Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 20 Janvier 2014
La kermesse d’Izumizaka débute, le moment opportun pour que le club de cinéma présente son nouveau film ! Mais bien évidemment, tout ne se passe pas comme prévu : chaque membre du club rencontre ses déboires, et Junpei se retrouve au cœur de discorde autour de Chinami Hashimoto, une jeune fille aussi mignonne qu’intéressée par le luxe, sujet à la vendetta de son ex petit-ami…
On avait peur qu’Ichigo 100% commence à tourner en rond et pour remédier à ça, Mizuki Kawashita décide d’introduire un nouveau personnage féminin à sa joyeuse bande. Et cette fois encore, ce n’est pas une prétendante au harem de Junpei qui fait irruption dans l’œuvre. Chinami complète très bien la galerie de protagoniste présentée jusqu’ici puisque le personnage est capricieux au possible, tout en étant très différent de Yui. La kermesse du lycée Izumizaka n’est au final qu’un vaste prétexte pour introduire le personnage de manière fracassante : Quiproquos en tout genre, scènes frivoles… le ton est donné autour du personnage. Nous retenons ainsi que Chinami est un personnage que certains n’apprécieront pas, mais force est de constater que l’auteure a créé le personnage de manière pertinente, afin d'équilibrer le casting de personnages le mieux possible.
La seconde partie de ce tome ouvre un nouvel arc autour d’un voyage scolaire à Kyoto, ville qui accueille les classes de Junpei mais aussi celle de Tsukasa. La recette est simple mais la mangaka parvient à enchainer les situations qui s’avèrent diversifiées, une sorte de best-of de tout ce qui a été fait précédemment. Le nouvel élément intégré ici est l’insertion frauduleuse de Chinami dans le périple, le moyen d’associer le nouveau personnage à cette aventure même si son rôle est des plus moindres. Les évènements « classiques » s’enchainent ensuite, parmi eux une séquence chaude entre Junpei et Satsuki, un baiser presque échangé avec Aya, une virée avec Tsukasa… Le récit entretient en tout cas le doute sur les sentiments de Junpei. On pouvait penser que ce tome relancerait leur romance mais décidément, Mizuki Kawashita adore le personnage de Tsukasa, l’héroïne la plus réussie du titre, qui pique de nouveau la vedette à son amie écrivaine pour une virée avec Junpei. Au final, de qui notre héros est-il épris ? La réponse tardera à nous parvenir, c’est certains…
Ainsi, ce dixième tome tente de se renouveler grâce à l’insertion d’un nouveau personnage dans la bande de Junpei, la jolie et capricieuse Chinami. Néanmoins, s’il l’auteur exploite bien le personnage durant la première moitié de tome, la second repart dans un récit plus classique, ponctué de scènes coquines, de quiproquos, et de séquences plus intimes entre deux personnages. Mizuki Kawashita excelle dans ce genre de séquences, c'est certain, mais à force de les enchainer tout en maintenant une histoire tournant en rond, le lecteur pourrait définitivement se lasser. Il reste ainsi neuf volumes à la mangaka pour se renouveler et proposer de nouvelles choses, sans quoi la sauce pourrait ne plus prendre.
On avait peur qu’Ichigo 100% commence à tourner en rond et pour remédier à ça, Mizuki Kawashita décide d’introduire un nouveau personnage féminin à sa joyeuse bande. Et cette fois encore, ce n’est pas une prétendante au harem de Junpei qui fait irruption dans l’œuvre. Chinami complète très bien la galerie de protagoniste présentée jusqu’ici puisque le personnage est capricieux au possible, tout en étant très différent de Yui. La kermesse du lycée Izumizaka n’est au final qu’un vaste prétexte pour introduire le personnage de manière fracassante : Quiproquos en tout genre, scènes frivoles… le ton est donné autour du personnage. Nous retenons ainsi que Chinami est un personnage que certains n’apprécieront pas, mais force est de constater que l’auteure a créé le personnage de manière pertinente, afin d'équilibrer le casting de personnages le mieux possible.
La seconde partie de ce tome ouvre un nouvel arc autour d’un voyage scolaire à Kyoto, ville qui accueille les classes de Junpei mais aussi celle de Tsukasa. La recette est simple mais la mangaka parvient à enchainer les situations qui s’avèrent diversifiées, une sorte de best-of de tout ce qui a été fait précédemment. Le nouvel élément intégré ici est l’insertion frauduleuse de Chinami dans le périple, le moyen d’associer le nouveau personnage à cette aventure même si son rôle est des plus moindres. Les évènements « classiques » s’enchainent ensuite, parmi eux une séquence chaude entre Junpei et Satsuki, un baiser presque échangé avec Aya, une virée avec Tsukasa… Le récit entretient en tout cas le doute sur les sentiments de Junpei. On pouvait penser que ce tome relancerait leur romance mais décidément, Mizuki Kawashita adore le personnage de Tsukasa, l’héroïne la plus réussie du titre, qui pique de nouveau la vedette à son amie écrivaine pour une virée avec Junpei. Au final, de qui notre héros est-il épris ? La réponse tardera à nous parvenir, c’est certains…
Ainsi, ce dixième tome tente de se renouveler grâce à l’insertion d’un nouveau personnage dans la bande de Junpei, la jolie et capricieuse Chinami. Néanmoins, s’il l’auteur exploite bien le personnage durant la première moitié de tome, la second repart dans un récit plus classique, ponctué de scènes coquines, de quiproquos, et de séquences plus intimes entre deux personnages. Mizuki Kawashita excelle dans ce genre de séquences, c'est certain, mais à force de les enchainer tout en maintenant une histoire tournant en rond, le lecteur pourrait définitivement se lasser. Il reste ainsi neuf volumes à la mangaka pour se renouveler et proposer de nouvelles choses, sans quoi la sauce pourrait ne plus prendre.
17/06/2009 