Kotaro en solo Vol.7 - Actualité manga
Kotaro en solo Vol.7 - Manga

Kotaro en solo Vol.7 : Critiques

Kotaro wa 1-ri Kurashi

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 12 Août 2025

Un échange de messages sur téléphone avec quelqu'un qui semble avoir usurpé l'identité de la défunte mère de Kotaro, une rencontre avec une idol dont le petit garçon ne serre étonnamment pas la main, la conception d'un dessin surprenant à l'école maternelle, un tuto maquillage pour embellir Ayano, une incruste dans un restaurant de ramen pour secouer le patron en manque de clients, un cours de pole dance, la participation à un défi au café-restaurant du coin, une lubie poussant le gamin à poser plein de questions, l'observation nuit après nuit d'un ouvrier de chantier qui fait la circulation, un monstrueux spectacle, un petit problème de flatulences dans un taxi, une blessure l'obligeant à se reposer quelque temps sur les autres...

Entre autres événements, voici quelques-unes des brèves péripéties qui attendent notre jeune héros dans une nouvelle salve de 18 chapitres où la recette ne change pas: cette fois-ci, Mami Tsumura reste pleinement dans ses acquis, n'amène rien de forcément très nouveau hormis quelques précisions sur des événements déjà connus du passé familial de Kotaro, mais le fait est que la mangaka frappe souvent toujours aussi juste dans sa manière d'aborder son sujet. Car si, dans les faits, la plupart des situations ont une teneur assez décalée et comique (il faut voir Kotaro sur la barre de pole dance, ou le pet très délicat dans le taxi), à l'arrivée chacune des situations a quelque chose à souligner sur l'état d'esprit du petit garçon, sur les raisons des différentes facettes de son comportement, comportement ayant naturellement quelque chose de touchant quand on a bien conscience de la situation dans laquelle il se trouve et de certaines réalités difficiles (notamment car, innocemment, il entretient toujours l'espoir de revoir sa mère, dont il ignore toujours qu'elle n'est plus de ce monde).

Alors, à l'image des adultes qui l'entourent et qui sont là pour lui autant que possible, on reste tour à tour attendri, ému, désarçonné par ce tout jeune gamin dont le quotidien ne laisse décidément jamais indifférent.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs