années. Pour cela, elle doit se rendre à Paris, toujours suivie par Yûto Ogasawara, afin d'y passer un test tout sauf banal. Mais même une fois ce test passé avec succès, c'est une formation encore plus étonnante qui l'attend : sous les ordres du dénommé Mr Bret, et en compagnie d'une certaine Risa Ryûsenji qui a elle aussi été retenue, il lui faudra, dans les semaines à venir, s'entraîner à reconnaître sans se tromper la vraie Joconde parmi plusieurs faux tableaux.
Essentiellement consacré à la formation de Riko et Risa, ce tome s'avère plaisant dans sa façon de mettre en avant le célèbre tableau de Léonard de Vinci. A force de tenter de dénicher le vrai des faux, Riko est amenée à en apprendre un peu plus sur certaines légendes et spécificités du tableau, ce qui ne fait que renforcer l'immersion. A contrario, on regrettera un petit peu que les analyses du tableau en lui-même ne soient pas un peu plus mises en évidence, mais au moins cela évite à coup sûr au récit de devenir trop lourd à lire.
Egalement, on appréciera le travail assez honnête effectué sur Bret et Risa, les deux autres personnages centraux de ce tome qui s'avèrent bien campés tout en ne se dévoilant pas trop. Tout est fait pour faire évoluer Riko sereinement et avec implication dans sa formation, et l'on saluera alors les dessins qui savent toujours aussi bien dégager la palette d'émotions de la jolie jeune fille.
Mais le lecteur attentif peut le deviner via certains dessins, cette formation casse forcément autre chose. Une chose qui finira par bousculer Riko jusque dans ses talents d'experte, dans une fin de tome peut-être un poil rapide mais restant très efficace, d'autant qu'elle fait également intervenir un personnage charismatique de l'affaire précédente, personnage que l'on est franchement heureux de ne pas voir oublié.
C'est bien la fin du tome qui lance les choses en promettant de confronter Riko à un nouvel adversaire qui risque d'être assez délicat à faire tomber. En attendant la suite, ce volume offre des "préparatifs" qu'il était indispensable de présenter avant de passer aux choses sérieuse, et Chizu Kamikou s'en sort très bien.
Essentiellement consacré à la formation de Riko et Risa, ce tome s'avère plaisant dans sa façon de mettre en avant le célèbre tableau de Léonard de Vinci. A force de tenter de dénicher le vrai des faux, Riko est amenée à en apprendre un peu plus sur certaines légendes et spécificités du tableau, ce qui ne fait que renforcer l'immersion. A contrario, on regrettera un petit peu que les analyses du tableau en lui-même ne soient pas un peu plus mises en évidence, mais au moins cela évite à coup sûr au récit de devenir trop lourd à lire.
Egalement, on appréciera le travail assez honnête effectué sur Bret et Risa, les deux autres personnages centraux de ce tome qui s'avèrent bien campés tout en ne se dévoilant pas trop. Tout est fait pour faire évoluer Riko sereinement et avec implication dans sa formation, et l'on saluera alors les dessins qui savent toujours aussi bien dégager la palette d'émotions de la jolie jeune fille.
Mais le lecteur attentif peut le deviner via certains dessins, cette formation casse forcément autre chose. Une chose qui finira par bousculer Riko jusque dans ses talents d'experte, dans une fin de tome peut-être un poil rapide mais restant très efficace, d'autant qu'elle fait également intervenir un personnage charismatique de l'affaire précédente, personnage que l'on est franchement heureux de ne pas voir oublié.
C'est bien la fin du tome qui lance les choses en promettant de confronter Riko à un nouvel adversaire qui risque d'être assez délicat à faire tomber. En attendant la suite, ce volume offre des "préparatifs" qu'il était indispensable de présenter avant de passer aux choses sérieuse, et Chizu Kamikou s'en sort très bien.
02/03/2018 