Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 26 Octobre 2021
L'humain Stunk, l'elfe Zel, l'ange Curim et leurs autres amis libidineux ne rechignent jamais à la tâche quand il s'agit de parfaire leurs "connaissances" pour leurs chroniques des meilleurs lupanars des environs, et ils vont encore le prouver allègrement au fil d'un deuxième volume court (même pas 120 pages) mais intense (surtout pour eux et leurs partenaires).
Femmes-champignons de tous types et parfois bien trippantes, golem avec ce que ça implique de petites particularités/personnalisations (la seule limite avec ce type de partenaire étant la créativité de ces messieurs), femmes ovipares telles que les harpies (et non, n'essayez même pas d'approcher notre chère Maidrea) ou des reptiles pas très attirantes vues comme ça, mortes-vivantes diverses et variées (squelettes comprises)... L'imagination du scénariste Amahara est toujours bel et bien là pour mettre en scène tout un bestiaire farfelu sous l'angle du sexe, l'auteur s'offrant aussi quelques variantes où ses héros ont l'occasion d'aller encore plus loin dans l'exploitation de certaines espèces, notamment au sein de la maison close spécialisée dans les jeux de rôle.
La recette est un peu répétitive, faisant que l'oeuvre est surtout fun à lire à petites doses. Mais dans tous les cas, entre l'utilisation assez poussée de certaines caractéristiques des différentes sortes de prostituées, les comptes-rendus souvent pimentés de nos héros suite à leurs bonnes ou moins bonnes expériences, et la traduction française toujours aussi délirante dans son côté cash et rentre-dedans, Interspecies Reviewers a toujours de quoi séduire son public, dès lors que l'on adhère à son délire.
Et qui plus est, le dessinateur masha accompagne toujours les choses efficacement, avec un trait jouant bien moins sur un éventuel côté sexy/érotique (la série ne l'est en réalité jamais beaucoup) que sur un aspect "cartoonesque" bienvenu.
Femmes-champignons de tous types et parfois bien trippantes, golem avec ce que ça implique de petites particularités/personnalisations (la seule limite avec ce type de partenaire étant la créativité de ces messieurs), femmes ovipares telles que les harpies (et non, n'essayez même pas d'approcher notre chère Maidrea) ou des reptiles pas très attirantes vues comme ça, mortes-vivantes diverses et variées (squelettes comprises)... L'imagination du scénariste Amahara est toujours bel et bien là pour mettre en scène tout un bestiaire farfelu sous l'angle du sexe, l'auteur s'offrant aussi quelques variantes où ses héros ont l'occasion d'aller encore plus loin dans l'exploitation de certaines espèces, notamment au sein de la maison close spécialisée dans les jeux de rôle.
La recette est un peu répétitive, faisant que l'oeuvre est surtout fun à lire à petites doses. Mais dans tous les cas, entre l'utilisation assez poussée de certaines caractéristiques des différentes sortes de prostituées, les comptes-rendus souvent pimentés de nos héros suite à leurs bonnes ou moins bonnes expériences, et la traduction française toujours aussi délirante dans son côté cash et rentre-dedans, Interspecies Reviewers a toujours de quoi séduire son public, dès lors que l'on adhère à son délire.
Et qui plus est, le dessinateur masha accompagne toujours les choses efficacement, avec un trait jouant bien moins sur un éventuel côté sexy/érotique (la série ne l'est en réalité jamais beaucoup) que sur un aspect "cartoonesque" bienvenu.
26/01/2024 