Ikkitousen Vol.7 : Critiques

L'académie de Kyosho passe à l'attaque. L'heure est à la résistance dans les académies de Seito et Nanyo. Seito est organisée, comptant sur la puissance de Kanu et Ekitoku, attendant le réveil du dragon sommeillant dans la dirigeante, Ryubi Gentoku, une intello excentrique refusant la violence.
Nanyo est fragilisée : un mal ronge Hakufu Sonsaku de l'intérieur, Kokin se remet de ses blessures et repart à l'entraînement, Ryomo perfectionne sa technique. Mais Kannei, un des quatre champions de Nanyo, face à la menace représentée par Kakoen Myosai, décide sous les ordres de celle-ci d'attaquer Sonsaku.

Ce tome est l'occasion de voir les chevalières de Seito à l'oeuvre, en particulier la puissante et superbe Kanu. Les personnages de l'académie de Nanyo passent ainsi au second plan. Que l'auteur cherche ainsi un embryon de scénario à faire avancer n'est pas déplaisant.

Les situations grotesques sont toujours légions : attributs féminins apparaissant lors des combats à cause de vêtements déchirés, héroïne bourrée et idiote...
Le design des héroïnes est de plus en plus efficace et les combats sont plutôt bien mis en scène.

Le scénario ne devient pas plus brouillon qu'il ne l'était déjà, quelques petits flashbacks font leur apparition, les héroïnes sont au top de leurs formes (c'est le cas de le dire) : ce tome d'Ikkitousen ne s'en sort pas trop mal.