My lovely Hockey Club Vol.7 - Manga

My lovely Hockey Club Vol.7 : Critiques

Gokuraku Seishun Hockey Club

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 24 Janvier 2011

Après un premier chapitre mettant à l'honneur la poule Wacky et ses crises de jalousie, on retrouve Hana plus goinfre que jamais, puisque, bien que flemmarde comme pas deux, elle se fait embaucher dans une nouvelle pâtisserie juste pour pouvoir engloutir les gâteaux invendus en fin de journée. Tandis que les garçons du club de hockey transforment temporairement ce dernier en club de pâtisserie pour tenter de faire revenir vers eux une Hana qui les néglige, une question leur vient à l'esprit: le jeune fille serait-elle tombée amoureuse du pâtissier pour lequel elle travaille ? Et ce dernier est-il sérieux quand il déclare vouloir l'emmener avec lui en France pour y ouvrir une pâtisserie ? Comment réagira Izumi face à tout ceci ?

Dans ce septième volume, on sent Ai Morinaga moins inspirée que d'habitude, puisque les gags ont tendance à y être des resucées des précédents tomes, à commencer pa ce premier chapitre mettant à nouveau en avant les crises de jalousie de la poule Wacky. En se basant à nouveau sur la gourmandise extraordinaire de Hana, un très bon moteur de l'humour depuis le début de la série, les deux chapitres axés sur la pâtisserie ont pourtant du mal à convaincre pleinement, la mangaka restant étonnamment très gentille avec ses protagonistes. Le nouveau personnage qu'est le pâtissier reste assez quelconque si l'on excepte sa tendance à proposer à tout le monde de venir en France, et le duo de mauvais caractères Hana/Izumi tourne en rond. Quant aux autres membres du club de hockey, ils restent ici très discrets, presque transparents.

Finalement, le chapitre hors-série s'avère être un peu plus sympathique, en nous invitant à suivre une aventure de Natsuki dans ses années de collège. Alors qu'il est en vacances chez de la famille, il est pris pour une fille par une demoiselle qui va en faire sa "confidente" au sujet de ses problèmes. Un chapitre amusant montrant une nouvelle fois tout le côté taquin de Natsuki, mais également porté par une héroïne garçon manqué et plate comme une planche à pain, assez barrée.

Tournant globalement en rond, ce septième volume doit en partie son salut à l'intérêt que l'on peut avoir pour les personnages principaux, et fait donc malgré tout régulièrement sourire, à défaut de faire vraiment rire. On préfère quand Ai Morinaga martyrise ses personnages plus franchement, et on espère simplement que cette soudaine baisse de régime n'est que passagère.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs