Macross 7 Trash Vol.6 - Actualité manga

Macross 7 Trash Vol.6 : Critiques

Macross 7 trash TRASH

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 27 Juin 2012

Après avoir gagné son duel au t-crush, Shiba part à la recherche d'Enika, mais quand les deux jeunes gens se retrouvent, Enika repart une nouvelle fois meurtrie. Quant à Mahala, elle apprend du capitaine Max lui-même qu'il n'est pas le père de Shiba.

Sur ces nouvelles considérations, le tournoi de t-crush continue, et voit entrer en scène Mobard contre une adversaire particulière : Jebil, dont il s'est épris, et avec laquelle il a eu un rendez-vous juste avant le duel. Les deux jeunes gens pourront-ils se battre réellement l'un contre l'autre, où leurs sentiments prendront-ils le dessus ? La deuxième réponse semble se profiler, mais...

Si l'on restera un peu circonspect face à la rapidité de la naissance de sentiments entre Mobard et Jebil, il faut avouer que l'exploitation de ces sentiments pendant leur duel est plutôt bonne et apporte un certain suspense, de par le fait qu'aucun des deux ne semble vouloir se battre pleinement, mais qu'il faut obligatoirement un vainqueur. Mais ce duel est surtout l'occasion d'observer toute la puissance du fameux "mind energy", que l'on voit enfin pleinement à l'oeuvre.

En dehors de cela, que retenir de ce volume ? Une nouvelle fois, les duels sont dotés d'une mise en scène assez basique, compensée par la beauté du trait de Haruhiko Mikimoto. En parallèle, le trio Enika/Pasha/Shiba évolue doucement, tandis que se profile un duel entre Shiba et Jebil qui promet d'être important.

A deux tomes de la fin, les choses se décantent petit à petit, mais de nombreux points noirs sont encore présents, ne serait-ce qu'au niveau de l'intrigue principale, somme toute assez mince puisque l'auteur préfère se consacrer à ses personnages et à mettre en avant la notion de sentiment de manière encore assez maladroite et peu approfondie. Il est encore difficile de savoir quoi penser exactement de cette série, qui donne l'impression de faire constamment du surplace alors que l'auteur distille pourtant quelques évolutions mineures, qui ne demandent qu'à prendre de l'ampleur.




Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
13 20
Note de la rédaction