Mademoiselle se marie Vol.8 : Critiques

Durant leur voyage destiné à mettre enceinte Towako, la jeune fille déclare à son cher et tendre mari qu’elle est prête à passer sa première nuit d’amour avec lui. C’est bon, elle veut le faire, elle DOIT le faire. Mais quand elle le lui annonce, Yûga prétexte être fatigué et va dormir. Towako en reste comme deux ronds de flan et en conclue que lui n’en a pas envie, et elle tente donc de s’éloigner un peu physiquement de lui. Mais ça ne sera peut être pas si facile que ça, quand nos deux amoureux et leurs amis partent en week end dans le cottage de Saho. Towako a pour but de plus sympathiser avec ses amis, de renforcer leurs liens et de ne pas se laisser prendre au piège de l’envie qu’elle a de son petit ami. Mais, car il y a un mais, un évènement perturbateur va tout chambouler. Un inconnu qui sort de nulle part et qui habitait chez Saho, prétendument amnésique, se fait découvrir par Towako alors qu’il était au téléphone, manifestement en train d’arranger un mauvais coup.

Et donc, notre héroïne veut tout avouer mais le malfrat –Ritsu- décide de l’embrasser et de menacer de le dire à son mari, si elle ne fait pas exactement ce qu’il veut. A savoir, ne pas le dénoncer, et accepter ses fantasques qui l’amusent en l’empêchant de parler à Yûga par exemple. Autant dire que la tension augmente dans le couple. Comme si c’était plus grave de s’être laissée embrassée par inadvertance plutôt que de refuser de parler à son petit ami et de laisser un autre garçon lui prendre la main. Ahem. Excusez-moi, mais il y a mieux dans le scénario. Là c’est juste totalement ridicule, point. On ne peut décemment pas s’inquiéter une minute pour le sort de Towako. C’est trop pitoyable. Bref. Des malentendus stupides, comme d’habitude, des retournements de situation pitoyables et .. Pfff, voilà. Ça ne sert à rien d’en dire plus sur la manière dont ils se réconcilient, dont Yûga s’énerve parce que Towako lui a caché la vérité et non parce qu’elle a été embrassée de force. Logique quoi. Attendu. Tout le monde s’aime et se réconcilie, youhou. Tome suivant.