Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 10 Septembre 2019
« Alors ? Où en êtes-vous avec Miss Courage ? »
Après que le docteur Tendô l’a embrassé, Sakura ne sait plus quoi penser ni comment réagir. Toutefois elle aura vite fait de se rendre compte que ce baiser n’a clairement pas eu la même importance pour son supérieur que pour elle. Comme d’habitude, celui-ci alterne entre un comportement dur et irascible et des attentions touchantes, comme lorsqu’il participe à la soirée de départ pour s’assurer qu’elle ne boive pas plus que de raison.
Leur duo va être dynamisé par l’arrivée d’un nouveau médecin dans leur hôpital, qui partage une relation pour le moins électrique avec Tendô. Ce charmeur ne semble pas avoir un mauvais fond, mais il n’en finira pas d’agacer royalement son homologue, d’autant plus quand il se rapprochera de Sakura.
Même si Maki Enjoji a encore recours à de nombreux clichés, on apprécie beaucoup que Sakura ne tombe pas, ne serait-ce qu’un peu, sous le charme du docteur Kisugi, mais au contraire reste vigilante vis-à-vis de lui.
Plus que protecteur, Tendô se montre possessif, parfois même à l’excès : « Ça ne me plaît pas que tu t’intéresses à quelqu’un d’autre que ton maître. ». Même si le terme de « maître » peut être interprété comme dans le cadre de leur relation maître-apprenti, étant donné qu’il lui déclare également qu’elle lui appartient, cela donne plus l’impression ici qu’elle est sa « chose ». Ce passage de l’histoire paraît en décalage avec le reste du tome. On peut rester assez dubitatif à ce sujet car ensuite, rien ne change en ce sens. Du moins pour l’instant...
De plus, la raison de leur baiser, ce fameux traitement médical, est assez tirée par les cheveux. Le milieu hospitalier quant à lui est beaucoup moins mis en avant que dans le précédent volume, ce qui est dommage. Sakura agit plusieurs fois impulsivement : comme une enfant, elle fait le contraire de ce que lui demande Tendô, par défi.
Le cliffhanger présage plus de sérieux dans le rapprochement entre Sakura et Tendô, affaire à suivre donc...
Après que le docteur Tendô l’a embrassé, Sakura ne sait plus quoi penser ni comment réagir. Toutefois elle aura vite fait de se rendre compte que ce baiser n’a clairement pas eu la même importance pour son supérieur que pour elle. Comme d’habitude, celui-ci alterne entre un comportement dur et irascible et des attentions touchantes, comme lorsqu’il participe à la soirée de départ pour s’assurer qu’elle ne boive pas plus que de raison.
Leur duo va être dynamisé par l’arrivée d’un nouveau médecin dans leur hôpital, qui partage une relation pour le moins électrique avec Tendô. Ce charmeur ne semble pas avoir un mauvais fond, mais il n’en finira pas d’agacer royalement son homologue, d’autant plus quand il se rapprochera de Sakura.
Même si Maki Enjoji a encore recours à de nombreux clichés, on apprécie beaucoup que Sakura ne tombe pas, ne serait-ce qu’un peu, sous le charme du docteur Kisugi, mais au contraire reste vigilante vis-à-vis de lui.
Plus que protecteur, Tendô se montre possessif, parfois même à l’excès : « Ça ne me plaît pas que tu t’intéresses à quelqu’un d’autre que ton maître. ». Même si le terme de « maître » peut être interprété comme dans le cadre de leur relation maître-apprenti, étant donné qu’il lui déclare également qu’elle lui appartient, cela donne plus l’impression ici qu’elle est sa « chose ». Ce passage de l’histoire paraît en décalage avec le reste du tome. On peut rester assez dubitatif à ce sujet car ensuite, rien ne change en ce sens. Du moins pour l’instant...
De plus, la raison de leur baiser, ce fameux traitement médical, est assez tirée par les cheveux. Le milieu hospitalier quant à lui est beaucoup moins mis en avant que dans le précédent volume, ce qui est dommage. Sakura agit plusieurs fois impulsivement : comme une enfant, elle fait le contraire de ce que lui demande Tendô, par défi.
Le cliffhanger présage plus de sérieux dans le rapprochement entre Sakura et Tendô, affaire à suivre donc...
17/06/2020 