Un titre original et atypique, tant dans son graphisme que sa narration, pleine de non-dits et de sous-entendus, le tout sans tomber dans de la lourdeur inutile. Au contraire, le trait léger de la mangaka et les tons choisis pour les couleurs (pastels pour le monastère, plus vives pour la ville) contribuent à une atmopshère générale apaisante. Une bonne pioche pour Komikku, en espérant que d'autres oeuvres de Aoi Ikebe nous parviennent.
Transcendant par la particularité des dessins et la façon dont l'histoire est raconter. On devine, on découvre ce qu'est la vie de monastère ...Et qu'elle vie !
Je ressens encore ce sentiment de bien être, de sérénité et de poésie me caresser l'échine.
J'ai hâte de pouvoir lire d'autre oeuvre de cette auteur ! Komikku, vous êtes prêt ? haha
Un titre formidable, apaisant et d'une beauté délicate. L'auteure agence les principaux aspects de son récit dans un jeu de couleurs, d'ombres et de lumières savamment orchestrés autour des thèmes antinomiques de l'abnégation (les couloirs autères du monastère) et de la tentation (le quartier chaud -red light district du bourg voisin). Même si la nature de la religion pratiquée n'est jamais dévoilée, plusieurs objets et rites évoquent fortement la foi chrétienne (la croix formée par les fenêtres et les ombres de vitraux, l'autel et son tapis rouge comme reflet d'un parcours initiatique vers le sacrifice de soi au nom du Seigneur, les vêpres, les mâtines, la prière du repas, etc.).
L'éditeur nous invite à imaginer le lieu exacte où se déroule le récit : personnellement, je me suis imaginé quelque part en Bourgogne, à la fin du XV° siècle.
Je ne connaissais pas du tout cette illustratrice mais son histoire m'a transporté à m'en faire perdre mon latin et ma retenue sur la note que je lui attribue. En attendant l'arrivée d'autres titres de cette auteure, je remercie Komikku de m'avoir fait découvrir cet opus mirabilis.
De Hitsuji [5905 Pts], le 12 Décembre 2015 à 14h31
Un titre original et atypique, tant dans son graphisme que sa narration, pleine de non-dits et de sous-entendus, le tout sans tomber dans de la lourdeur inutile. Au contraire, le trait léger de la mangaka et les tons choisis pour les couleurs (pastels pour le monastère, plus vives pour la ville) contribuent à une atmopshère générale apaisante. Une bonne pioche pour Komikku, en espérant que d'autres oeuvres de Aoi Ikebe nous parviennent.
De Haaneul [359 Pts], le 28 Novembre 2015 à 16h37
Transcendant par la particularité des dessins et la façon dont l'histoire est raconter. On devine, on découvre ce qu'est la vie de monastère ...Et qu'elle vie !
Je ressens encore ce sentiment de bien être, de sérénité et de poésie me caresser l'échine.
J'ai hâte de pouvoir lire d'autre oeuvre de cette auteur ! Komikku, vous êtes prêt ? haha
De Idam [2592 Pts], le 28 Novembre 2015 à 09h45
Un titre formidable, apaisant et d'une beauté délicate. L'auteure agence les principaux aspects de son récit dans un jeu de couleurs, d'ombres et de lumières savamment orchestrés autour des thèmes antinomiques de l'abnégation (les couloirs autères du monastère) et de la tentation (le quartier chaud -red light district du bourg voisin). Même si la nature de la religion pratiquée n'est jamais dévoilée, plusieurs objets et rites évoquent fortement la foi chrétienne (la croix formée par les fenêtres et les ombres de vitraux, l'autel et son tapis rouge comme reflet d'un parcours initiatique vers le sacrifice de soi au nom du Seigneur, les vêpres, les mâtines, la prière du repas, etc.).
L'éditeur nous invite à imaginer le lieu exacte où se déroule le récit : personnellement, je me suis imaginé quelque part en Bourgogne, à la fin du XV° siècle.
Je ne connaissais pas du tout cette illustratrice mais son histoire m'a transporté à m'en faire perdre mon latin et ma retenue sur la note que je lui attribue. En attendant l'arrivée d'autres titres de cette auteure, je remercie Komikku de m'avoir fait découvrir cet opus mirabilis.
D's©