Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 05 Février 2021
Malgré le sursis de Kazuma, lui et son groupe d'incapables sont loin d'être tirés d'affaire: notre héros est effectivement toujours condamné à mort, et les dettes sont toujours là ! Et comme si ça ne suffisait pas, les ennuis sont toujours sur le point de guetter. Ainsi surgit une certaine Yun-Yun, jeune fille ressemblant beaucoup à Megumin et décidant de provoquer cette dernière en duel ! Pendant ce temps, Darkness, rentrée sur ses terres natales pour régler un différend avec son père, tarde à revenir, mais quand elle est enfin de retour c'est pour annoncer des choses pour le moins surprenantes à nos héros ! Puis quand la procureure Sena réapparaît pour accuser sans raisons Kazuma d'être à l'origine d'une prolifération des monstres bizarres dans le Donjon de Keel, notre héros n'a pas vraiment d'autre choix que d'aller explorer les lieux...
Ainsi ce 5e volume de Konosuba se divise-t-il, grosso modo, en trois petites parties faisant chacune entre une grosse quarantaine et une grosse cinquantaine de pages, et s'intéressant chacune à un nouveau problème qui, parfois,d écoule plus ou moins directement des événements précédents. Chaque partie restant plutôt courte, le mangaka Masahito Watari va plutôt à l'essentiel et donne parfois l'impression de survoler quelques événements, en particulier dans la dernière partie... néanmoins, le plaisir de lecture est toujours au rendez-vous, grâce à l'atmosphère humoristique typique de la série et, surtout, à des petits développements plutôt bien menés.
La première partie est donc surtout l'occasion de découvrir un nouveau personnage en Yun-Yun, fille du chef du clan Kôma et rivale autoproclamée de Megumin, qui était avec elle à l'école au village Kôma. Proche de Megumin en apparence mais assez différente côté comportement et mentalité, cette demoiselle est un plaisir à découvrir, surtout de par son lien particulier et rigolo avec notre chère lolita magicienne, et via sa nature sans doute un peu trop bonne poire... Qui plus est, l'occasion est aussi donnée d'entrevoir de très brèves évolutions du lien de Megumin avec Kazuma, la jeune fille grandissant un peu plus en atteignant bientôt ses 14 ans. Est-ce que cela va changer quoi que ce soit ? En tout cas, une chose est sûre: on s'amuse bien en voyant Kazuma comparer la talentueuse Yun-Yun à l'espèce de bras cassé qui lui sert de compagne d'aventure.
La deuxième partie du tome, en plus d'être légèrement plus longue que les deux autres, est sans doute aussi la plus intéressante au vu de ce que l'on apprend des véritables origines de Darkness ! S'en suit une affaire de rencontre arrangée rondement menée, car là où Darkness fomente des plans pour faire échouer la rencontre, Kazuma, lui, risque bien de la surprendre en adoptant un comportement totalement imprévu... Il en résulte quelques bons quiproquos et un comique de situation bien exploité, encore plus quand ils 'agit d'utiliser les goûts si particulier de notre chère guerrière blonde, surtout en matière d'hommes !
Quant à l'affaire au Donjon de Keel, elle s'avère classique mais rappelle à notre mémoire les problèmes autour du roi démon, et amuse gentiment entre la dégaine des petits monstres, le comportement de l'ennemi ou encore la manipulation du corps de Darkness, cette dernière étant décidément bien en vue dans ce tome contrairement à une Aqua plus discrète (même si, rassurez-vous, elle a ses quelques élans de bêtises).
La formule reste alors assez classique, mais entre l'humour bien présent (mention spéciale aux instants où nos héros se "malmènent" entre eux), la nouvelle venue réussie qu'est Yun-Yun ou certains développements sympathiques autour de Darkness, on n'a jamais le temps de s'ennuyer à la lecture de cette version manga, qui n'a pas de grosse prétention et divertir facilement. Et avec, à la clé de tout ça, une sorte de petite fin de partie concernant les problèmes judiciaires et financiers de Kazuma, on attendra avec d'autant plus de curiosité la suite.
Ainsi ce 5e volume de Konosuba se divise-t-il, grosso modo, en trois petites parties faisant chacune entre une grosse quarantaine et une grosse cinquantaine de pages, et s'intéressant chacune à un nouveau problème qui, parfois,d écoule plus ou moins directement des événements précédents. Chaque partie restant plutôt courte, le mangaka Masahito Watari va plutôt à l'essentiel et donne parfois l'impression de survoler quelques événements, en particulier dans la dernière partie... néanmoins, le plaisir de lecture est toujours au rendez-vous, grâce à l'atmosphère humoristique typique de la série et, surtout, à des petits développements plutôt bien menés.
La première partie est donc surtout l'occasion de découvrir un nouveau personnage en Yun-Yun, fille du chef du clan Kôma et rivale autoproclamée de Megumin, qui était avec elle à l'école au village Kôma. Proche de Megumin en apparence mais assez différente côté comportement et mentalité, cette demoiselle est un plaisir à découvrir, surtout de par son lien particulier et rigolo avec notre chère lolita magicienne, et via sa nature sans doute un peu trop bonne poire... Qui plus est, l'occasion est aussi donnée d'entrevoir de très brèves évolutions du lien de Megumin avec Kazuma, la jeune fille grandissant un peu plus en atteignant bientôt ses 14 ans. Est-ce que cela va changer quoi que ce soit ? En tout cas, une chose est sûre: on s'amuse bien en voyant Kazuma comparer la talentueuse Yun-Yun à l'espèce de bras cassé qui lui sert de compagne d'aventure.
La deuxième partie du tome, en plus d'être légèrement plus longue que les deux autres, est sans doute aussi la plus intéressante au vu de ce que l'on apprend des véritables origines de Darkness ! S'en suit une affaire de rencontre arrangée rondement menée, car là où Darkness fomente des plans pour faire échouer la rencontre, Kazuma, lui, risque bien de la surprendre en adoptant un comportement totalement imprévu... Il en résulte quelques bons quiproquos et un comique de situation bien exploité, encore plus quand ils 'agit d'utiliser les goûts si particulier de notre chère guerrière blonde, surtout en matière d'hommes !
Quant à l'affaire au Donjon de Keel, elle s'avère classique mais rappelle à notre mémoire les problèmes autour du roi démon, et amuse gentiment entre la dégaine des petits monstres, le comportement de l'ennemi ou encore la manipulation du corps de Darkness, cette dernière étant décidément bien en vue dans ce tome contrairement à une Aqua plus discrète (même si, rassurez-vous, elle a ses quelques élans de bêtises).
La formule reste alors assez classique, mais entre l'humour bien présent (mention spéciale aux instants où nos héros se "malmènent" entre eux), la nouvelle venue réussie qu'est Yun-Yun ou certains développements sympathiques autour de Darkness, on n'a jamais le temps de s'ennuyer à la lecture de cette version manga, qui n'a pas de grosse prétention et divertir facilement. Et avec, à la clé de tout ça, une sorte de petite fin de partie concernant les problèmes judiciaires et financiers de Kazuma, on attendra avec d'autant plus de curiosité la suite.
12/03/2024 
16/07/2024 