Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 25 Août 2008
Voici donc la suite, et déjà la fin des aventures coquines et sensuelles de Jun et Nini.
Tout comme le premier volume, ce second opus va voir nos deux demoiselles se dénuder, s'embrasser, se caresser... en bref, se faire plaisir, n'importe quand et n'importe où. L'oeil du lecteur sera charmé par les frasques et les formes qui s'offrent à lui. Mais attention: ici, pas de sexe vulgaire: le plaisir que s'offrent mutuellement nos deux héroïnes est un moyen pour elles de communiquer, un passage obligatoire pour se comprendre, un moyen d'échapper aux hommes et à la réalité, et leur façon à elles de profiter de la vie. Et même si chaque court chapitre est basé sur un schéma assez répétitif, Maka-Maka est, d'un bout à l'autre, une lecture réellement agréable. "Sex, Life and Communication": Maka-Maka n'a pas volé son sous-titre.
L'édition de Delcourt est, de plus, toujours aussi excellente: le grand format et le papier glacé permettent de profiter à merveille du graphisme de Kishi Torajiro, déjà embelli par des couleurs superbes, à la fois chaleureuses et sensuelles. Reste cette couverture qui, si elle est dotée d'un concept réellement sympathique, reste peu pratique.
Tout comme le premier volume, ce second opus va voir nos deux demoiselles se dénuder, s'embrasser, se caresser... en bref, se faire plaisir, n'importe quand et n'importe où. L'oeil du lecteur sera charmé par les frasques et les formes qui s'offrent à lui. Mais attention: ici, pas de sexe vulgaire: le plaisir que s'offrent mutuellement nos deux héroïnes est un moyen pour elles de communiquer, un passage obligatoire pour se comprendre, un moyen d'échapper aux hommes et à la réalité, et leur façon à elles de profiter de la vie. Et même si chaque court chapitre est basé sur un schéma assez répétitif, Maka-Maka est, d'un bout à l'autre, une lecture réellement agréable. "Sex, Life and Communication": Maka-Maka n'a pas volé son sous-titre.
L'édition de Delcourt est, de plus, toujours aussi excellente: le grand format et le papier glacé permettent de profiter à merveille du graphisme de Kishi Torajiro, déjà embelli par des couleurs superbes, à la fois chaleureuses et sensuelles. Reste cette couverture qui, si elle est dotée d'un concept réellement sympathique, reste peu pratique.
20/08/2008 