Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 05 Août 2016
Natsu a beau faire comme si de rien était, elle ne peut pas nier ses sentiments à l’égard de Kei et la difficulté qu’elle a à le voir en compagnie de Rio. Tomoki, pour sa part, c’est de voir Natsu dans cet état qu’il ne supporte plus. Enfin, Himari est, quant à elle, supposée étudier pour ses concours d’entrée mais elle est tout simplement incapable de se concentrer dessus. Quelle est la raison ? Hiro, bien évidemment…
Si la série compte un total de huit opus, c’est bien ce septième tome qui servira de « fin » en ce qui concerne les principaux personnages de Cœurs à cœurs. En effet, le huitième et dernier volume se concentrera, comme nous le précise l’auteur, sur des intrigues plus secondaires. Bref, tout cela pour dire que le présent volume est, dès lors, d’une importance capitale. Et malgré l’aspect périlleux de la chose, Minase Mayu va plutôt bien s’en sortir.
Globalement, il n’y aura ici pas de vraies surprises. La mangaka conserve son style et sa bonne humeur habituels. A côté de ça, elle offre une conclusion satisfaisante (à défaut d’être vraiment originale) à la majorité des intrigues qui n’étaient pas encore terminée. Celles-ci concernent principalement des personnages plus ou moins attachants mais, et c’est là tout le mérite de l’auteur, chacun finira par nous convaincre de l’apprécier à un moment ou un autre. Kei et Rio, par exemple, sont victimes de quelques passages un peu trop « gros », mais on leur pardonnera au final rapidement, étant donné la sincérité et la fraîcheur qui se dégagent de chacun d’eux. On pourra par ailleurs apprécier le petit clin d’œil sympathique et réussi à l’entame de la série puisque c’est sur un bref épilogue évoquant le devenir d’Hiro et d’Himari que l’on clôt la série. C’est aussi via eux deux qu’elle avait débuté. La boucle est bouclée. Mais là où l’auteur a réussi son coup, c’est en faisant le tour de son sujet sans étirer outre mesure ses intrigues. Certes, cela va parfois un peu vite, certes on aurait éventuellement pu apprécier l’un ou l’autre développement supplémentaire. D’un autre côté, c’est ce côté spontané, parfois un peu précipité et emporté, mais plein de tonus et de bonne humeur qui donne son originalité et sa qualité à la série. Difficile donc d’en vouloir à Minase Mayu là-dessus. Au contraire, on aurait même envie de la pousser à continuer dans cette direction !
Bref, ce septième opus offre une conclusion des plus satisfaisantes à la série et se distingue une fois encore comme résolument positive à tous les niveaux. Pleine de peps et sans y aller par quatre chemins, la mangaka nous invite à suivre l’aboutissement des amourettes qui nous auront tenu en haleine durant de longs mois durant et c’est avec un plaisir partagé que l’on se laisse guider. C’est bien là la preuve d’une réussite indéniable !
Si la série compte un total de huit opus, c’est bien ce septième tome qui servira de « fin » en ce qui concerne les principaux personnages de Cœurs à cœurs. En effet, le huitième et dernier volume se concentrera, comme nous le précise l’auteur, sur des intrigues plus secondaires. Bref, tout cela pour dire que le présent volume est, dès lors, d’une importance capitale. Et malgré l’aspect périlleux de la chose, Minase Mayu va plutôt bien s’en sortir.
Globalement, il n’y aura ici pas de vraies surprises. La mangaka conserve son style et sa bonne humeur habituels. A côté de ça, elle offre une conclusion satisfaisante (à défaut d’être vraiment originale) à la majorité des intrigues qui n’étaient pas encore terminée. Celles-ci concernent principalement des personnages plus ou moins attachants mais, et c’est là tout le mérite de l’auteur, chacun finira par nous convaincre de l’apprécier à un moment ou un autre. Kei et Rio, par exemple, sont victimes de quelques passages un peu trop « gros », mais on leur pardonnera au final rapidement, étant donné la sincérité et la fraîcheur qui se dégagent de chacun d’eux. On pourra par ailleurs apprécier le petit clin d’œil sympathique et réussi à l’entame de la série puisque c’est sur un bref épilogue évoquant le devenir d’Hiro et d’Himari que l’on clôt la série. C’est aussi via eux deux qu’elle avait débuté. La boucle est bouclée. Mais là où l’auteur a réussi son coup, c’est en faisant le tour de son sujet sans étirer outre mesure ses intrigues. Certes, cela va parfois un peu vite, certes on aurait éventuellement pu apprécier l’un ou l’autre développement supplémentaire. D’un autre côté, c’est ce côté spontané, parfois un peu précipité et emporté, mais plein de tonus et de bonne humeur qui donne son originalité et sa qualité à la série. Difficile donc d’en vouloir à Minase Mayu là-dessus. Au contraire, on aurait même envie de la pousser à continuer dans cette direction !
Bref, ce septième opus offre une conclusion des plus satisfaisantes à la série et se distingue une fois encore comme résolument positive à tous les niveaux. Pleine de peps et sans y aller par quatre chemins, la mangaka nous invite à suivre l’aboutissement des amourettes qui nous auront tenu en haleine durant de longs mois durant et c’est avec un plaisir partagé que l’on se laisse guider. C’est bien là la preuve d’une réussite indéniable !
07/01/2015 