Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 31 Juillet 2013
Les jours sont comptés au Shinrabanshô. Maintenant que Thobari a mis au point la technique du Zekû, ce n’est qu’une question de temps avant que la légendaire technique soit scellée. Et cela ne plaît pas forcément à Kôichi et Shijima qui veulent à tout prix devenir mortels. Au même moment, la vérité éclate sur les intentions de Fûma…
Après un volume de transition très appréciable, le grand acte final de la série semble lancé, et ne se fera pas sans affrontements. La mangaka l’a soigneusement développé tout le long de la série, mais chaque personnage a des raisons de se battre et est prêt à tout pour parfaire ses ambitions. C’est le cas de Kôichi et Shijima qui ne peuvent renoncer à leur immortalité, et se lancent dans une grande lutte contre Raimei et Raikô afin que le Shinrabanshô soit utilisé pour eux. D’un autre côté, la vérité sur Kotaro Fûma, le personnage le plus énigmatique du manga, est dévoilée au grand jour. C’est donc un tome à cent à l’heure auquel nous avons droit et, comme nous pouvions le penser au volume dernier, il n’est pas avare en révélations !
Avant tout, nous apprenons enfin les véritables objectifs de Kotaro Fûma ainsi que d’étonnantes vérités à son sujet. La révélation qui opère concernant les dirigeants Banten et Kairôshû est étonnante et remet en question les débuts de la série en plus de donner une autre image de ces deux personnages, définitivement malsains. Le récit débouche sur un intense combat entre certains héros contre Aizawa et Shijima, une joute qui ne se fait pas sans hémoglobine, et se conclut sur une séquence émouvante que certains attendaient puisqu’il s’agit de la seule véritable histoire d’amour de Nabari.
Puis vient la dernière partie du tome où l’effacement du Shinrabanshô se met doucement en place, un long passage qui sera sûrement le dernier de la série et s’étendra jusque sur le volume final. Les personnages se réunissent, et Thobari entame le récit des évènements d’il y a dix ans. Nous n’apprenons que peu de choses pour le moment, les grandes révélations se feront au tome suivant !
La lecture de ce tome 12 ne laisse pas indemne. Les révélations sont importantes, et l’auteure a ficelé son intrigue de telle manière à ce que les chemins de différents personnages se croisent, si bien qu’il faudra peut-être une seconde lecture de cet opus pour comprendre la psychologie de quelques protagonistes et leurs agissements. On ne le dira jamais assez, Yuhki Kamatani a prévu son histoire depuis un moment déjà, et jamais celle-ci n’aura été si complexe. L’histoire prend un rythme effréné, et ce volume se lit d’une seule traite. Entre trahisons, révélations, combats, sang et larmes, ce douzième tome est particulièrement riche et entame ainsi le grand final de la série de manière fabuleuse. Gageons toutefois que le meilleur reste à venir puisque le volume 13 nous dévoilera la vérité concernant les parents de Miharu, précédents porteurs du Shinrabanshô !
Après un volume de transition très appréciable, le grand acte final de la série semble lancé, et ne se fera pas sans affrontements. La mangaka l’a soigneusement développé tout le long de la série, mais chaque personnage a des raisons de se battre et est prêt à tout pour parfaire ses ambitions. C’est le cas de Kôichi et Shijima qui ne peuvent renoncer à leur immortalité, et se lancent dans une grande lutte contre Raimei et Raikô afin que le Shinrabanshô soit utilisé pour eux. D’un autre côté, la vérité sur Kotaro Fûma, le personnage le plus énigmatique du manga, est dévoilée au grand jour. C’est donc un tome à cent à l’heure auquel nous avons droit et, comme nous pouvions le penser au volume dernier, il n’est pas avare en révélations !
Avant tout, nous apprenons enfin les véritables objectifs de Kotaro Fûma ainsi que d’étonnantes vérités à son sujet. La révélation qui opère concernant les dirigeants Banten et Kairôshû est étonnante et remet en question les débuts de la série en plus de donner une autre image de ces deux personnages, définitivement malsains. Le récit débouche sur un intense combat entre certains héros contre Aizawa et Shijima, une joute qui ne se fait pas sans hémoglobine, et se conclut sur une séquence émouvante que certains attendaient puisqu’il s’agit de la seule véritable histoire d’amour de Nabari.
Puis vient la dernière partie du tome où l’effacement du Shinrabanshô se met doucement en place, un long passage qui sera sûrement le dernier de la série et s’étendra jusque sur le volume final. Les personnages se réunissent, et Thobari entame le récit des évènements d’il y a dix ans. Nous n’apprenons que peu de choses pour le moment, les grandes révélations se feront au tome suivant !
La lecture de ce tome 12 ne laisse pas indemne. Les révélations sont importantes, et l’auteure a ficelé son intrigue de telle manière à ce que les chemins de différents personnages se croisent, si bien qu’il faudra peut-être une seconde lecture de cet opus pour comprendre la psychologie de quelques protagonistes et leurs agissements. On ne le dira jamais assez, Yuhki Kamatani a prévu son histoire depuis un moment déjà, et jamais celle-ci n’aura été si complexe. L’histoire prend un rythme effréné, et ce volume se lit d’une seule traite. Entre trahisons, révélations, combats, sang et larmes, ce douzième tome est particulièrement riche et entame ainsi le grand final de la série de manière fabuleuse. Gageons toutefois que le meilleur reste à venir puisque le volume 13 nous dévoilera la vérité concernant les parents de Miharu, précédents porteurs du Shinrabanshô !
13/07/2011 