Interspecies Reviewers Vol.7 - Manga

Interspecies Reviewers Vol.7 : Critiques

Ishuzoku Reviewers

Critique du volume manga

Publiée le Jeudi, 07 Mars 2024

Après une expérimentation de Démia chez Death Abyss avec des succubes pour obtenir à volonté de la semence d'ange de contrefaçon, les aventuriers les plus vicelards de ce monde reprennent leurs agréables activités, en charmantes compagnies, et à la découverte de diverses pratiques.

Ici, ils ont dans l'idée d'aller faire la chose dans un boxon de femmes des neiges, mais avant ça ils devront s'assurer d'être assez résistants au froid via des tests plus ou moins heureux. Là, ils ont l'opportunité de participer à une gigantesque orgie de femmes-cigales qui veulent à tout prix laisser une descendance avant leur mort prochaine. Quand Stunk se retrouve accusé du harcèlement d'une vouivre à force d'être trop cash dans ses propos, le voici obligé de faire peine de stage pour se sensibiliser à des choses fâcheuses qu'il méconnaît. Et quand nos héros découvrent les éroglyphes, ils y voient forcément le moyen idéal de tenter encore de nouvelles choses grâce à ces tatouages magiques à graver (ou à coller, en cas de décalcomanies) pour conférer des effets sexuels aussi divers que variés.

Après sept volumes, le scénariste Amahara ne manque toujours pas de ressources pour renouveler son récit: non seulement il met toujours en scène beaucoup d'espèces différentes et a aussi la bonne idée de refaire appel à certaines filles déjà croisées pour les mettre dans de nouvelles situations, mais en plus il propose quelques "arcs" un peu plus longs et dont il peut alors exploiter un peu plus les spécificités, et enfin il a déniché une chouette idée dans le concept des éroglyphes qui ont tout pour ouvrir les personnages à des pratiques, lubies et désirs nouveau ou habituellement difficilement accessibles. Quant au dessinateur masha, il semble toujours autant s'amuser à mettre en images tout ça dans un style assez cartoonesque (d'autant plus que certaines espèces vues dans ce volume sont assez loufoques de base), et ce rendu visuel contribue toujours à offrir à l'oeuvre une tonalité plus délirante qu'autre chose.

Bien sûr, pour apprécier la lecture, la condition reste toujours d'avoir adhéré au concept de base, si particulier. Et si c'est le cas, ce 7e volume reste efficace dans son genre.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs