Freezing Vol.27 - Actualité manga

Critique du volume manga

Publiée le Mercredi, 14 Octobre 2015

L'impensable se produit : en puisant dans l'énergie de Cassandra, Kazuya parvient à paralyser les Nova avec son Freezing... mais est-il prêt à accepter un tel pouvoir ? La crainte s'empare de lui, il est proche de sombrer dans la folie, mais une main secourable vient l'apaiser : celle de Cassandra, au contact de laquelle notre héros va replonger dans les secrets de sa naissance...

Après plusieurs volumes axés action et alors que le combat contre les Nova est encore loin d'être fini, l'heure set enfin venue de découvrir le contexte dans lequel Kazuya a vu le jour. Tout au long du volume, nous découvrons ainsi la vie de son père, Ryûichi Aoï, et de son épouse Orie, puis bientôt du fruit de leur amour, Kazuha. Nous découvrons un couple qui s'aime profondément, mais qui est voué à être le jouet du destin, car Gengo Aoï, le père de Ryûichi, a pour son fils des ambitions claires afin de protéger l'humanité, et c'est dans ce contexte qu'arrive Cassandra... Elle aussi vouée à un destin tout tracé, sera-t-elle bien malgré elle celle qui brisera le couple ?

Les auteurs, non sans leur habituelle pointe de fan-service plus ou moins bien amené, proposent un long flashback qui parvient très bien à faire ressortir l'essentiel : l'amour profond entre Ryûchi et son épouse Orie, la volonté du futur père de Kazuya de protéger les siens malgré la mise en marche d'un tragique destin... mais aussi la douceur d'une Cassandra que l'on prend plaisir à découvrir, l'innocence enfantine que dégage Kazuha et qui vient offrir quelques pointes d'insouciance, et les choix cruels qu'a dû faire Gengo Aoï pour protéger l'humanité.

Chaque personnage ressort mieux mis en valeur dans ce volume qui, malgré tout, n'empêche pas le cruel destin de frapper dans une fin de volume aussi terrible qu'éprouvante pour Ryûchi et Orie. Le flashback n'est pas encore terminé, a déjà apporté beaucoup ici, et promet d'être tout aussi riche dans le prochain volume.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction