Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 20 Juin 2016
Avec les membres du Kimengumi et leur entourage, il se passe toujours beaucoup de choses sans queue ni tête. Quand Rei et les autres ne se confrontent pas à la mystérieuse présence du labo de sciences (l'occasion d'entrevoir un nouveau prof assez fun), notre héros flemmarde à sa manière durant l'été, ou alors toute la classe doit se faire à l'arrivée d'un nouveau prof de sport, Nichijô, un beau gosse, poseur de première catégorie, et ayant une vision de l'éducation très... relax.
Portés par ses quelques nouvelles têtes et par leurs idées variées, les chapitres de Kimengumi ont le mérite de ne pas se ressembler et de trouver à nouveau une certaine diversité, d'autant que Motoei Shinzawa ne s'interdit jamais quelques autres délires, en offrant un chapitre spécial jeux olympique en forme de petits gags, ou en faisant de ses personnages les héros d'une parodie de récit de monstres. On regrette toutefois que certaines idées, comme celle au labo de science, ne soient pas un peu plus exploitées et s'achèvent finalement très vite.
Ce sont toutefois quatre autres chapitre,s en milieu de tome, qui viennent nous rappeler un fait nous chagrinant un peu : la présence moins forte qu'auparavant des autres bandes, qui ont pourtant beaucoup à apporter. Le temps de quatre chapitres, Shinzawa propose enfin de retrouver les uns après les autres chacun des 4 leaders de bandes (Jako Amano, Kai Undo, Yo Nihiruda, et Shô Kireide) pour un petit récit où ils sont à tour de rôle le personnage central, mais le mangaka ne va malheureusement pas cherche très loin ses idées sur ce coup-là, et cela n'efface pas vraiment la sensation d'absence trop prononcée de ces seconds rôles pourtant hauts en couleur. On aimerait plutôt les revoir plus régulièrement, espérons que ce sera bientôt le cas !
Sans être parmi les meilleurs tomes de la série, ce dixième volume reste un bon moment de fun et d'absurdité. Côté édition, on note quelques coquilles (fautes, oubli de mot...), mais heureusement celles-ci restent rares.
Portés par ses quelques nouvelles têtes et par leurs idées variées, les chapitres de Kimengumi ont le mérite de ne pas se ressembler et de trouver à nouveau une certaine diversité, d'autant que Motoei Shinzawa ne s'interdit jamais quelques autres délires, en offrant un chapitre spécial jeux olympique en forme de petits gags, ou en faisant de ses personnages les héros d'une parodie de récit de monstres. On regrette toutefois que certaines idées, comme celle au labo de science, ne soient pas un peu plus exploitées et s'achèvent finalement très vite.
Ce sont toutefois quatre autres chapitre,s en milieu de tome, qui viennent nous rappeler un fait nous chagrinant un peu : la présence moins forte qu'auparavant des autres bandes, qui ont pourtant beaucoup à apporter. Le temps de quatre chapitres, Shinzawa propose enfin de retrouver les uns après les autres chacun des 4 leaders de bandes (Jako Amano, Kai Undo, Yo Nihiruda, et Shô Kireide) pour un petit récit où ils sont à tour de rôle le personnage central, mais le mangaka ne va malheureusement pas cherche très loin ses idées sur ce coup-là, et cela n'efface pas vraiment la sensation d'absence trop prononcée de ces seconds rôles pourtant hauts en couleur. On aimerait plutôt les revoir plus régulièrement, espérons que ce sera bientôt le cas !
Sans être parmi les meilleurs tomes de la série, ce dixième volume reste un bon moment de fun et d'absurdité. Côté édition, on note quelques coquilles (fautes, oubli de mot...), mais heureusement celles-ci restent rares.
17/02/2020 