Interspecies Reviewers Vol.9 - Actualité manga
Interspecies Reviewers Vol.9 - Manga

Interspecies Reviewers Vol.9 : Critiques

Ishuzoku Reviewers

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 05 Juin 2025

En tant que chroniqueurs et gros ni**eurs, Stunk et ses acolytes ne sont jamais à la bourre quand il est question de bonne bourre, et ils vont encore le démontrer tout au long de ce neuvième opus où s'enchaînent à nouveau les expériences sexuelles parfois très satisfaisantes, parfois beaucoup plus étranges, mais toujours farfelues à souhait sous la plume assez inventive d'Amahara et les dessins expressifs et loufoques de masha.

Un lac où les espèces végétales et les reptiles se dorent la pilule en attendant d'éventuels bons coups. Des humaines bronzées adeptes d'huile. Les 1001 jouets qu'un défunt enchanteur gardait chez lui. Un strip-club reconnu pour ses transformations dignes de magical girls. Une pyramide de succubes gardées par une jolie sphinge adapter de quiz. La plus grande tour à succubes du mondes où bien des plaisirs différents son envisageables. un établissement au fonctionnement particulier et où les succubes choisissent elles-même leur partenaire... Tel est le programme qui attend cette fois-ci les auteurs de la plus coquine des gazettes.

Dans les faits, cette fois-ci il est beaucoup question de succubes, et les deux mangakas ne font que survoler certaines idées (comme celle des humaines faisant bien des choses avec de l'huile). Et pourtant, il y a toujours suffisamment de renouvellement dans le délire d'Amahara et de masha, quitte à ce que ceux-ci s'éloignent un petit peu du sexe pur et dur pour flirter avec d'autres possibilités, à l'image des objets enchantés laissés par le défunt Civelard et de l'énigme de la sphinge détournant quelque peu la célèbre énigme du sphinx. Et tandis que le scénariste imagine quelques situations franchement délicieuses et rigolotes (coucou la partie de jambes en l'air onirique avec Maidrea), le dessinateur rend toujours aussi fun les choses grâce à son trait assez cartoonesque, et Grégoire Labasse (qui a pris la relève de Kevin Stocker à la traduction) continue d'offrir une version française riche en petits jeux de mots décomplexés.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
13.5 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs