Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 16 Février 2016
Kenichi décide enfin de prendre son entraînement au sérieux et il doit donc subir les terribles épreuves de tous les maîtres de Ryozampaku...Et sans s'en rendre compte, il progresse peu à peu.
Pendant ce temps Kisara rejoint les huit chefs de Ragnarok et décide de s'en prendre à nouveau à notre jeune héros. Mais n'est-ce pas encore un peu tôt pour le disciple numéro un de Ryozampaku ?
Les choses sérieuses commencent doucement à se mettre en place dans ce tome, bien que nous réservant encore une grande partie consacrée à l’entraînement de Kenichi. On aurait peut être préféré ne pas s'attarder autant sur cette phase, passage obligé des shonens, mais c'est fait avec tellement d'humour que cela passe tout seul et qu'on en redemande presque.
Mais avant cela, le tome s'ouvre sur un autre cliché du genre : le fameux chapitre dédié à la plage : tous les protagonistes se rendent à la plage pour passer un bon moment, mais bien évidemment dans ce titre rien ne peut se passer simplement, et certainement pas pour Kenichi.
Là encore on s'amuse beaucoup et on prend toujours autant de plaisir à la lecture...l'humour compensant grandement le manque d'originalité !
Ensuite on revient sur des choses plus importantes, notamment la guerre contre le Ragnarok et ses champions. On apprend que ces derniers sont au nombre de huit et que Kisara les rejoint !
Une ombre menaçante pèse sur notre jeune héros qui va peu à peu prendre conscience des résultats de son entraînement.
La dernière partie du tome va donc nous proposer des affrontements assez intéressants, où là encore l'auteur ne nous épargnera aucun cliché, notamment ceux sur l'amitié et les sacrifices que les personnages sont prêts à faire en son nom. Mais c'est aussi l'occasion de mettre en scène des personnages amusants qu'on pensait peut-être ne plus revoir, mais que l'auteur semble bien décidé à garder dans sa série, et c'est tant mieux !
Un sixième tome intéressant qui marque réellement le passage entre les fioritures du début de la série à des choses plus concrètes et plus sérieuses… La guerre commence enfin réellement et cela va nous occuper un moment ! Tant mieux !
Pendant ce temps Kisara rejoint les huit chefs de Ragnarok et décide de s'en prendre à nouveau à notre jeune héros. Mais n'est-ce pas encore un peu tôt pour le disciple numéro un de Ryozampaku ?
Les choses sérieuses commencent doucement à se mettre en place dans ce tome, bien que nous réservant encore une grande partie consacrée à l’entraînement de Kenichi. On aurait peut être préféré ne pas s'attarder autant sur cette phase, passage obligé des shonens, mais c'est fait avec tellement d'humour que cela passe tout seul et qu'on en redemande presque.
Mais avant cela, le tome s'ouvre sur un autre cliché du genre : le fameux chapitre dédié à la plage : tous les protagonistes se rendent à la plage pour passer un bon moment, mais bien évidemment dans ce titre rien ne peut se passer simplement, et certainement pas pour Kenichi.
Là encore on s'amuse beaucoup et on prend toujours autant de plaisir à la lecture...l'humour compensant grandement le manque d'originalité !
Ensuite on revient sur des choses plus importantes, notamment la guerre contre le Ragnarok et ses champions. On apprend que ces derniers sont au nombre de huit et que Kisara les rejoint !
Une ombre menaçante pèse sur notre jeune héros qui va peu à peu prendre conscience des résultats de son entraînement.
La dernière partie du tome va donc nous proposer des affrontements assez intéressants, où là encore l'auteur ne nous épargnera aucun cliché, notamment ceux sur l'amitié et les sacrifices que les personnages sont prêts à faire en son nom. Mais c'est aussi l'occasion de mettre en scène des personnages amusants qu'on pensait peut-être ne plus revoir, mais que l'auteur semble bien décidé à garder dans sa série, et c'est tant mieux !
Un sixième tome intéressant qui marque réellement le passage entre les fioritures du début de la série à des choses plus concrètes et plus sérieuses… La guerre commence enfin réellement et cela va nous occuper un moment ! Tant mieux !
06/12/2018 