Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 14 Août 2014
Depuis que la méta-magicienne Haruna et la ninja-vampire Sera ont fait irruption dans la vie paisible d'Ayumu, ce dernier est submergé de tous les côtés. Il doit redoubler d'efforts pour retrouver son assassin et prendre la relève d'Haruna en affrontant les mégalos. À ce tas d'embrouilles vient s'ajouter l'arrivée d'un chien doué de parole se présentant comme un Gardien de l'au-delà et étant une connaissance de Yû. Quelles sont les motivations de cette personne ? Quelle est la raison de sa venue ?
Si la dernière scène du tome précédent lassait entrevoir une suite intéressante, Sacchi balaya cet espoir en l'espace de trois pages, le nouveau personnage introduit juste auparavant n'étant, encore une fois, que très peu développé. De plus, l'auteur conserve les mêmes tares et les mêmes qualités que dans le premier volume. L'histoire prend un grand coup de fouet mais tout se déroule si rapidement que cela s'avère vite être très incompréhensible. Le rythme est beaucoup trop vif, le récit va beaucoup trop vite et, de ce fait, le lecteur pourra perdre son chemin dès le premier chapitre de ce second tome.
Par ailleurs, les transitions et la surcharge de cases/dessins (dans une seule et unique page) alourdissent considérablement la série de Sacchi. L'auteur passe du coq à l'âne en un clin d’œil entre de deux scènes, aucune locution adverbiale n'est présente pour justifier un tel changement et cela peut-être très déconcertant pour le lecteur. Ce dernier aura tendance à perdre le fil et pourra même décrocher totalement lors de sa lecture. Comme indiqué ci-dessus, ce tome souffre d'une surcharge inutile de cases et de dessins accentuant davantage le côté fourre-toute et chaotique de la série. À certains moments, les pages sont tellement remplies que cela en devient presque confus et vomitif.
Côté scénario, il n'y a plus rien à se mettre sous la dent après la révélation survenue à la fin du premier chapitre. Comme pour le premier tome, le lecteur assistera à une ribambelle d’événements (concours du plus gros mangeur, combats contre les mégalos expédiés en quelques coups...) tous plus inutiles les uns que les autres et dont il se serait bien passé. À cela, rajoutons ce style graphique qui ne plaira pas au plus grand nombre et nous obtenons, au bout du compte, une très mauvaise lecture.
Il y a encore en fin de tome un ultime rebondissement qui nous promet monts et merveilles mais nous avons du mal à y croire tant tout ce que nous avons lu auparavant est très indigeste et très pénible. Oublions ce second tome et espérons que Sacchi saura se montrer plus convaincant à l'avenir.
Si la dernière scène du tome précédent lassait entrevoir une suite intéressante, Sacchi balaya cet espoir en l'espace de trois pages, le nouveau personnage introduit juste auparavant n'étant, encore une fois, que très peu développé. De plus, l'auteur conserve les mêmes tares et les mêmes qualités que dans le premier volume. L'histoire prend un grand coup de fouet mais tout se déroule si rapidement que cela s'avère vite être très incompréhensible. Le rythme est beaucoup trop vif, le récit va beaucoup trop vite et, de ce fait, le lecteur pourra perdre son chemin dès le premier chapitre de ce second tome.
Par ailleurs, les transitions et la surcharge de cases/dessins (dans une seule et unique page) alourdissent considérablement la série de Sacchi. L'auteur passe du coq à l'âne en un clin d’œil entre de deux scènes, aucune locution adverbiale n'est présente pour justifier un tel changement et cela peut-être très déconcertant pour le lecteur. Ce dernier aura tendance à perdre le fil et pourra même décrocher totalement lors de sa lecture. Comme indiqué ci-dessus, ce tome souffre d'une surcharge inutile de cases et de dessins accentuant davantage le côté fourre-toute et chaotique de la série. À certains moments, les pages sont tellement remplies que cela en devient presque confus et vomitif.
Côté scénario, il n'y a plus rien à se mettre sous la dent après la révélation survenue à la fin du premier chapitre. Comme pour le premier tome, le lecteur assistera à une ribambelle d’événements (concours du plus gros mangeur, combats contre les mégalos expédiés en quelques coups...) tous plus inutiles les uns que les autres et dont il se serait bien passé. À cela, rajoutons ce style graphique qui ne plaira pas au plus grand nombre et nous obtenons, au bout du compte, une très mauvaise lecture.
Il y a encore en fin de tome un ultime rebondissement qui nous promet monts et merveilles mais nous avons du mal à y croire tant tout ce que nous avons lu auparavant est très indigeste et très pénible. Oublions ce second tome et espérons que Sacchi saura se montrer plus convaincant à l'avenir.
13/05/2015 