Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 04 Octobre 2016
Critique 3
Il avait été laissé les apprentis super-héros de la classe de seconde A en posture critique, au milieu d’un dangereux théâtre : entourés qu’ils étaient de super-vilains plutôt déterminés quant à les abattre ; mais la cavalerie est arrivée : Mister All Might est dans la place : quoi de mieux qu’un « Carolina smash » avant de procéder à une volée « Plus ultra » de trois cents coups ?
Le lecteur s’ennuyait sans doute un peu de voir ces élèves de seconde A courber l’échine devant des super-vilains bien trop puissants pour eux ; aussi l’arrivée d’All Might se faisait attendre. Néanmoins, lorsque celui-ci arrive, bien que l’affrontement soit assez cohérent, il ne se passera pas grand-chose d’extraordinaire. Encore, le numéro un des super-héros n’est plus que l’ombre de lui-même. Il emporte la bataille sur le fil du rasoir, il aura atteint sa limite.
La seconde moitié de l’ouvrage se consacre à l’introduction du tournoi annuel de super-héros du lycée ; l’auteur en expliquera les grandes lignes ainsi que les enjeux. Cette compétition très suivie par la presse leur permettra d’attirer les regards, d’obtenir la reconnaissance de leurs pairs ainsi que de faire naître une éventuelle renommée à l’égard du public et tout cela pour, in fine, intégrer les meilleures agences de super-héros. D’autant qu’All Might mettra la pression sur les épaules du jeune Izuku, lui qu’il a choisi comme l’héritier de son incommensurable pouvoir.
Un tournoi dans un shonen, après des adversaires qui sortaient un peu de nulle part lors du précédent tome, plus que cliché diront certains, à raison, mais l’auteur maîtrise son sujet. Alors certes, la compétition débute dans le cadre d’épreuves sportives assez classiques et aux rebondissements pas vraiment folichons, mais cela sera suffisant pour garder bien des lecteurs en haleine. Egalement, durant cette première épreuve basée sur la course à pied, les pouvoirs de chacun sembleront moyennement équilibrés ainsi que très peu exploités ; à ce stade, il paraîtra que l’auteur manque un peu d’intelligence voire de créativité de ce côté-là ; en espérant qu’il surprenne davantage par la suite.
Comme à l’habitude, un récit maîtrisé, mais ultra-classique dans son jus. Il y aura encore quelques soucis de logique, notamment lorsque l’auteur expliquera qu’All Might est toujours le numéro un des super-héros alors qu’il n’est désormais que soixante fois moins fort qu’autrefois (trois cents coups au lieu de cinq pour vaincre Brainless). Il y aura aussi quelques instants où toute crédibilité s’écroule, tel est la scène lors de laquelle All Might précise, la mine grave, que ces enfants se sont battus au péril de leur vie tout en ayant été sous-estimés par ces terribles super-vilains, pourra prêter légèrement au rire ; quand bien même il s’agira ici d’un shonen.
Si, pour le moment, My Hero Academia n’excelle pas dans la veine nekketsu et n’a point fait muter les codes shonen, il n’en demeurera pas moins un bon divertissement pour les amateurs du genre. L’œuvre semble receler un certain potentiel encore dissimulé sous un sable étrangement silencieux ; une dimension dont il est hautement souhaité qu’elle se déploie dans les prochains tomes. Il sera refermé l’ouvrage avec l’envie de connaître la suite de tout cela.
Critique 2
L’entraînement des futurs héros de la seconde A tourne mal lorsqu’un groupe de super vilains s’immisce et s'en prend aux élèves… Ces derniers sont dispersés à travers toute la zone et certains se retrouvent seuls face à une horde d'ennemis. Eraserhead, leur professeur va tout faire pour retenir les plus puissants des ennemis, les leaders, le temps que les autres professeurs, et All Might en tête, soient prévenues...Et finalement ce dernier arrive, mais il ne pourra pas utiliser ses pouvoirs bien longtemps…
La série commence à peine que nous sommes déjà confrontés à des événements sérieux, qui auraient pu nous conduire au drame...mais finalement celui-ci sera évité de justesse. Et c'est là une des forces de cette série, bien que les choses soient à prendre avec humour, que le ton est assez léger depuis le début, voilà que d'emblée l'auteur nous prend à contre-pied et nous propose quelque chose de beaucoup plus grave, et parvient même à nous faire croire qu'on va perdre un des personnages principaux dès le début… Désormais on sait que cette série joue sur plusieurs tons et donc avec nos nerfs, et personne ne s'en plaindra, c'est fait avec tellement de brio…
Cette phase se termine donc au bout du tiers de ce troisième tome, et on réalise alors qu'il ne s'agissait que d'une introduction à des événements d'une tout autre ampleur à venir par la suite, alors même que la formation de nos héros n'est pas terminée. Horikoshi joue donc habilement avec les codes du shonen pour mieux nous surprendre, tout en conservant une ligne directrice assez classique, mais en la parsemant d’événements venant rompre toute linéarité.
Une menace sérieuse est donc désormais identifiée et certains personnages ont pu briller...c'est parfait, on route pour la suite !
Malgré l'attaque qui a forcément des conséquences, les professeurs décident de poursuivre normalement la formation, ne serait-ce que pour envoyer un message fort à la population : ils tiennent bon !
Ainsi une nouvelle épreuve, sous forme de jeux sportifs commence alors : le grand tournoi annuel de Yohei opposant tous les élèves, quelque soit leur filière. On retrouve donc nos héros, ceux qui nous ont déjà été présentés, mais on découvre également de nouveaux élèves tout aussi tenaces et motivés pour se faire connaître et dégoter un contrat ou un sponsor !
Tout en respectant les codes du genre, allant même dans un certain classicisme avec ce tournoi et les qualifications allant avec, l'auteur nous surprend encore en multipliant les personnages déjà nombreux et en mettant des nouveaux en avant, des nouveaux venus avec lesquels il faudra compter à l'avenir !
Tout ceci est particulièrement stimulant et nous donne encore plus envie de découvrir la suite, d'autant qu'il est difficile de prédire ce qui nous attend...le tournoi ira-t-il à son terme, les « super vilains » vont-ils intervenir pour tout gâcher, d'autres surprises vont-elles survenir...et avancer dans l'inconnu s'avère ici vraiment exaltant !
Critique 1
L’entraînement de sauvetage de la Seconde A vire au drame quand un groupe de vilains apparaît au cœur de l’arène, annonçant leur volonté de tuer All Might, le symbole de la paix. L’ennemi disperse les élèves tandis qu’Eraserhead tente de leur tenir tête, mais en vain. Face à cette horde de sbires menée par l’étrange individus aux mains qui lui camouflent le visage, chaque élève y met du sien et met en pratique ses talents de futur héros. Finalement, All Might arrive à la rescousse mais il est cette fois loin de sourire, il ne lui reste en effet que peu de temps pour utiliser son Alter…
Dans un premier temps, la partie autour du combat contre Tomura Shigaraki prend fin à travers une confrontation décisive, parvenant à apporter bon nombre de rebondissements sans toutefois trop en faire. Car si All Might est de la partie, il n’est pas au sommet de sa forme et ne peut vaincre l’adversaire seul, les élèves de la Seconde A n’ont donc pas intérêt à se tourner les pouces. Et c’est exactement l’une des forces qui caractérise My Hero Academia : tout n’est pas qu’affaire de gros pouvoir, Kohei Horikoshi se fixe volontairement des limites dans l’utilisation des codes classiques du nekketsu, permettant alors de donner une place aux différents personnages qui contribuent à l’action.
Aussi, si l’intervention de ces ennemis est arrivée assez précipitamment, cette partie semble n’avoir été qu’une introduction en vue de futurs événements car la transition nous montre bien que des mystères plane autour de Tomura Shigaraki et de ses intentions, la bataille est donc loin d’être finie.
Concernant les qualités évoquées plus haut, elles forgent toute le sel de ce volume. A peine un arc se termine qu’un autre commence avec la partie du championnat de Yuhei, l’auteur s’apprête à entamer une nouvelle phase classique de bon nombre de shônen d’action, celui de la compétition et des tournois. Et là aussi, le mangaka fait des merveille puisqu’en plus de ne pas perdre de temps en futilités comme des entraînements, celui-ci nous plonge au cœur du challenge et en profite pour décortiquer l’académie Yuhei par des facettes que nous ne connaissions pas encore, donnant davantage de possibilités pour la suite du récit.
Mais surtout, c’est encore une fois le travail sur les personnages qui impressionne tant celui-ci est bien mené. Si Izuku paraît mis en avant parce qu’il trouve enfin ses ambitions dans ce volume, bien d’autres bénéficient d’une présence appuyée dans ce volet. D’une manière générale, tout le casting présenté jusqu’à présent n’est jamais oublié mais d’autres brillent plus que d’autres, et les personnages à avoir un rôle sont nombreux si bien que « Deku » n’a pas forcément l’étiquette évidente du protagoniste. Chacun a son background, certains le présentent dans ces chapitres, on sent alors que Kohei Horikoshi souhaite jouer avec ses élèves tout le long de la série, une qualité bien trop rare dans ce genre de titre.
Enfin, si l’aspect tournoi pouvait rebuter par son allure classique, il s’avère agréablement surprenant pour le moment puisqu’au lieu de simples combats, l’auteur présente plutôt des compétitions presque sportives où l’utilisation d’Alter sera de mise, permettant alors une dimension tactique bienvenue tant chacun exploite ses pouvoirs pour tenter de remporter la victoire. Il est fort probable que cet arc permette d’appuyer les personnages tout en jouant sur l’amélioration des compétences de chacun mais pour l’heure, le tout est bien mené, surprenant tout en ne s’éloignant jamais trop des codes classiques qui s’avèrent alors utilisés à bon escient.
Il avait été laissé les apprentis super-héros de la classe de seconde A en posture critique, au milieu d’un dangereux théâtre : entourés qu’ils étaient de super-vilains plutôt déterminés quant à les abattre ; mais la cavalerie est arrivée : Mister All Might est dans la place : quoi de mieux qu’un « Carolina smash » avant de procéder à une volée « Plus ultra » de trois cents coups ?
Le lecteur s’ennuyait sans doute un peu de voir ces élèves de seconde A courber l’échine devant des super-vilains bien trop puissants pour eux ; aussi l’arrivée d’All Might se faisait attendre. Néanmoins, lorsque celui-ci arrive, bien que l’affrontement soit assez cohérent, il ne se passera pas grand-chose d’extraordinaire. Encore, le numéro un des super-héros n’est plus que l’ombre de lui-même. Il emporte la bataille sur le fil du rasoir, il aura atteint sa limite.
La seconde moitié de l’ouvrage se consacre à l’introduction du tournoi annuel de super-héros du lycée ; l’auteur en expliquera les grandes lignes ainsi que les enjeux. Cette compétition très suivie par la presse leur permettra d’attirer les regards, d’obtenir la reconnaissance de leurs pairs ainsi que de faire naître une éventuelle renommée à l’égard du public et tout cela pour, in fine, intégrer les meilleures agences de super-héros. D’autant qu’All Might mettra la pression sur les épaules du jeune Izuku, lui qu’il a choisi comme l’héritier de son incommensurable pouvoir.
Un tournoi dans un shonen, après des adversaires qui sortaient un peu de nulle part lors du précédent tome, plus que cliché diront certains, à raison, mais l’auteur maîtrise son sujet. Alors certes, la compétition débute dans le cadre d’épreuves sportives assez classiques et aux rebondissements pas vraiment folichons, mais cela sera suffisant pour garder bien des lecteurs en haleine. Egalement, durant cette première épreuve basée sur la course à pied, les pouvoirs de chacun sembleront moyennement équilibrés ainsi que très peu exploités ; à ce stade, il paraîtra que l’auteur manque un peu d’intelligence voire de créativité de ce côté-là ; en espérant qu’il surprenne davantage par la suite.
Comme à l’habitude, un récit maîtrisé, mais ultra-classique dans son jus. Il y aura encore quelques soucis de logique, notamment lorsque l’auteur expliquera qu’All Might est toujours le numéro un des super-héros alors qu’il n’est désormais que soixante fois moins fort qu’autrefois (trois cents coups au lieu de cinq pour vaincre Brainless). Il y aura aussi quelques instants où toute crédibilité s’écroule, tel est la scène lors de laquelle All Might précise, la mine grave, que ces enfants se sont battus au péril de leur vie tout en ayant été sous-estimés par ces terribles super-vilains, pourra prêter légèrement au rire ; quand bien même il s’agira ici d’un shonen.
Si, pour le moment, My Hero Academia n’excelle pas dans la veine nekketsu et n’a point fait muter les codes shonen, il n’en demeurera pas moins un bon divertissement pour les amateurs du genre. L’œuvre semble receler un certain potentiel encore dissimulé sous un sable étrangement silencieux ; une dimension dont il est hautement souhaité qu’elle se déploie dans les prochains tomes. Il sera refermé l’ouvrage avec l’envie de connaître la suite de tout cela.
Critique 2
L’entraînement des futurs héros de la seconde A tourne mal lorsqu’un groupe de super vilains s’immisce et s'en prend aux élèves… Ces derniers sont dispersés à travers toute la zone et certains se retrouvent seuls face à une horde d'ennemis. Eraserhead, leur professeur va tout faire pour retenir les plus puissants des ennemis, les leaders, le temps que les autres professeurs, et All Might en tête, soient prévenues...Et finalement ce dernier arrive, mais il ne pourra pas utiliser ses pouvoirs bien longtemps…
La série commence à peine que nous sommes déjà confrontés à des événements sérieux, qui auraient pu nous conduire au drame...mais finalement celui-ci sera évité de justesse. Et c'est là une des forces de cette série, bien que les choses soient à prendre avec humour, que le ton est assez léger depuis le début, voilà que d'emblée l'auteur nous prend à contre-pied et nous propose quelque chose de beaucoup plus grave, et parvient même à nous faire croire qu'on va perdre un des personnages principaux dès le début… Désormais on sait que cette série joue sur plusieurs tons et donc avec nos nerfs, et personne ne s'en plaindra, c'est fait avec tellement de brio…
Cette phase se termine donc au bout du tiers de ce troisième tome, et on réalise alors qu'il ne s'agissait que d'une introduction à des événements d'une tout autre ampleur à venir par la suite, alors même que la formation de nos héros n'est pas terminée. Horikoshi joue donc habilement avec les codes du shonen pour mieux nous surprendre, tout en conservant une ligne directrice assez classique, mais en la parsemant d’événements venant rompre toute linéarité.
Une menace sérieuse est donc désormais identifiée et certains personnages ont pu briller...c'est parfait, on route pour la suite !
Malgré l'attaque qui a forcément des conséquences, les professeurs décident de poursuivre normalement la formation, ne serait-ce que pour envoyer un message fort à la population : ils tiennent bon !
Ainsi une nouvelle épreuve, sous forme de jeux sportifs commence alors : le grand tournoi annuel de Yohei opposant tous les élèves, quelque soit leur filière. On retrouve donc nos héros, ceux qui nous ont déjà été présentés, mais on découvre également de nouveaux élèves tout aussi tenaces et motivés pour se faire connaître et dégoter un contrat ou un sponsor !
Tout en respectant les codes du genre, allant même dans un certain classicisme avec ce tournoi et les qualifications allant avec, l'auteur nous surprend encore en multipliant les personnages déjà nombreux et en mettant des nouveaux en avant, des nouveaux venus avec lesquels il faudra compter à l'avenir !
Tout ceci est particulièrement stimulant et nous donne encore plus envie de découvrir la suite, d'autant qu'il est difficile de prédire ce qui nous attend...le tournoi ira-t-il à son terme, les « super vilains » vont-ils intervenir pour tout gâcher, d'autres surprises vont-elles survenir...et avancer dans l'inconnu s'avère ici vraiment exaltant !
Critique 1
L’entraînement de sauvetage de la Seconde A vire au drame quand un groupe de vilains apparaît au cœur de l’arène, annonçant leur volonté de tuer All Might, le symbole de la paix. L’ennemi disperse les élèves tandis qu’Eraserhead tente de leur tenir tête, mais en vain. Face à cette horde de sbires menée par l’étrange individus aux mains qui lui camouflent le visage, chaque élève y met du sien et met en pratique ses talents de futur héros. Finalement, All Might arrive à la rescousse mais il est cette fois loin de sourire, il ne lui reste en effet que peu de temps pour utiliser son Alter…
Dans un premier temps, la partie autour du combat contre Tomura Shigaraki prend fin à travers une confrontation décisive, parvenant à apporter bon nombre de rebondissements sans toutefois trop en faire. Car si All Might est de la partie, il n’est pas au sommet de sa forme et ne peut vaincre l’adversaire seul, les élèves de la Seconde A n’ont donc pas intérêt à se tourner les pouces. Et c’est exactement l’une des forces qui caractérise My Hero Academia : tout n’est pas qu’affaire de gros pouvoir, Kohei Horikoshi se fixe volontairement des limites dans l’utilisation des codes classiques du nekketsu, permettant alors de donner une place aux différents personnages qui contribuent à l’action.
Aussi, si l’intervention de ces ennemis est arrivée assez précipitamment, cette partie semble n’avoir été qu’une introduction en vue de futurs événements car la transition nous montre bien que des mystères plane autour de Tomura Shigaraki et de ses intentions, la bataille est donc loin d’être finie.
Concernant les qualités évoquées plus haut, elles forgent toute le sel de ce volume. A peine un arc se termine qu’un autre commence avec la partie du championnat de Yuhei, l’auteur s’apprête à entamer une nouvelle phase classique de bon nombre de shônen d’action, celui de la compétition et des tournois. Et là aussi, le mangaka fait des merveille puisqu’en plus de ne pas perdre de temps en futilités comme des entraînements, celui-ci nous plonge au cœur du challenge et en profite pour décortiquer l’académie Yuhei par des facettes que nous ne connaissions pas encore, donnant davantage de possibilités pour la suite du récit.
Mais surtout, c’est encore une fois le travail sur les personnages qui impressionne tant celui-ci est bien mené. Si Izuku paraît mis en avant parce qu’il trouve enfin ses ambitions dans ce volume, bien d’autres bénéficient d’une présence appuyée dans ce volet. D’une manière générale, tout le casting présenté jusqu’à présent n’est jamais oublié mais d’autres brillent plus que d’autres, et les personnages à avoir un rôle sont nombreux si bien que « Deku » n’a pas forcément l’étiquette évidente du protagoniste. Chacun a son background, certains le présentent dans ces chapitres, on sent alors que Kohei Horikoshi souhaite jouer avec ses élèves tout le long de la série, une qualité bien trop rare dans ce genre de titre.
Enfin, si l’aspect tournoi pouvait rebuter par son allure classique, il s’avère agréablement surprenant pour le moment puisqu’au lieu de simples combats, l’auteur présente plutôt des compétitions presque sportives où l’utilisation d’Alter sera de mise, permettant alors une dimension tactique bienvenue tant chacun exploite ses pouvoirs pour tenter de remporter la victoire. Il est fort probable que cet arc permette d’appuyer les personnages tout en jouant sur l’amélioration des compétences de chacun mais pour l’heure, le tout est bien mené, surprenant tout en ne s’éloignant jamais trop des codes classiques qui s’avèrent alors utilisés à bon escient.
01/02/2024 
06/06/2024 Univers
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