Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 16 Août 2012
Dans ce volume nous assistons à la fin de l’avant dernier tour du tournoi et surtout au début de l’ultime tour, celui qui opposera nos héros aux guerriers les plus forts de l’échiquier !
Mais avant d’en arriver là, il faut conclure le match en cours, et après avoir assisté au match sans intérêt de Snow (d’ailleurs le personnages aussi est sans grand intérêt) nous assistons à l’issue d’une vengeance qui dort depuis longtemps, une vengeance que l’auteur a pris soin d’installer petit à petit au grés de son récit, et pour cela il faut le féliciter…et cette vengeance est ici enfin réglée…en trois chapitres…tout ça pour ça ! Anzai semble vraiment décidé à boucler ce titre au plus vite, il semble faire cela sans passion et c’est le lecteur qui en pâtit .
On a ensuite un chapitre de transition où nous est présenté la dernière équipe qui s’opposera à Ginta et ses compagnons : les six derniers cavaliers, et avant même que les affrontements ne débutent chacun se choisit un adversaire désigné. Prévisible mais efficace, d’autant plus que les derniers sont également les plus réussis (mis à part la papi avec son arbre ridicule sur le tête).
Tout ceci aurait pu être excitant si l’auteur n’avait pas désamorcé lui même la tension qu’il a d’installer au fur et à mesure. Anzai s’est lui même tiré une balle dans le pied !. Et le premier match de la dernière rencontre commence…
Mais avant d’en arriver là, il faut conclure le match en cours, et après avoir assisté au match sans intérêt de Snow (d’ailleurs le personnages aussi est sans grand intérêt) nous assistons à l’issue d’une vengeance qui dort depuis longtemps, une vengeance que l’auteur a pris soin d’installer petit à petit au grés de son récit, et pour cela il faut le féliciter…et cette vengeance est ici enfin réglée…en trois chapitres…tout ça pour ça ! Anzai semble vraiment décidé à boucler ce titre au plus vite, il semble faire cela sans passion et c’est le lecteur qui en pâtit .
On a ensuite un chapitre de transition où nous est présenté la dernière équipe qui s’opposera à Ginta et ses compagnons : les six derniers cavaliers, et avant même que les affrontements ne débutent chacun se choisit un adversaire désigné. Prévisible mais efficace, d’autant plus que les derniers sont également les plus réussis (mis à part la papi avec son arbre ridicule sur le tête).
Tout ceci aurait pu être excitant si l’auteur n’avait pas désamorcé lui même la tension qu’il a d’installer au fur et à mesure. Anzai s’est lui même tiré une balle dans le pied !. Et le premier match de la dernière rencontre commence…
07/12/2007 