Bloody Mary Vol.4 - Actualité manga
Bloody Mary Vol.4 - Manga

Bloody Mary Vol.4 : Critiques

Bloody+Mary

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 23 Janvier 2018

Alors que Bloody protège une fois de plus Ichirou, un homme inconnu surgit derrière lui pour tenter de l'abattre. Ce dernier, à la recherche de Yuse, se méprend, mais est d'autant plus heureux de rencontrer le lycéen. Il se nomme Yuki Shinobu et se présente comme son oncle, le frère de sa mère. Il raconte alors sa rencontre avec son père et l'amour qui est né entre sa sœur Shion et lui, pour donner plus tard naissance à la troisième génération des Di Maria. Il révèle aussi que les Sakuraba sont les assassins de la jeune femme et du kidnapping du garçon. Perturbé et se sentant responsable de la mort de ses parents, Ichirou pourra compter sur le soutien de Bloody dont les souvenirs semblent refaire surface. Et c'est afin d'y voir plus clair sur Yzak et le passé de Bloody Mary qu'ils partent tous pour l'Angleterre.


Une mère ! Mais bien sûr, Ichirou n'a pas pu sortir de nulle part. On s'attendait à ce qu'il soit lui aussi un clone et il n'en est rien. On lui découvre ainsi un oncle bien badass. Son arrivée permet de découvrir comment était Yuse, puisque seuls les souvenirs d'Ichirou l'évoquaient. Et tout comme lui, on découvre une autre facette de son père, loin de l'homme calme et attentionné envers son fils. Quant à Bloody, celui-ci se laisse finalement nommer Mary, un nom dont on s'aperçoit qu'il est utilisé uniquement par les humains pour le désigner. Contrairement à Hydra et les autres Vampires qui semblent marquer une véritable différence entre eux, comme s'ils étaient au courant de cette double personnalité. Allant de révélation en révélation, le dernier chapitre de ce volume nous annonce de nombreux rebondissements pour le prochain.


Jusque-là se faisant face, les héros ne se regardent pas sur la couverture et la morsure se fait à la main et non plus au cou. Mais la présence de la verveine est perturbant, car elle signifie « amour platonique », ce qui n'a pas vraiment de lien avec les héros. A moins que l'auteure assume le côté shonen-aï de son oeuvre.


A la fin, un petit bonus sur Hasegawa et son goût en matière de vêtements pour son maître et ses amis.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Persmegas
15 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs