Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 08 Janvier 2014
Après s'être avoués réciproquement leur amour, Naru et Keitaro vont enfin pouvoir vivre quelques jours tranquilles à la pension, et former le couple que nous attendions tous. Malheureusement pour eux, les habitantes d'Hinata ne l'entendent pas de cette oreille et vont tout faire pour séparer les deux tourtereaux... par pure jalousie !
Mais avant d'en arriver à de tels évènements, la première moitié du tome va se focaliser sur le personnage de Motoko. Cette dernière, qui a raté ses examens blancs, voit s'éloigner son rêve d'intégrer Todai... et de plus, elle vit assez mal la relation de Keitaro et Naru, ne pouvant plus étouffer ses propres sentiments amoureux envers son concierge... Durant ces quelques chapitres, l'auteur va donc s'appliquer à résoudre les tourments de ce personnage secondaire, qui est, il faut l'avouer, l'un des plus attachants de la série (avec Shinobu). Humour et fan service seront bien évidemment au programme.
Dans la suite du tome, la focalisation va revenir sur nos deux protagonistes. Alors qu'ils sont sur le point de franchir le portique d'entrée de l'université Todai (et ainsi respecter leur promesse), Naru et Keitaro vont être interrompus par les autres pensionnaires d'Hinata, qui refusent la nouvelle tournure que prend leur relation. A partir de là, le récit va une fois de plus sombrer dans du grand n'importe quoi, en nous emmenant dans une contrée étrangère et nous offrant de nombreuses courses-poursuites, fusillades et autres scènes de baston. Bien évidemment, tout restera très bon enfant, le but de l'auteur étant de nous faire rire tout en étirant une nouvelle fois son récit jusqu'au maximum.
A l'occasion de cet arc, tous les personnages emblématiques de la série seront présents et participeront à une espèce de jubilé qui se conclura par l'union de deux individus, qui, précisons-le, ne sont pas Naru et Keitaro.
En définitive, si la situation entre Keitaro et Naru n'évoluent pas beaucoup dans ce tome, il n'en sera pas de même pour certains personnages secondaires du manga, qui vont franchir un cap dans ce tome qui leur est dédié. Cependant, même si ces changements sont appréciables, cela ne résout aucunement le problème majeur de la série, qui sous couvert d'humour finit trop souvent par tomber dans du grand n'importe quoi.
Mais avant d'en arriver à de tels évènements, la première moitié du tome va se focaliser sur le personnage de Motoko. Cette dernière, qui a raté ses examens blancs, voit s'éloigner son rêve d'intégrer Todai... et de plus, elle vit assez mal la relation de Keitaro et Naru, ne pouvant plus étouffer ses propres sentiments amoureux envers son concierge... Durant ces quelques chapitres, l'auteur va donc s'appliquer à résoudre les tourments de ce personnage secondaire, qui est, il faut l'avouer, l'un des plus attachants de la série (avec Shinobu). Humour et fan service seront bien évidemment au programme.
Dans la suite du tome, la focalisation va revenir sur nos deux protagonistes. Alors qu'ils sont sur le point de franchir le portique d'entrée de l'université Todai (et ainsi respecter leur promesse), Naru et Keitaro vont être interrompus par les autres pensionnaires d'Hinata, qui refusent la nouvelle tournure que prend leur relation. A partir de là, le récit va une fois de plus sombrer dans du grand n'importe quoi, en nous emmenant dans une contrée étrangère et nous offrant de nombreuses courses-poursuites, fusillades et autres scènes de baston. Bien évidemment, tout restera très bon enfant, le but de l'auteur étant de nous faire rire tout en étirant une nouvelle fois son récit jusqu'au maximum.
A l'occasion de cet arc, tous les personnages emblématiques de la série seront présents et participeront à une espèce de jubilé qui se conclura par l'union de deux individus, qui, précisons-le, ne sont pas Naru et Keitaro.
En définitive, si la situation entre Keitaro et Naru n'évoluent pas beaucoup dans ce tome, il n'en sera pas de même pour certains personnages secondaires du manga, qui vont franchir un cap dans ce tome qui leur est dédié. Cependant, même si ces changements sont appréciables, cela ne résout aucunement le problème majeur de la série, qui sous couvert d'humour finit trop souvent par tomber dans du grand n'importe quoi.