Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 07 Août 2008
Bishin raconte l'histoire du dieu de la beauté, celui qui peut sauver le monde grâce à sa ... beauté justement. Lors de sa réincarnation, ce fameux dieu est séparé en deux entités qui devront se réunir avant leur 18 printemps sous peine de mort. Nos deux jumeaux divins, plutôt que de se décider à labourer le sol avec leurs mentons (il suffit de regarder la couverture pour comprendre ce que je veux dire), vont s'affronter. Affrontement qui se fait à grand coup de parfum exhalé par nos deux éphèbes. Jusqu'au jour où une jeune fille exhalant la rose entre dans leur vie. Mais que va-t-il donc se passer?
Ce titre est un shojo d'un classicisme absolu. On y retrouve tous les poncifs du genre : de beaux jeunes hommes (à têtes de pioche) très efféminés avec une forte tendance yaoï, une gentille jeune fille qui arrive à grand peine à prendre quelques initiatives, des décors presque inexistants, des scènes confuses et une histoire qui tourne en rond. Ah j'oubliais, des fleurs aussi, beaucoup trop de fleurs. Ce second tome ne sauve pas les meubles, on sent bien qu'il s'agit là d'une oeuvre de jeunesse tant la narration est mauvaise et les dialogues désespérément mièvres “Vous êtes trop triste... Vous êtes trop beau” Mouais, c'est cela oui. Nos deux dieux vont sortir des ténèbres, se réunir et tout est bien qui finit bien. Chouette!
Gbone est à la traduction et l'adaptation et c'est étonnamment bien fait. Si seulement ils pouvaient mettre autant d'entrain sur les titres que d'autres éditeurs leur confient. Mais ça ne change rien au fait que Bishin est un titre sans grand intérêt qui ne fera pas date.
Blacksheep
Ce titre est un shojo d'un classicisme absolu. On y retrouve tous les poncifs du genre : de beaux jeunes hommes (à têtes de pioche) très efféminés avec une forte tendance yaoï, une gentille jeune fille qui arrive à grand peine à prendre quelques initiatives, des décors presque inexistants, des scènes confuses et une histoire qui tourne en rond. Ah j'oubliais, des fleurs aussi, beaucoup trop de fleurs. Ce second tome ne sauve pas les meubles, on sent bien qu'il s'agit là d'une oeuvre de jeunesse tant la narration est mauvaise et les dialogues désespérément mièvres “Vous êtes trop triste... Vous êtes trop beau” Mouais, c'est cela oui. Nos deux dieux vont sortir des ténèbres, se réunir et tout est bien qui finit bien. Chouette!
Gbone est à la traduction et l'adaptation et c'est étonnamment bien fait. Si seulement ils pouvaient mettre autant d'entrain sur les titres que d'autres éditeurs leur confient. Mais ça ne change rien au fait que Bishin est un titre sans grand intérêt qui ne fera pas date.
Blacksheep
27/10/2007 