Partners 2.0 Vol.10 - Manga

Partners 2.0 Vol.10 : Critiques

Kouiu no Gaii

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 04 Décembre 2025

Les très agités et complices moments cochons passés à deux par Murata et Tomoka continuent de plus belle dans ce dixième volume où, dans une atmosphère tranquille et entre les discussions où ils se montrent toujours autant en osmose, ils ont toujours autant l'occasion de s'essayer à des pratiques pendant lesquelles, mine de rien, ils ont à chaque fois l'impression de se redécouvrir. Cuisiner nue sous un tablier ou faire l'amour tout en jouant aux jeux vidéo sont, entre, les fantasmes classiques qu'ils assouvissent ici. On aurait éventuellement pu tiquer sur ce que ce cher Muratang fait à un moment, pendant que Tomoka est endormie, mais bon, vu que même la jeune femme avoue ensuite qu'elle est d'accord et qu'elle est même curieuse de savoir ce que ça fait de passer à l'acte quand elle dort, on va dire que tout va bien, finalement.

Néanmoins, le duo principal de la série passerait presque au second plan ici, étant donné que la majorité du tome voit Souryu jouer plutôt sur la relation amicale que ses quatre principaux personnages féminins ont commencé à nouer... relation qui risque bien de prendre un virage plus intime que jamais sous l'impulsion d'une Tomoka qui a une idée bien précise en tête: sortir avec ses deux copines Imashita et Shimotsuki ainsi qu'avec sa soeur Tokuko, les inciter à acheter des maillots de bain très suggestifs, finir la soirée chez cette chère Imashita, et profiter des "bienfaits" de l'alcool pour que chacune se laisse aller à l'essayage desdits maillots puis à aussi se mettre à nu sur certains sujets coquins, à commencer par leurs désirs, leurs fantasmes et leurs pratiques pour se faire plaisir toutes seules.

Evidemment, maillots de bain très suggestifs obligent, la part d'érotisme est fortement de mise pendant toute cette phase, car même sans sexe les quatre jeunes femmes ne vont pas manquer, chacune à sa manière, d'affoler la jauge coquine de l'oeuvre. Sur ce plan-là, même si votre serviteur aura toujours une préférence pour Imashita, c'est peut-être bien cette chère Shimotsuki qu'on prend le plus de plaisir à suivre, tant cette femme habituellement très sérieuse se laisse de plus en plus aller au fil des pages, jusqu'à révéler toute sa sensualité lors d'une petite séance-photos. Mais finalement, derrière ce côté grivois délicieusement croqué par l'artiste, ce dernier ne perd jamais de vue ce qui fait la force de son oeuvre, à savoir l'ambiance complice, détendue et décomplexée qui unit les protagonistes, chose que l'on sent en permanence en voyant ces quatre femmes finir par se confier sur beaucoup de choses en matière de sexe, de fantasmes et de pratiques.

Ajoutons à ça l'animation supplémentaire apportée par les trait spécifiques de chaque héroïne (la passion dévorante de Shimotsuki pour Imashita qu'elle ne cesse de complimenter, les observations de Tokuko...), et on obtient un volume très agréable, qui fait atteindre avec une certaine réussite la barre symbolique des dix tomes à Partners 2.0.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15.25 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs