Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 03 Mars 2021
Le sauvetage de Suu a permis à Kimihito de mieux faire connaissance avec l'un peu louche directeur du Centre de recherche Kuro Yuri, et ce dernier a justement, à présent, un travail temporaire à confier à notre héros: aller s'occuper des tâches ménagères (cuisine, lessive...) dans une ferme. Sur le papier, rien de plus simple... sauf qu'évidemment, l'endroit est un peu particulier: perdu en pleine campagne, il s'agit d'une ferme spécialisée qui sert de test pour les fermes gérées uniquement par des semi-humaines. Et, de ce fait, seules des semi-humaines y vivent: minotaures, pans, satyres... tel est le programme qui attend Kimihito, et sur place il retrouve d'ailleurs Cattle et Merino, qui ont été envoyées là en tant qu'instructrices du fait de leur expérience dans les fermes. Mais le jeune homme risque vite de voir son travail prendre une autre tournure, car les filles de ces trois espèces ont pour particularité de donner beaucoup de lait, qu'elles revendent au marché noir. Et, lasses des machines extrayant leur liquide, elles se verraient bien ressentir un petit peu plus de plaisir dans la tâche en se faisant traire manuellement... Le tout pendant qu'en ville, les colocataires de notre héros paressent dans les plaisir du centre de recherche. Rachné, la seule consciente de la situation, saura-t-elle mettre à mal le directeur, puis faire revenir Kimihito chez lui avant qu'il ne cède totalement à certains plaisirs ?
Si le tome précédent, avec son arc dédié à Suu, se voulait un petit peu plus consistant voire sérieux sur certains éléments, le mangaka Okayado décide cette fois-ci de relâcher la pression en proposant un volume purement fan-service, et peut-être même le plus érotique depuis le début de la série. Car ici, la recette est on ne peut plus simple et peut être résumée en quelques mots, de façon franche, en un festival de boobs à traire. Il ne faut donc s'attendre à aucune finesse... mais dans les faits, iles amateurs auront de quoi être séduits, ne serait-ce que pour le charme des généreuses poitrines dessinées par l'auteur, si généreuses qu'elles sont souvent volontairement surréalistes pour accentuer la part d'humour grotesque. Et bien que la chose finisse vite par tourner un peu en rond avec des miss traites les unes après les autres, on a bien quelques personnalités qui se dégagent un peu plus, et quelques particularités propres à chaque espèce: les minotaures sont plus franches et costaudes, les pans plus douces et faussement timides, et les satyres évidemment bien plus perverses en voulant ne faire qu'un bouché de l'unique homme des lieux. Kimihito, lui, ne sait pas toujours sur quel pied danser, entre un certain plaisir (forcément) dans son travail, et le fait que les semi-humaines prennent toujours plus d'initiatives vis-à-vis de lui sans qu'il demande quoi que ce soit, ce qui amène une part comique supplémentaire.
A part ça... eh bien, pas grand chose à dire de plus. Okayado se lâche dans un volume plus que jamais basé sur un érotisme aussi charmant que grotesque. Sans aller chercher très loin, et malgré un aspect un peu redondant, ça fonctionne assez bien le temps d'un tome.
Si le tome précédent, avec son arc dédié à Suu, se voulait un petit peu plus consistant voire sérieux sur certains éléments, le mangaka Okayado décide cette fois-ci de relâcher la pression en proposant un volume purement fan-service, et peut-être même le plus érotique depuis le début de la série. Car ici, la recette est on ne peut plus simple et peut être résumée en quelques mots, de façon franche, en un festival de boobs à traire. Il ne faut donc s'attendre à aucune finesse... mais dans les faits, iles amateurs auront de quoi être séduits, ne serait-ce que pour le charme des généreuses poitrines dessinées par l'auteur, si généreuses qu'elles sont souvent volontairement surréalistes pour accentuer la part d'humour grotesque. Et bien que la chose finisse vite par tourner un peu en rond avec des miss traites les unes après les autres, on a bien quelques personnalités qui se dégagent un peu plus, et quelques particularités propres à chaque espèce: les minotaures sont plus franches et costaudes, les pans plus douces et faussement timides, et les satyres évidemment bien plus perverses en voulant ne faire qu'un bouché de l'unique homme des lieux. Kimihito, lui, ne sait pas toujours sur quel pied danser, entre un certain plaisir (forcément) dans son travail, et le fait que les semi-humaines prennent toujours plus d'initiatives vis-à-vis de lui sans qu'il demande quoi que ce soit, ce qui amène une part comique supplémentaire.
A part ça... eh bien, pas grand chose à dire de plus. Okayado se lâche dans un volume plus que jamais basé sur un érotisme aussi charmant que grotesque. Sans aller chercher très loin, et malgré un aspect un peu redondant, ça fonctionne assez bien le temps d'un tome.