Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 05 Janvier 2021
Diego de Almagro, Francisco Pizarro, Hernan Cortès: telle est l'identité des trois Conquistadors, revenants inspirés des hommes espagnols éponymes qui ont semé tant de troubles à l'époque de la violente conquête de l'Amérique du Sud. Ces trois hommes aux pouvoirs puissants ont déjà éradiqué de larges armées sans grande difficulté, obligeant dès lors plusieurs anciens membres de l'armée des criminels à intervenir pour leur faire face, en plein désert du Sahara. mais c'est dans ce contexte déjà turbulent que surgit soudainement une membre de la Forêt des grands hommes, visiblement bien décidée à provoquer encore plus le chaos...
Et dans ce neuvième volume de Pétales de Réincarnations, cette nouvelle venue dans la bataille a tendance à largement venir voler la vedette à bien d'autres visages, en tête desquels les Conquistadors, ce qui pourra éventuellement décontenancer un peu... sans pour autant signifier que le récit perd en intérêt, loin de là !
L'action bat bien souvent son plein au fil des ces 190 nouvelles pages, et en figure de proue de celle-ci on trouve assurément Haito revenante qui ne plaisante clairement pas avec son pouvoir de vision extrêmement affutée, faisant qu'elle peut littéralement tout voir. Toute attaque semble vouée à l'échec face à un tel talent... Et en plus, quelle est cette chose noire autour d'elle ? Quoi qu'il en soit, pour espérer la vaincre, il faudrait éventuellement utiliser sa tête, trouver l'astuce, la faille dans ses capacités... Mais est-ce que cela serait suffisant ?
Assez vite dans le tome, la situation se voit ponctuée d'une donne supplémentaire qui rajoute encore plus de piquant et qui concerne Einstein, figure qui, une nouvelle fois, ne manque pas de surprises ici, tout en intriguant assez pour la suite. Et en parallèle, Mikihisa Konishi n'oublie pas bien d'autres visages: des bien connus comme Nightingale et Newton, mais aussi des plus discrets voire des nouveaux comme Gottfried Von Berlichingen, Kôtarô Honda, Wallace Carothers, Joshua Norton, August Ferdinand Möbius et Henri Dunant, bien sûr tous dotés d'un talent en lien avec la figure historique éponyme. Mais cette fois-ci, la mangaka va un peu vite en besogne, tant la plupart de ces personnages donnent pour le moment l'impression d'être sous-exploités.
Le récit confond parfois un peu le rythme et la précipitation, mais au bout du compte Pétales de Réincarnations pique toujours autant a curiosité. Malgré certaines maladresses, Mikihisa Konishi livre un résultat toujours aussi rythmé et entraînant, donnant assez facilement envie de voir de quoi la suite sera faite.
Et dans ce neuvième volume de Pétales de Réincarnations, cette nouvelle venue dans la bataille a tendance à largement venir voler la vedette à bien d'autres visages, en tête desquels les Conquistadors, ce qui pourra éventuellement décontenancer un peu... sans pour autant signifier que le récit perd en intérêt, loin de là !
L'action bat bien souvent son plein au fil des ces 190 nouvelles pages, et en figure de proue de celle-ci on trouve assurément Haito revenante qui ne plaisante clairement pas avec son pouvoir de vision extrêmement affutée, faisant qu'elle peut littéralement tout voir. Toute attaque semble vouée à l'échec face à un tel talent... Et en plus, quelle est cette chose noire autour d'elle ? Quoi qu'il en soit, pour espérer la vaincre, il faudrait éventuellement utiliser sa tête, trouver l'astuce, la faille dans ses capacités... Mais est-ce que cela serait suffisant ?
Assez vite dans le tome, la situation se voit ponctuée d'une donne supplémentaire qui rajoute encore plus de piquant et qui concerne Einstein, figure qui, une nouvelle fois, ne manque pas de surprises ici, tout en intriguant assez pour la suite. Et en parallèle, Mikihisa Konishi n'oublie pas bien d'autres visages: des bien connus comme Nightingale et Newton, mais aussi des plus discrets voire des nouveaux comme Gottfried Von Berlichingen, Kôtarô Honda, Wallace Carothers, Joshua Norton, August Ferdinand Möbius et Henri Dunant, bien sûr tous dotés d'un talent en lien avec la figure historique éponyme. Mais cette fois-ci, la mangaka va un peu vite en besogne, tant la plupart de ces personnages donnent pour le moment l'impression d'être sous-exploités.
Le récit confond parfois un peu le rythme et la précipitation, mais au bout du compte Pétales de Réincarnations pique toujours autant a curiosité. Malgré certaines maladresses, Mikihisa Konishi livre un résultat toujours aussi rythmé et entraînant, donnant assez facilement envie de voir de quoi la suite sera faite.