La fin de l'arc est belle mais vraiment sans aucun fond dans le déroulé du manga. Ok, c'est une belle histoire avec une vraie morale, mais c'est d'un lourd. Pour ne pas prendre de pincettes à ce moment je me dis ok c'est bien mais on s'en fout la
Comme les deux commentaires précédents l'ont bien dit, ce tome est différent de ceux qui précèdent et qui suivront. C'est un tome à part, où l'on voit Onizuka vraiment amoureux, avoir envie d'établir une relation avec une fille pas comme les autres. L'Onizuka que l'on connaît ne disparaît pas, mais il offre un autre visage, la série prend une autre direction l'espace de ce volume. C'est beau et prenant, tout simplement (j'aime d'ailleurs beaucoup l'espèce de micro-trottoir qui nous est donné à lire).
Qui plus est, Onizuka n'est pas le seul personnage à être mis en lumière de la sorte. Shinomi aussi a droit à quelques pages où les questions de solitude, de souffrance, de vouloir être avec quelqu'un sont abordées. Et plutôt joliment, sans en faire des tonnes mais avec le ton juste de mon point de vue.
Un des meilleurs tomes, on peut difficilement faire mieux en terme d'émotion. C'est un moment charnière dans la vie d'Onizuka, qui va le transformer définitivement.
La deuxième parti BAD COMPANY, raconte la première rencontre entre Onizuka et Masaki, encore un moment clé.
Un tome tout simplement excellent, particulièrement poignant et d'une force rare. Indéniablement, le manga gagne en maturité et prend une toute autre dimension, notamment sur le plan psychologique et relationnel des personnages. Il s'inscrit dans la droite lignée des tomes précédents, qui pour la plupart, lui faisaient gagner en profondeur. Inutile de préciser que derrière cette intensité accumulée au cours de ces opus, cet aspect émotionnel ainsi que la mise en scène soignée et intelligente, l'on trouve donc un certain nombre de messages, d'analyses et de symbolliques particulières, comme c'est si bien les mêler Monsieur Fujisawa à son récit. De plus, le comique et tout ce qui fait le charme de Young GTO est bien entendu toujours au rendez-vous !
De Vaykhin [120 Pts], le 26 Janvier 2021 à 11h41
La fin de l'arc est belle mais vraiment sans aucun fond dans le déroulé du manga. Ok, c'est une belle histoire avec une vraie morale, mais c'est d'un lourd. Pour ne pas prendre de pincettes à ce moment je me dis ok c'est bien mais on s'en fout la
De Anvil [883 Pts], le 16 Mai 2014 à 19h59
Comme les deux commentaires précédents l'ont bien dit, ce tome est différent de ceux qui précèdent et qui suivront. C'est un tome à part, où l'on voit Onizuka vraiment amoureux, avoir envie d'établir une relation avec une fille pas comme les autres. L'Onizuka que l'on connaît ne disparaît pas, mais il offre un autre visage, la série prend une autre direction l'espace de ce volume. C'est beau et prenant, tout simplement (j'aime d'ailleurs beaucoup l'espèce de micro-trottoir qui nous est donné à lire).
Qui plus est, Onizuka n'est pas le seul personnage à être mis en lumière de la sorte. Shinomi aussi a droit à quelques pages où les questions de solitude, de souffrance, de vouloir être avec quelqu'un sont abordées. Et plutôt joliment, sans en faire des tonnes mais avec le ton juste de mon point de vue.
De silverchariot [106 Pts], le 30 Mai 2009 à 17h51
Un des meilleurs tomes, on peut difficilement faire mieux en terme d'émotion. C'est un moment charnière dans la vie d'Onizuka, qui va le transformer définitivement.
La deuxième parti BAD COMPANY, raconte la première rencontre entre Onizuka et Masaki, encore un moment clé.
De Azerty [2 Pts], le 03 Avril 2009 à 01h14
Un tome tout simplement excellent, particulièrement poignant et d'une force rare. Indéniablement, le manga gagne en maturité et prend une toute autre dimension, notamment sur le plan psychologique et relationnel des personnages. Il s'inscrit dans la droite lignée des tomes précédents, qui pour la plupart, lui faisaient gagner en profondeur. Inutile de préciser que derrière cette intensité accumulée au cours de ces opus, cet aspect émotionnel ainsi que la mise en scène soignée et intelligente, l'on trouve donc un certain nombre de messages, d'analyses et de symbolliques particulières, comme c'est si bien les mêler Monsieur Fujisawa à son récit. De plus, le comique et tout ce qui fait le charme de Young GTO est bien entendu toujours au rendez-vous !