Un bol plein de bonheur est le premier manga de Tsuru Moriyama a avoir été publié en France. (On le connais depuis pour « Mon vieux » et plus récemment pour le déjanté « Samuraï comeback »).
L'histoire débute sur un départ. Une femme nommée Kazuko quitte son mari qui passe son temps à jouer et à s'alcooliser. Elle emmène avec elle leur fils Hiroshi et on n'entendra plus jamais parler du père. Il s'en suis une histoire touchante de relation mère-fils basé sur la confiance et l'amour malgré les difficultés de la vie.
Ce manga en 1 tome contient 7 chapitres et l'histoire fait un bon dans le temps entre chaque chapitre.
Le manga montre comment Hiroshi et sa mère vont tout faire pour s'en sortir malgré leur pauvreté et la cruauté de la société. Kazuko se démène en enchaînant les petits boulots, elle se plie en 4 pour élever son fils, le nourrir et essayer de faire en sorte qu'il ne manque de rien.
Un bol plein de bonheur est un hymne à l'amour parental (ici maternel) et à ses bienfaits. Hiroshi pourrait souffrir de leur situation, pourtant ce n'est pas le cas grâce au lien tissé par sa mère. L'amour et la confiance nourrissent l'esprit et le cœur comme le suggère le titre du manga.
La lecture sombre malheureusement souvent dans le pathos, l'auteur jouant beaucoup sur les larmes et des dialogues un peu lourds pour véhiculer son message. Si cet aspect du manga peu déranger, cette accentuation sert à faire vibrer le lecteur et à créer de l'empathie pour le duo de personnages.
Le volume se clôture sur un chapitre plein de sens qui montre comment une fois adulte, Hiroshi arrive à son tour à porter un regard bienveillant et aimant.
Le dessin de Moriyama joue beaucoup sur l’exagération des expressions (ce qui contribue au pathos de certaines scènes). Si le dessin ne tombe pas dans l'idée que l'on se fait du beau, il est très efficace et réaliste et convient parfaitement à l'histoire.
Un beau manga sur toutes ces mères qui élèvent seules leurs enfants contre vents et marrés. Une lecture universelle qui s'appuie un peu trop sur les émotions mais pour transmettre des valeurs importantes. Il est difficile de ne pas conseiller « Un bol plein de bonheur » en tant que courte lecture sympathique mais importante dans ce qu'elle véhicule.
Une très belle histoire d'amour entre une mère et son enfant. Les sacrifices de cette mère qui élève seul son enfant afin de lui donner les meilleurs chances de réussir sa vie d'adulte (et elle y arrive). Une force incroyable se dégage de ces personnages avec pour mot d'ordre "JE NE CEDERAI DEVANT RIEN NI PERSONNE".
Pour ma part, je me retrouve dans la chronique de Néun. Un titre réaliste qui aborde le rôle parental avec force et dresse un portrait apologique et touchant des mères-courage se sacrifiant complètement pour leur progéniture. Le tout m'a d'autant plus touché que le trait réaliste de l'auteur ne cherche jamais à embellir les choses et les personnages, à commencer par cette mère qui a réussi à me faire lâcher quelques larmes à la fin. Un ouvrage loin des clichés, si l'on excepte le côte beaucoup trop larmoyant des protagonistes par moments, qui vaut le coup qu'on s'y intéresse, d'autant que ce n'est qu'un one-shot.
De nolhane [6606 Pts], le 17 Février 2021 à 20h28
Un bol plein de bonheur est le premier manga de Tsuru Moriyama a avoir été publié en France. (On le connais depuis pour « Mon vieux » et plus récemment pour le déjanté « Samuraï comeback »).
L'histoire débute sur un départ. Une femme nommée Kazuko quitte son mari qui passe son temps à jouer et à s'alcooliser. Elle emmène avec elle leur fils Hiroshi et on n'entendra plus jamais parler du père. Il s'en suis une histoire touchante de relation mère-fils basé sur la confiance et l'amour malgré les difficultés de la vie.
Ce manga en 1 tome contient 7 chapitres et l'histoire fait un bon dans le temps entre chaque chapitre.
Le manga montre comment Hiroshi et sa mère vont tout faire pour s'en sortir malgré leur pauvreté et la cruauté de la société. Kazuko se démène en enchaînant les petits boulots, elle se plie en 4 pour élever son fils, le nourrir et essayer de faire en sorte qu'il ne manque de rien.
Un bol plein de bonheur est un hymne à l'amour parental (ici maternel) et à ses bienfaits. Hiroshi pourrait souffrir de leur situation, pourtant ce n'est pas le cas grâce au lien tissé par sa mère. L'amour et la confiance nourrissent l'esprit et le cœur comme le suggère le titre du manga.
La lecture sombre malheureusement souvent dans le pathos, l'auteur jouant beaucoup sur les larmes et des dialogues un peu lourds pour véhiculer son message. Si cet aspect du manga peu déranger, cette accentuation sert à faire vibrer le lecteur et à créer de l'empathie pour le duo de personnages.
Le volume se clôture sur un chapitre plein de sens qui montre comment une fois adulte, Hiroshi arrive à son tour à porter un regard bienveillant et aimant.
Le dessin de Moriyama joue beaucoup sur l’exagération des expressions (ce qui contribue au pathos de certaines scènes). Si le dessin ne tombe pas dans l'idée que l'on se fait du beau, il est très efficace et réaliste et convient parfaitement à l'histoire.
Un beau manga sur toutes ces mères qui élèvent seules leurs enfants contre vents et marrés. Une lecture universelle qui s'appuie un peu trop sur les émotions mais pour transmettre des valeurs importantes. Il est difficile de ne pas conseiller « Un bol plein de bonheur » en tant que courte lecture sympathique mais importante dans ce qu'elle véhicule.
De Sousoup [81 Pts], le 04 Mars 2010 à 18h44
Une très belle histoire d'amour entre une mère et son enfant. Les sacrifices de cette mère qui élève seul son enfant afin de lui donner les meilleurs chances de réussir sa vie d'adulte (et elle y arrive). Une force incroyable se dégage de ces personnages avec pour mot d'ordre "JE NE CEDERAI DEVANT RIEN NI PERSONNE".
De Koiwai [12702 Pts], le 07 Février 2010 à 18h05
Pour ma part, je me retrouve dans la chronique de Néun. Un titre réaliste qui aborde le rôle parental avec force et dresse un portrait apologique et touchant des mères-courage se sacrifiant complètement pour leur progéniture. Le tout m'a d'autant plus touché que le trait réaliste de l'auteur ne cherche jamais à embellir les choses et les personnages, à commencer par cette mère qui a réussi à me faire lâcher quelques larmes à la fin.
Un ouvrage loin des clichés, si l'on excepte le côte beaucoup trop larmoyant des protagonistes par moments, qui vaut le coup qu'on s'y intéresse, d'autant que ce n'est qu'un one-shot.