Hayate the combat butler Vol.8 - Actualité manga
Hayate the combat butler Vol.8 - Manga

Hayate the combat butler Vol.8 : Critiques

Hayate no gotoku

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 16 Septembre 2015

Hayate a accidentellement vu Nagi toute nue, ce qui gêne fortement la jeune fille qui décide de congédier son majordome pendant quelques jours ! Seul problème : Hayate est sans le sou, et Maria a beau lui donner une somme importante, un concours de circonstances fait qu'il perd peu à peu la somme... Fauché un jour, fauché toujours ! Notre héros est alors recueilli par Hinagiku...

Après un passage assez amusant où l'on suit Hayate perdant bien malgré lui la somme colossale qui lui avait été remise, l'heure est venue pour lui d'être recueilli par Hinagiku, au fil de quelques chapitres qui sont principalement l'occasion de découvrir un peu plus cette dernière, notamment ses sentiments. Rien de très poussé, mais la jeune fille y gagne tout de même un peu en intérêt, et l'humour est toujours présent, notamment grâce au passage où Maria remet son uniforme scolaire, ou aux nombreux clins d'oeil à la culture pop japonaise auxquels Kenjirô Hata nous a désormais habitués.

La suite du tome n'est pas en reste, avec l'apparition d'un chaton qui n'a pas fini de rendre les uns gaga (Nagi et Isumi en tête, mais à leur manière !) et d'horripiler les autres. Sur ce dernier point, c'est le tigre Tama qui est mis à l'honneur avec une amusante crise de jalousie qui se retournera contre lui. La bonne soeur (et ses sentiments), Wataru et Saki sont eux aussi présents via un petit chapitre, avant que les choses ne se terminent sur une partie de pêche.

Les courts chapitres plus ou moins indépendants alternent avec des passages un peu plus longs (comme celui avec Hinagiku ou celui avec le chaton), et l'auteur se montre tantôt inspiré, tantôt plus basique. Dans tous les cas, si l'on a aimé les tomes précédent s'il n'y a aucune raison de bouder son plaisir, malgré la traduction à nouveau maladroite, entre les quiproquos mal rendus, les notes trop basiques sur les clins d'oeil, et la grosse absence de travail d'adaptation (par exemple, concernant le gag sur le nom de Shiranui donné au chaton, qui tombe complètement à plat).


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
13 20
Note de la rédaction