Dark Goddess Vol.3 - Actualité manga
Dark Goddess Vol.3 - Manga

Dark Goddess Vol.3 : Critiques

Eyami no Kami

Critique du volume manga

Publiée le Vendredi, 26 Janvier 2018

Alors qu'elle sort tard de son travail au lycée, le professeur Isomura et attaquée par une tête géante sur le parking. Le lendemain, Nagare, qui se prépare à retourner en cours, se voit obligé d'emmener Anjo avec lui, fortement intéressée par ce qu'est un établissement scolaire. Seulement, la Rentrée est annulée, le cadavre du professeur ayant été retrouvé déchiqueté. Ils prennent rapidement conscience qu'il s'agit là d'un méfait perpétré par un youkai. Et c'est en rentrant qu'ils ont la confirmation puisque le proviseur embauche le père du héros pour débarrasser les lieux des esprits qui sont vraisemblablement responsables de plusieurs agressions.


Ce dernier volume monte en puissance et se termine dans un magnifique feu d'artifice de...déception ! Certes, il paraissait compliqué de finir la série sur un tome et pourtant, j'avais encore de l'espoir. En proportion, Pochi & Kuro qui contient quatre tomes, mais qui correspond en « épaisseur » aux trois de Dark Goddess, avait réussi à clore l'histoire grâce à un découpage soigné et un calcul dans le récit qui permettaient de poser des questions et d'y répondre. Malheureusement, le mangaka confirme violemment la fin de la série dans un aparté, comme si ça semblait logique. J'étais même persuadée que j'allais découvrir un « voilà la fin de la première partie »...mais non ! Le scénario n'a pas d'objectif, à part celui de montrer des filles se faire agresser sexuellement par un poulpe géant alors qu'une tête monstrueuse et gigantesque hante la ville. Il n'y a pas de sens dans ce final ! Et les personnages qui n'ont jamais été très dynamiques sont d'une raideur abominable.


Bref, si Fujisawa Touru compte refaire un scénario, il faudra qu'il s'y prenne mieux, car contrairement à ses mangas, où même le fanservice et le non-sens en avaient justement, ici il échoue lamentablement, tout comme Ochiai Hirokazu qui ne s'est pas amélioré jusqu'au bout.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Persmegas
9 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs