Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 02 Juin 2015
Alors que le voyage poursuit son cours, les potes d’Aiba kidnappent la petite Futaba. Mais c’est sans compter sur l’apparition du véritable groupe TKKH qui a bien l’intention de remettre à sa place les présomptueux. Après la mise à tabac de ses amis, Aiba compte bien régler de son côté l’affaire en proposant au chef du TKKH un combat de chef contre chef. Mais il ne se doute pas que c’est Oga qui est en à présent le leader.
Comme dans le précédent volume, Ryuhei Tamura nous offre un tome de bonne facture. La fin de l’histoire du voyage se termine de fort belle manière, toujours avec autant d’humour, de délire et de plaisance dans le déroulement. Ensuite, Beelzebub se poursuit dans des péripéties burlesques et loufoques. De manière globale, elles s’avéreront réussies et rafraîchissantes, comme bien souvent. La première mettra en scène un cadeau spécialement envoyé des enfers de la part de son diable de père à son fils, Baby Beel. Une histoire qui partira dans le délire pur, pour notre plus grand plaisir. La seconde expédiera directement nos héros au spectacle de p’tit Riz, protagoniste fictionnel dont Baby Beel est fan. Cette seconde anecdote, bien que sympa à suivre, ira peut-être un peu trop loin dans l’excès et le délire. Et la dernière en profitera pour débuter une nouvelle trame mettant en exergue Himekawa. Ce qui ne sera pas pour nous déplaire. Cela faisait un petit temps que le voyou n’avait plus été pleinement mis en avant. Et d’après le peu qui a été établi, l’auteur a bien l’intention de nous révéler bien des choses sur lui.
Ainsi, le mangaka nous propose encore une fois un opus des plus amusants et des mieux amené. L’humour et Beelzebub ne font qu’un et non pas deux. Il n’y a plus qu’à voir ce que nous réserve Ryuhei Tamura concernant Himekawa, qui semble de retour dans un endroit qu’il lui est des plus familiers.