Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 04 Janvier 2021
Petit à petit, Isabella et son guide Ito se rapprochent de la ville d'Akita, cité où le jeune homme est censé faire ses adieux à l'aventurière car il est sommé par Mariès de revenir à ses côtés. Mais la situation est-elle si simple ? Alors qu'Isabella a absolument besoin de lui pour continuer son périple en direction du nord, Ito ne sait plus où il en est, encore plus depuis que la jeune femme lui a dit que ce voyage devrait être le dernier de sa vie car elle a prévu de se marier une fois rentrée en Angleterre. Mais avant les possibles séparations, il leur reste encore bien des choses à découvrir...
Et ces choses à découvrir, elles restent encore et toujours l'un des leitmotiv que la série, ainsi qu'un aspect que Taiga Sassa continue d'aborder avec une certaine richesse, mais sans trop s'étirer non plus. Que ce soit le long du fleuve Mono, ou à Akita-même où elle retrouve notamment le Dr Kobayashi (dont elle écorche toujours le nom), Isabella se frotte à pas mal de découvertes, d'échanges, en confrontant parfois forcément sa culture occidentale à celle de son pays hôte. L'offre d'un peigne à sa promise lors de la demande en mariage, la vision du divorce, la découverte de biscuits typiques de la région d'Akita, certaines éléments sur la méthode d'éducation, la méthode de soin du massage anma, le style d'écriture chirashigaki utilisé pour les cartes de voeux et autres occasions spéciales... sont certaines des différentes choses qui sont évoquées de façon intéressante au fil de ce septième opus.
Mais bien sûr, la lecture ne se limite pas à ça. Ainsi a-t-on l'occasion de revenir un petit peu sur le ministre plénipotentiaire Harry Parkes et son épouse Fanny (qui, d'ailleurs, s'affichent ensemble sur la jaquette) puis sur les objectifs de Mariès à Ezo, tout comme on voit nos héros continuer d'évoluer petit à petit, entre des pratiques de massage qui pourraient bien aider le corps d'Isabella, la découverte en Ito d'un jeune homme ne sachant pas manier les couverts, ou encore le bref focus sur les nombreuses lettres de remerciements cristallisant bien tout le chemin et toutes les rencontres faits jusqu'à présent... De petits détails anodins à des éléments plus importants, on a à nouveau l'occasion de ressentir tout ce qu'Isabella et Ito ont déjà vécu ensemble... Alors à l'arrivée, que voudra faire Itô ?
Cette dernière interrogation est évidemment l'un des éléments cruciaux du volume, d'autant plus que le duo est désormais arrivé à Akita et qu'Ito doit donc affirmer une décision. Et même si, dans les faits, Taiga Sassa n'étonne évidemment pas voire aborde un peu vite la chose, on en ressort tout de même convaincu, dans la mesure où on cerne suffisamment ce que peut bien ressentir le jeune guide japonais en voyant avec la femme anglaise, ainsi que son rôle encore et toujours essentiel auprès d'elle.
En résulte un volume qui, à l'instar des précédents, s'avère particulièrement agréable et plutôt riche. Après 7 volumes, aucune lassitude envers la série de Taiga Sassa, ni envers le voyage toujours aussi passionnant de notre héroïne exploratrice et de son indispensable guide.
Et ces choses à découvrir, elles restent encore et toujours l'un des leitmotiv que la série, ainsi qu'un aspect que Taiga Sassa continue d'aborder avec une certaine richesse, mais sans trop s'étirer non plus. Que ce soit le long du fleuve Mono, ou à Akita-même où elle retrouve notamment le Dr Kobayashi (dont elle écorche toujours le nom), Isabella se frotte à pas mal de découvertes, d'échanges, en confrontant parfois forcément sa culture occidentale à celle de son pays hôte. L'offre d'un peigne à sa promise lors de la demande en mariage, la vision du divorce, la découverte de biscuits typiques de la région d'Akita, certaines éléments sur la méthode d'éducation, la méthode de soin du massage anma, le style d'écriture chirashigaki utilisé pour les cartes de voeux et autres occasions spéciales... sont certaines des différentes choses qui sont évoquées de façon intéressante au fil de ce septième opus.
Mais bien sûr, la lecture ne se limite pas à ça. Ainsi a-t-on l'occasion de revenir un petit peu sur le ministre plénipotentiaire Harry Parkes et son épouse Fanny (qui, d'ailleurs, s'affichent ensemble sur la jaquette) puis sur les objectifs de Mariès à Ezo, tout comme on voit nos héros continuer d'évoluer petit à petit, entre des pratiques de massage qui pourraient bien aider le corps d'Isabella, la découverte en Ito d'un jeune homme ne sachant pas manier les couverts, ou encore le bref focus sur les nombreuses lettres de remerciements cristallisant bien tout le chemin et toutes les rencontres faits jusqu'à présent... De petits détails anodins à des éléments plus importants, on a à nouveau l'occasion de ressentir tout ce qu'Isabella et Ito ont déjà vécu ensemble... Alors à l'arrivée, que voudra faire Itô ?
Cette dernière interrogation est évidemment l'un des éléments cruciaux du volume, d'autant plus que le duo est désormais arrivé à Akita et qu'Ito doit donc affirmer une décision. Et même si, dans les faits, Taiga Sassa n'étonne évidemment pas voire aborde un peu vite la chose, on en ressort tout de même convaincu, dans la mesure où on cerne suffisamment ce que peut bien ressentir le jeune guide japonais en voyant avec la femme anglaise, ainsi que son rôle encore et toujours essentiel auprès d'elle.
En résulte un volume qui, à l'instar des précédents, s'avère particulièrement agréable et plutôt riche. Après 7 volumes, aucune lassitude envers la série de Taiga Sassa, ni envers le voyage toujours aussi passionnant de notre héroïne exploratrice et de son indispensable guide.
24/08/2023 