Baki Vol.25 - Actualité manga
Baki Vol.25 - Manga

Baki Vol.25 : Critiques

New grappler baki

Critique du volume manga

Publiée le Lundi, 14 Septembre 2015

Les combattants chinois accumulent les défaites, même les puissants guerriers venus en renfort pour rehausser le niveau et démontrer que la Chine était supérieure au niveau martial. Oliver et Baki ont brillamment remporté leurs matchs...deux défaites sur cinq matchs. C'est au tour de Retsu de défendre les couleurs de la Chine…

Un volume particulièrement intense, plus que les précédents, mais qui par conséquent se lit à une vitesse ahurissante, ce tome est plié en un temps record ! On n'y trouve quasiment que des phases d’attaques, avec donc des pages très graphiques, surtout quand on sait que l’auteur affectionne les pages pleines voir les doubles pages pour insister sur la violence des coups.
Presque l’intégralité du tome se centre sur l’affrontement entre Retsu et Jaku, son adversaire que l’on avait déjà vu faire preuve de pas mal de bassesses.. La technique des clés s’opposant à la puissance des percussions, on se retrouve avec un affrontement digne de véritables matchs de combat libre, à la différence bien sûr que tout est excessif dans Baki, ce n’est plus un secret pour personne. Et pourtant dans ce tome, on ne trouve rien de véritablement choquant, bien sûr, la « garde ultime » de Jaku est poussive, mais quelque part on comprend l’idée sans problème.
Il y a bien un passage cependant qu'on ne comprend pas et qui est juste ridicule…au cours du combat, Jaku casse le bras de son adversaire et à ce moment-là tout le monde crie au scandale et parle de coup bas...depuis quand le fait de tout mettre en œuvre pour empêcher un adversaire de combattre est un coup bas dans Baki ? Juste ridicule !

Un volume très rapide à lire donc, et on regrette de ne pas en voir plus, surtout que dans les tomes précédents, l’auteur nous avait habitués à ce que les choses ne traînent pas trop. Mais on peut se rassurer en se disant que le match entamé par la suite entre Han Kaïo et Muhammad Alai promet d’être bref !

Le style graphique, malgré ses détracteurs, reste efficace et impressionnant à sa manière !
Baki, c’est réellement un concentré de puissance qu’on lit comme des junkies en manquent.

Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Erkael
16 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs