Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 04 Février 2011
Entre deux volumes de sa série phare Kamikaze, également publiée en France chez Panini, le mangaka Satoshi Shiki s'est fait plaisir en conçevant un court one-shot coquin. Min Min Mint, puisque c'est son nom, nous invite à découvrir les aventures farfelues de Mint. Lycéenne travaillant dans un temple, elle se voit un jour affublée d'un costume magique qui lui confèrent des pouvoirs censés l'aider à lutter contre le mal. "Censé", car bien vite, Mint prend conscience de la profonde stupidité des missions qui lui sont assignées, et, pire encore, si elle en vient à douter de son rôle en tant que représentante du bien, son costume se volatilise et la laisse sur place, nue comme un ver !
Min Min Mint se présente comme une petite fantaisie de Satoshi Shiki, où l'auteur de Kamikaze s'est tout simplement fait plaisir sous formes de petits chapitres plus ou moins indépendants, sans doute pour décompresser un peu entre deux volumes de sa série phare. De ce fait, il ne faut pas attendre grand chose de ce one-shot du côté de l'histoire, mais ça on l'avait compris dès la lecture du synopsis. On se retrouve donc avec des petites historiettes idiotes au sein desquelles, à chaque fois, Mint devra revêtir son costume magique avant de finir en tenue d'Eve. Au fil des chapitres, de nouveaux personnages tous plus ravagés les uns que les autres arrivent dans la courte série pour ne plus la quitter et en faire voir de toutes les couleurs à notre héroïnes, qui va se voir poursuivie de toutes parts par des camarades de classe féminins ou masculins n'ayant d'autres buts que de la cosplayer en tout et n'importe quoi, de la déshabiller et de baver sur son corps de rêve. Ah.
Min Min Mint aurait pu faire un nanar amusant, mais se contente finalement du titre de nanar anecdotique, tant le contenu (ou le manque de contenu) peine à intéresser d'un bout à l'autre. Les différents chapitres peinent à se renouveler et en reviennent toujours à la même chose, à savoir le déshabillage en règle de Mint. Même cet aspect coquin du titre peine à attier totalement l'oeil du lecteur, le coup de crayon du mangaka ne possédant rien de spécialement séduisant hormis un côté mignon.
Au final, cette courte fantaisie ne satisfait que très peu. Un titre pas déplaisant mais pas intéressant pour autant, vite lu et vite oublié. En bref, totalement dispensable.
Min Min Mint se présente comme une petite fantaisie de Satoshi Shiki, où l'auteur de Kamikaze s'est tout simplement fait plaisir sous formes de petits chapitres plus ou moins indépendants, sans doute pour décompresser un peu entre deux volumes de sa série phare. De ce fait, il ne faut pas attendre grand chose de ce one-shot du côté de l'histoire, mais ça on l'avait compris dès la lecture du synopsis. On se retrouve donc avec des petites historiettes idiotes au sein desquelles, à chaque fois, Mint devra revêtir son costume magique avant de finir en tenue d'Eve. Au fil des chapitres, de nouveaux personnages tous plus ravagés les uns que les autres arrivent dans la courte série pour ne plus la quitter et en faire voir de toutes les couleurs à notre héroïnes, qui va se voir poursuivie de toutes parts par des camarades de classe féminins ou masculins n'ayant d'autres buts que de la cosplayer en tout et n'importe quoi, de la déshabiller et de baver sur son corps de rêve. Ah.
Min Min Mint aurait pu faire un nanar amusant, mais se contente finalement du titre de nanar anecdotique, tant le contenu (ou le manque de contenu) peine à intéresser d'un bout à l'autre. Les différents chapitres peinent à se renouveler et en reviennent toujours à la même chose, à savoir le déshabillage en règle de Mint. Même cet aspect coquin du titre peine à attier totalement l'oeil du lecteur, le coup de crayon du mangaka ne possédant rien de spécialement séduisant hormis un côté mignon.
Au final, cette courte fantaisie ne satisfait que très peu. Un titre pas déplaisant mais pas intéressant pour autant, vite lu et vite oublié. En bref, totalement dispensable.
17/01/2004 