Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 11 Janvier 2022
Durant les vacances d'été, Nishimura et Takada ont pu passer de bons moments ensemble. Et ceci déplaît fortement à Kasahara, l'une de leurs camarades qui est prête à tout pour les séparer, quitte à devenir déléguée de classe aux côtés du garçon. Seulement, son plan ne se déroule pas comme prévu. Et tandis que toutes les tentatives d'humiliation de la « sorcière des ténèbres » tombent à l'eau, Nishimura se fait une amie en la personne d'Umi Adachi qui semble en pincer pour Hino !
Après un second tome axé sur les vacances d'été de nos héros, place à la rentrée des classes et son lot de chamboulements. Aussi, Taku Kawamura reprend son contexte scolaire avec l'inévitable élection des délégués, un moment qui aurait pu être douloureux pour Nishimura mais que Takada parvient à retourner avec sa bonne humeur et son innocence habituelle.
Si le retour à l'école marque un renouveau par rapport à l'opus précédent, tout porte à croire que la formule de Mon amie des ténèbres ne change pas, et que l'auteur alterne les situations en jouant sur les ingrédients qui donnent à l'œuvre tout son charme. Et il est vrai que nous sommes maintenant accoutumés à cette recette, aussi chaque intervention de Takada ne surprend mais, mais parvient toujours à amuser tant le candide garçon à l'art de retourner la bêtise des harceleurs contre eux et au profit de sa meilleure amie. Les séquences du genres sont toujours délicieuses, et ce n'est pas seulement ce que ce troisième tome a à nous offrir.
Car au-delà de la succession de situations tantôt comiques, tantôt intimes, c'est toute une progression des personnages que nous observons au fil des chapitres, sans compter un casting qui s'étoffe de plus en plus. Cette formule, cristallisée et sécurisée par le mangaka, lui permet ainsi d'aller de l'avant de différentes manières. Dans le tome précédent, Nishimura et Takada s'ouvraient un peu plus l'un à l'autre, aussi ce sont d'autres points d'avancée qui nous sont offerts au fil des pages. Pêle-mêle, on observe l'entrée en scène d'Adachi qui deviendra une amie sincère pour la « sorcière des ténèbres », elle-même entretenant des rapports préétablis avce le farfelu Hino, adorateur de marcels. Cette enrichissement de la petite équipe principale contribue à donner de la fraîcheur supplémentaire au titre, non seulement parce que les points de focus se multiplient, mais aussi parce que Nishimura et Takada ne sont plus systématiquement le centre des intérêts, bien qu'ils profitent de la plupart des coups de projecteurs.
Avec ce très bon exemple de troisième tome, Taku Kawamura prouve qu'il reste fidèle à sa zone de confort tout en enrichissant son œuvre petit à petit, le cercle d'amis de Nishimura s'étoffant peu à peu. Il en découle ainsi une scène particulièrement touchante du point de vue du père, un moment qui montre toute l'humanité du titre. Une suite fidèle à l'esprit de la série, en allant un poil plus loin, pour un récit dont on ne se lasse jamais de l'ambiance et de la générosité.
Après un second tome axé sur les vacances d'été de nos héros, place à la rentrée des classes et son lot de chamboulements. Aussi, Taku Kawamura reprend son contexte scolaire avec l'inévitable élection des délégués, un moment qui aurait pu être douloureux pour Nishimura mais que Takada parvient à retourner avec sa bonne humeur et son innocence habituelle.
Si le retour à l'école marque un renouveau par rapport à l'opus précédent, tout porte à croire que la formule de Mon amie des ténèbres ne change pas, et que l'auteur alterne les situations en jouant sur les ingrédients qui donnent à l'œuvre tout son charme. Et il est vrai que nous sommes maintenant accoutumés à cette recette, aussi chaque intervention de Takada ne surprend mais, mais parvient toujours à amuser tant le candide garçon à l'art de retourner la bêtise des harceleurs contre eux et au profit de sa meilleure amie. Les séquences du genres sont toujours délicieuses, et ce n'est pas seulement ce que ce troisième tome a à nous offrir.
Car au-delà de la succession de situations tantôt comiques, tantôt intimes, c'est toute une progression des personnages que nous observons au fil des chapitres, sans compter un casting qui s'étoffe de plus en plus. Cette formule, cristallisée et sécurisée par le mangaka, lui permet ainsi d'aller de l'avant de différentes manières. Dans le tome précédent, Nishimura et Takada s'ouvraient un peu plus l'un à l'autre, aussi ce sont d'autres points d'avancée qui nous sont offerts au fil des pages. Pêle-mêle, on observe l'entrée en scène d'Adachi qui deviendra une amie sincère pour la « sorcière des ténèbres », elle-même entretenant des rapports préétablis avce le farfelu Hino, adorateur de marcels. Cette enrichissement de la petite équipe principale contribue à donner de la fraîcheur supplémentaire au titre, non seulement parce que les points de focus se multiplient, mais aussi parce que Nishimura et Takada ne sont plus systématiquement le centre des intérêts, bien qu'ils profitent de la plupart des coups de projecteurs.
Avec ce très bon exemple de troisième tome, Taku Kawamura prouve qu'il reste fidèle à sa zone de confort tout en enrichissant son œuvre petit à petit, le cercle d'amis de Nishimura s'étoffant peu à peu. Il en découle ainsi une scène particulièrement touchante du point de vue du père, un moment qui montre toute l'humanité du titre. Une suite fidèle à l'esprit de la série, en allant un poil plus loin, pour un récit dont on ne se lasse jamais de l'ambiance et de la générosité.
19/02/2025 
09/07/2025 
