Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 04 Juin 2012
Nous voilà déjà arrivé au dixième tome, et rien de bien neuf à l’horizon !
Le tournoi se poursuit, les combats s’enchaînent et se ressemblent… pas moins de cinq affrontements dans ce tome, dont les trois derniers contre des cavaliers de l’échiquier, c’est à dire les personnes à abattre depuis le début de la série, des être redoutables dont l’auteur a fait tout un foin…et tout ça pour que ces combats soient bouclés aussi rapidement que les autres, en trois chapitres maximum. Très franchement, on a l’impression que l’auteur voulait vite en terminer pour passer à autre chose…on commençait déjà à se poser la question, on commençait déjà à s’inquiéter, mais là le doute n’est presque plus permis, il semble que l’auteur lui même se soit lassé de cette série qui pourtant partait si bien.
Anzai va t’il nous ressortir toujours la même chose jusqu’à la fin? Cela semble en tout cas bien parti : une succession de combats, creux, limite bâclés…et donc forcément décevants.
Ici l’adversaire de Ginta fait forcément penser à Baggy le clown avec sa possibilité de séparer son corps, l’auteur tente de nous raccrocher avec la pseudo révélation en faisant apparaître le troisième cavalier en fin de tome mais cela ne prend pas vraiment, voir pas du tout, il semble sorti du chapeau comme ça…l’effet tombe à l’eau !
Encore un tome bien décevant avec une succession de combats sans réels charme. L’auteur s’est tiré lui même une balle dans le pied avec son tournoi sans grand intérêt, à croire qu’il était incapable d’élaborer un scénario, de gérer ses personnages sans poser tout ça dans le cadre d’un tournoi, sans se poser des limites rassurantes pour lui, mais pas forcément pour les lecteurs…
Le tournoi se poursuit, les combats s’enchaînent et se ressemblent… pas moins de cinq affrontements dans ce tome, dont les trois derniers contre des cavaliers de l’échiquier, c’est à dire les personnes à abattre depuis le début de la série, des être redoutables dont l’auteur a fait tout un foin…et tout ça pour que ces combats soient bouclés aussi rapidement que les autres, en trois chapitres maximum. Très franchement, on a l’impression que l’auteur voulait vite en terminer pour passer à autre chose…on commençait déjà à se poser la question, on commençait déjà à s’inquiéter, mais là le doute n’est presque plus permis, il semble que l’auteur lui même se soit lassé de cette série qui pourtant partait si bien.
Anzai va t’il nous ressortir toujours la même chose jusqu’à la fin? Cela semble en tout cas bien parti : une succession de combats, creux, limite bâclés…et donc forcément décevants.
Ici l’adversaire de Ginta fait forcément penser à Baggy le clown avec sa possibilité de séparer son corps, l’auteur tente de nous raccrocher avec la pseudo révélation en faisant apparaître le troisième cavalier en fin de tome mais cela ne prend pas vraiment, voir pas du tout, il semble sorti du chapeau comme ça…l’effet tombe à l’eau !
Encore un tome bien décevant avec une succession de combats sans réels charme. L’auteur s’est tiré lui même une balle dans le pied avec son tournoi sans grand intérêt, à croire qu’il était incapable d’élaborer un scénario, de gérer ses personnages sans poser tout ça dans le cadre d’un tournoi, sans se poser des limites rassurantes pour lui, mais pas forcément pour les lecteurs…
07/12/2007 