Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 06 Juin 2023
Notre petit groupe se trouve face à Ôkuninushi, le dieu des dieux. Il leur indique que dame Koto se trouve sur la lune. Il leur remet un objet qui leur permettra apparemment d'entrer en contact avec Tsukuyomi, un dieu céleste qui devrait leur ouvrir la voie. Arriveront-ils à retrouver dame Koto ?
Bon, et bien que dire de plus si ce n'est que cette série devient, au fur et à mesure des tomes, une véritable dinguerie. La série ne fait que s'étoffer, certaines questions trouvent réponses, et d'autres surgissent. On ne fait que se rendre compte que la série nous réserve encore de très TRES nombreuses surprises. Mais revenons sur ce qui se passe dans ce tome.
Nos trois compères, sur le chemin du sanctuaure de Tsukuyomi, tombe sur un village de cornus, des personnes ayant subit la même malédiction que Zen. Dans ce village se trouve également un ancien moine qui voulait d'abord enquêter sur l'origine de cette malédiction, avant d'avoir pris pour compagne l'une d'entre elle. Leur bébé n'est d'ailleurs pas maudit, ce qui soulève encore quelques questions sur ce mal. Bien évidemment, ce petit intermède nous montre que Miyo est bien plus attachée à Zen qu'on aurait pu le croire. Elle sera d'ailleurs ravie de voir Zen reprendre la route auprès d'eux. Puis, nous voilà arrivé dans le sanctuaire de Tsukuyomi. Et leur arrivée dans ce sanctuaire est tout bonnement légendaire. Kenji Tsurubuchi s'évertue vraiment à donner une identité à chaque sanctuaire, et à rendre ces lieux vraiment mythiques. Et là, il s'est clairement surpassé. Les deux pages de leur arrivée est d'une simplicité, et d'une efficacité redoutable. Et avant l'apparition du Dieu, on a totalement compris que celui-ci est très certainement bien plus puissant que les précédents rencontrés. La conversation qui suivra sera d'ailleurs tout aussi intéressante, amenant une solution pour se rendre sur la lune, mais augmentant le mystère autour de la malédiction des démons humains. Pourquoi sont-ils les seuls à être touchés ?
Nos trois héros empruntent donc le miroir de Tsukuyomi mais un seul arrivera jusqu'à la lune : Zen ! Le seul qui avait un vœu bien précis. Petit problème : c'est un autre de ses comparses qui devait faire le vœu pour qu'ils puissent rentrer chez eux. Que va-t-il donc faire ?
En no Ozuno se retrouve à Ômi, la capitale impériale, où il va se retrouver impliquer dans les luttes de pouvoir impliquant la succession de l'empereur. Et enfin, Miyo se retrouve à se faire passer pour la disciple du maître d'En no Ozuno. Un personnage hautement énigmatique qui s'est déjà érigé contre nos héros plusieurs fois... Arriveront-ils à tous se retrouver ?
« Primal Gods in Ancient times » ne cesse de confirmer son excellence. Que ce soit au niveau de son, de son dessin ou de sa mise en scène, tout est de qualité. Je souhaite qu'une autre chose : découvrir la suite, le plus rapidement possible. Mais il va falloir maintenant être patient : la série est à un rythme de parution d'un tome par an, et Vega a quasiment rejoint les sorties japonaises. Bref, si on peut s'attendre à avoir le sixième tome d'ici quelques mois, il faudra ensuite s'armer de patience pour la suite. Le temps va nous paraître bien long...
Bon, et bien que dire de plus si ce n'est que cette série devient, au fur et à mesure des tomes, une véritable dinguerie. La série ne fait que s'étoffer, certaines questions trouvent réponses, et d'autres surgissent. On ne fait que se rendre compte que la série nous réserve encore de très TRES nombreuses surprises. Mais revenons sur ce qui se passe dans ce tome.
Nos trois compères, sur le chemin du sanctuaure de Tsukuyomi, tombe sur un village de cornus, des personnes ayant subit la même malédiction que Zen. Dans ce village se trouve également un ancien moine qui voulait d'abord enquêter sur l'origine de cette malédiction, avant d'avoir pris pour compagne l'une d'entre elle. Leur bébé n'est d'ailleurs pas maudit, ce qui soulève encore quelques questions sur ce mal. Bien évidemment, ce petit intermède nous montre que Miyo est bien plus attachée à Zen qu'on aurait pu le croire. Elle sera d'ailleurs ravie de voir Zen reprendre la route auprès d'eux. Puis, nous voilà arrivé dans le sanctuaire de Tsukuyomi. Et leur arrivée dans ce sanctuaire est tout bonnement légendaire. Kenji Tsurubuchi s'évertue vraiment à donner une identité à chaque sanctuaire, et à rendre ces lieux vraiment mythiques. Et là, il s'est clairement surpassé. Les deux pages de leur arrivée est d'une simplicité, et d'une efficacité redoutable. Et avant l'apparition du Dieu, on a totalement compris que celui-ci est très certainement bien plus puissant que les précédents rencontrés. La conversation qui suivra sera d'ailleurs tout aussi intéressante, amenant une solution pour se rendre sur la lune, mais augmentant le mystère autour de la malédiction des démons humains. Pourquoi sont-ils les seuls à être touchés ?
Nos trois héros empruntent donc le miroir de Tsukuyomi mais un seul arrivera jusqu'à la lune : Zen ! Le seul qui avait un vœu bien précis. Petit problème : c'est un autre de ses comparses qui devait faire le vœu pour qu'ils puissent rentrer chez eux. Que va-t-il donc faire ?
En no Ozuno se retrouve à Ômi, la capitale impériale, où il va se retrouver impliquer dans les luttes de pouvoir impliquant la succession de l'empereur. Et enfin, Miyo se retrouve à se faire passer pour la disciple du maître d'En no Ozuno. Un personnage hautement énigmatique qui s'est déjà érigé contre nos héros plusieurs fois... Arriveront-ils à tous se retrouver ?
« Primal Gods in Ancient times » ne cesse de confirmer son excellence. Que ce soit au niveau de son, de son dessin ou de sa mise en scène, tout est de qualité. Je souhaite qu'une autre chose : découvrir la suite, le plus rapidement possible. Mais il va falloir maintenant être patient : la série est à un rythme de parution d'un tome par an, et Vega a quasiment rejoint les sorties japonaises. Bref, si on peut s'attendre à avoir le sixième tome d'ici quelques mois, il faudra ensuite s'armer de patience pour la suite. Le temps va nous paraître bien long...
16/02/2024 
