Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 17 Décembre 2021
Alors que la situation semblait proche de prendre un virage plus intense entre Kazuma et Megumin, c'est le moment qu'a choisi Sylvia pour passer à l'attaque sur le village Kôma avec ses troupes démoniaques ! Son objectif premier est assez simple: récupérer l'arme secrète du village, bien cachée... et pour ça, elle n'hésitera pas à prendre en otage notre héros ! Lui qui, brillamment mû par sa lâcheté, voulait fuir discrètement, c'est finalement son autre tare, la perversité, qui prend le dessus, puisque visiblement ça ne le dérange absolument pas d'être retenu contre la généreuse poitrine de Sylvia... du moins, jusqu'à ce qu'il apprenne les petites secret chimérique de ce général du roi-démon. Face à une situation qui semble aller de mal en pis (et où Kazuma n'est pas totalement étranger...), que pourront faire Megumin, Yunyun et les autres pour empêcher le village Kôma d'être totalement rasé et pour éliminer Sylvia ?
La réponse tombera dès ce tome, qui achève déjà un arc que l'on aurait facilement imaginé un peu plus long, étant donné qu'il prend place en un lieu dont on entend parler depuis longtemps et dont est originaire Megumin, le personnage le plus populaire de Konosuba. Cependant, pas de réelle déception ici, car même si le schéma de base reste très standard avec cette nouvelle confrontation contre une général du roi-démon, les auteurs le développent à leur sauce... c'est-à-dire avec un humour quasiment omniprésent et capable d'être tour à tour loufoque, absurde, grotesque, sans oublier de malmener quelque peu les personnages ou de briser d'emblée leur rares moments de gloire possible.
Car dans Konosuba, les personnages restent quasiment tous un peu des bras cassés, et le romancier d'origine Natsume Akatsuki ainsi que le mangaka Masahito Watari se font souvent une joie de nous le rappeler. Cela passe autant par les traits habituels de nos héros (les côtés lâches ou vicieux de Kazuma quand il n'essaie pas de rechercher la gloire facile, les conséquences de la magie explosive de Megumin, le masochisme de Darkness, l'inutilité d'Aqua) que par le comportement de certains personnages secondaires, en tête desquels l'autoproclamé groupe de protection du village qui passe son temps à se téléporter en guise de technique ultime. Mais c'est peut-être surtout sur deux autres points que les auteurs amusent le plus: d'un côté l'utilisation des différents éléments bizarres installés dans le tome précédent (le bâtiment aux allures d'usine moderne, la fusil corde à linge...), et de l'autre la vérité sur les origines du village Kôma et de ses habitants.
A l'arrivée, on pouvait certes attendre un petit peu plus de cet arc, mais le fait est que l'on ne s'y ennuie jamais grâce à l'humour typique de la série. Qui plus est, la fin du volume prend déjà soin d'ouvrir avec efficacité un nouvel arc d'ores et déjà prometteur, entre son nouveau personnage pas piqué des hannetons et les nouveaux problèmes qui se profilent !
La réponse tombera dès ce tome, qui achève déjà un arc que l'on aurait facilement imaginé un peu plus long, étant donné qu'il prend place en un lieu dont on entend parler depuis longtemps et dont est originaire Megumin, le personnage le plus populaire de Konosuba. Cependant, pas de réelle déception ici, car même si le schéma de base reste très standard avec cette nouvelle confrontation contre une général du roi-démon, les auteurs le développent à leur sauce... c'est-à-dire avec un humour quasiment omniprésent et capable d'être tour à tour loufoque, absurde, grotesque, sans oublier de malmener quelque peu les personnages ou de briser d'emblée leur rares moments de gloire possible.
Car dans Konosuba, les personnages restent quasiment tous un peu des bras cassés, et le romancier d'origine Natsume Akatsuki ainsi que le mangaka Masahito Watari se font souvent une joie de nous le rappeler. Cela passe autant par les traits habituels de nos héros (les côtés lâches ou vicieux de Kazuma quand il n'essaie pas de rechercher la gloire facile, les conséquences de la magie explosive de Megumin, le masochisme de Darkness, l'inutilité d'Aqua) que par le comportement de certains personnages secondaires, en tête desquels l'autoproclamé groupe de protection du village qui passe son temps à se téléporter en guise de technique ultime. Mais c'est peut-être surtout sur deux autres points que les auteurs amusent le plus: d'un côté l'utilisation des différents éléments bizarres installés dans le tome précédent (le bâtiment aux allures d'usine moderne, la fusil corde à linge...), et de l'autre la vérité sur les origines du village Kôma et de ses habitants.
A l'arrivée, on pouvait certes attendre un petit peu plus de cet arc, mais le fait est que l'on ne s'y ennuie jamais grâce à l'humour typique de la série. Qui plus est, la fin du volume prend déjà soin d'ouvrir avec efficacité un nouvel arc d'ores et déjà prometteur, entre son nouveau personnage pas piqué des hannetons et les nouveaux problèmes qui se profilent !
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