Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 31 Mai 2019
Alors que Sagiri et Gabimaru font face aux créatures grotesques de l'île, ils vont croiser la route de Yuzuriha, une shinobi assez atypique qui va leur proposer de faire équipe. Bien évidemment, cette alliance ne tiendra que tant qu'ils auront des intérêts communs, mais ils accepteront rapidement, car celle-ci a de nombreuses informations qu'elle a récolté de manière assez... hasardeuse. Elle est accompagné de deux exécuteurs dont l''un, Genji, va rapidement se mettre en tête de renvoyer Sagiri chez elle...
En parallèle, nous suivons les frères Aza, Chôbê et Tôma. L'un s'était engagé parmi les exécuteurs pour délivrer son frère aîné. Les deux survivent temps bien que mal sur l'île, bien qu'ils fassent preuve d'une capacité d'adaptation exceptionnelle, tout particulièrement Chôbê...
Heureusement que chaque chapitre a un fiche de présentation des personnages, sinon il serait bien difficile de s'y retrouver ! Bien que notre duo principal soit le centre de l'intrigue, on sent que Yûji Kaku commence à nous présenter les personnages qu'il a décidé de mettre en avant. L'intrigue s'est débarrassé du « surplus » de personnages dès les premiers chapitres, et nous voilà maintenant avec le noyau dur. A voir si celui-ci bougera dans les tomes à venir, sans doute, mais mon petit doigt me dit que les personnages mis en avant dans ce tome resteront un petit moment maintenant.
Ce tome marque aussi l'apparition sur le devant de la scène de deux personnages : Urugai et Tenza. Urugai est l'unique survivante de son clan et Tenza, son exécuteur, a décidé d'en faire sa protégée. Un duo atypique et plutôt naïf. A voir dans le futur ce que ces deux personnages auront comme incidence, mais on peut s'attendre à ce qu'ils deviennent la « bonne conscience » des autres personnages.
Ce tome est également celui de l'affrontement avec Rokurôta. Un affrontement dantesque qui démontre encore une fois des capacités extraordinaires de Gabimaru, tout en nous offrant une belle perspective de travail en équipe avec son exécutrice, Sagiri. Leur relation est d'ailleurs très bien traité et nous donne vraiment de les suivre. Chacun d'eux à ses doutes, ses préoccupation et c'est en observant l'autre qu'ils parviennent à progresser. Si le précédent tome s'était plus pencher sur Gabimaru, ici c'est Sagiri la vedette et son cheminement intérieur est tout ce qu'il y a de plus pertinent.
En parallèle, nous suivons les frères Aza, Chôbê et Tôma. L'un s'était engagé parmi les exécuteurs pour délivrer son frère aîné. Les deux survivent temps bien que mal sur l'île, bien qu'ils fassent preuve d'une capacité d'adaptation exceptionnelle, tout particulièrement Chôbê...
Heureusement que chaque chapitre a un fiche de présentation des personnages, sinon il serait bien difficile de s'y retrouver ! Bien que notre duo principal soit le centre de l'intrigue, on sent que Yûji Kaku commence à nous présenter les personnages qu'il a décidé de mettre en avant. L'intrigue s'est débarrassé du « surplus » de personnages dès les premiers chapitres, et nous voilà maintenant avec le noyau dur. A voir si celui-ci bougera dans les tomes à venir, sans doute, mais mon petit doigt me dit que les personnages mis en avant dans ce tome resteront un petit moment maintenant.
Ce tome marque aussi l'apparition sur le devant de la scène de deux personnages : Urugai et Tenza. Urugai est l'unique survivante de son clan et Tenza, son exécuteur, a décidé d'en faire sa protégée. Un duo atypique et plutôt naïf. A voir dans le futur ce que ces deux personnages auront comme incidence, mais on peut s'attendre à ce qu'ils deviennent la « bonne conscience » des autres personnages.
Ce tome est également celui de l'affrontement avec Rokurôta. Un affrontement dantesque qui démontre encore une fois des capacités extraordinaires de Gabimaru, tout en nous offrant une belle perspective de travail en équipe avec son exécutrice, Sagiri. Leur relation est d'ailleurs très bien traité et nous donne vraiment de les suivre. Chacun d'eux à ses doutes, ses préoccupation et c'est en observant l'autre qu'ils parviennent à progresser. Si le précédent tome s'était plus pencher sur Gabimaru, ici c'est Sagiri la vedette et son cheminement intérieur est tout ce qu'il y a de plus pertinent.
Ce deuxième tome continue de nous intriguer. Des alliances se forment, mais sont très fragiles. Seul notre duo principal semble vouer à perdurer, et encore, la folie de l’île sur laquelle il se trouve risque bien de mettre à mal leurs convictions et leur « amitié » naissante. « Hell’s paradise » est un shônen qui vaut le coup d’œil, de part son côté atypique et sans concession. A voir si l’intrigue tiendra la route sur la longueur !
08/11/2023 