Berserk of Gluttony Vol.7 - Manga

Berserk of Gluttony Vol.7 : Critiques

Bôshoku no Berserk - Ore Dake Level to Iu Gainen o Toppa Suru

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 29 Juillet 2024

Le Dragon céleste et son manipulateur ne sont plus, et Roxy a pu être sauvée. Mais le prix à payer semble, sur le coup, lourd pour Fate: non seulement il a perdu son bras, mais en plus il a atteint un niveau qu'il ne maîtrise pas encore, au risque de voir sa gloutonnerie échapper à son contrôle, si bien qu'il va devoir s'éloigner temporairement de celle qu'il admire plus que tout...


Le tome précédent, correspondant à la dernière partie de l'excellent 3e volume du light novel d'origine, achevait véritablement tout un premier grand arc dans la série, avec la mise à mort du Dragon céleste, qui était jusque-là présenté comme un antagoniste surpuissant.. Dans le tout début de ce septième opus, l'heure est alors venue d'en mesurer les conséquences pour Fate, et elles sont assez nombreuses: notre héros a-t-il définitivement perdu son bras ? Avec l'aide de Myne et d'Eris, pourra-t-il s'habituer au domaine du E quitte à faire des sacrifices au départ, et accroître sa maîtrise du premier rang, le tout pour pouvoir contenir son désir de dévorer Roxy ? Et quels projets son mentor Aaron a-t-il désormais pour lui ? On vous laisse découvrir tout ceci dans des premières dizaines de pages très rapides (surtout par rapport au roman) mais où certaines choses avancent pas mal, avant que de nouveaux soucis ne se dressent devant Fate.


Ces nouveaux soucis, ils arrivent dès lors que Fate souhaite aider les déshérités de Seyfert, et ils découlent d'ennemis que notre héros ne connaît que trop bien: la famille Vlerick, chez qui de sombres projets sont en cours, et dont il va falloir essayer de déjouer les plan. Là aussi, on vous laisse découvrir la teneur ignoble de ces nouveaux enjeux,en particulier autour d'un Raphal ne reculant devant aucune ignominie, pas même envers les personnes les plus proches de lui, en entretenant alors fort bien l'atmosphère sombre assez typique de l'oeuvre. Et même si tout va toujours un peu vite et qu'on ressent parfois fortement les coupures par rapport au roman (surtout lors de la phase d'infiltration dans le quartier militaire, ici très expéditive alors que dans le roman cela apporte vraiment une ambiance malsaine plus poussée), l'adaptateur manga Daisuke Takino a au moins le mérite de maintenir le rythme et de retenir l'essentiel, surtout dans une dernière partie qui fait bien monter la tension autour des motivations de Raphal et du but inquiétant de sa nouvelle arme de péché capital...


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
14 20
Note de la rédaction