Chose rare dans Vertical, l'essentiel du tome est occupé par une même histoire, celle d'Akutsu. Une femme, un bébé, de la joie de vivre, tout pour être heureux. Mais la montagne peut être terrible...
Le tome est éprouvant à suivre, parce que très vite on comprend, on craint ce qui va se passer. Ishizuka suit un schéma somme toute prévisible, mais c'est ce côté prévisible qui offre toute leur force aux événements dépeints, au drame qui est sur le point d'avoir lieu. L'après-drame est encore plus terrible : le sentiment de culpabilité de Kumi, le devoir terrible de tenir la famille au courant... et, chose finalement rare dans la série, l'optimisme et le sourire de Sanpo qui s'effacent totalement. Ishizuka évite juste à temps le pathos grâce à sa narration impassible et au fait qu'il n'en rajoute pas dans le dramatique, car au bout du compte on retrouve une lueur positive.
Et au bout du compte, c'est un choix important que Sanpo fait en fin de tome, un choix qui annonce une suite captivante.
J'aurais mis 19 au tome si la qualité d'impression n'avait pas été si dégueulasse (sérieusement c'est de pire en pire, j'ai quelques pages quasiment illisibles à cause de l'encre qui a bavé de partout... De la part d'un gros éditeur comme Glénat, ça devient lamentable).
De nolhane [6581 Pts], le 31 Juillet 2020 à 10h30
Un tome de toute beauté. Ishizuka arrive à nous prendre aux tripes comme jamais.
QUel bonheur de voir Sanpo dans la montagne malgré toute la dureté de ce volume.
Vertical est une lecture rare dans la sincérité de ce qu'elle propose. Une lecture magnifique.
De Manga-News [3732 Pts], le 03 Janvier 2017 à 10h58
encore un grand grand tome ! Et Sanpo quel charisme !
De Koiwai [12681 Pts], le 02 Septembre 2016 à 22h04
Chose rare dans Vertical, l'essentiel du tome est occupé par une même histoire, celle d'Akutsu. Une femme, un bébé, de la joie de vivre, tout pour être heureux. Mais la montagne peut être terrible...
Le tome est éprouvant à suivre, parce que très vite on comprend, on craint ce qui va se passer. Ishizuka suit un schéma somme toute prévisible, mais c'est ce côté prévisible qui offre toute leur force aux événements dépeints, au drame qui est sur le point d'avoir lieu. L'après-drame est encore plus terrible : le sentiment de culpabilité de Kumi, le devoir terrible de tenir la famille au courant... et, chose finalement rare dans la série, l'optimisme et le sourire de Sanpo qui s'effacent totalement. Ishizuka évite juste à temps le pathos grâce à sa narration impassible et au fait qu'il n'en rajoute pas dans le dramatique, car au bout du compte on retrouve une lueur positive.
Et au bout du compte, c'est un choix important que Sanpo fait en fin de tome, un choix qui annonce une suite captivante.
J'aurais mis 19 au tome si la qualité d'impression n'avait pas été si dégueulasse (sérieusement c'est de pire en pire, j'ai quelques pages quasiment illisibles à cause de l'encre qui a bavé de partout... De la part d'un gros éditeur comme Glénat, ça devient lamentable).