Encore plus d'incompréhension dans ce deuxième et dernier tome.
Soit disant frères de sang mais ca ne pose pas de problème que l'un ne voit plus son père et l'autre sa mère ? Que quand Izumi voit sa mère et inversement depuis tant d'année, aucune émotion, c'est à peine si elle le reconnait. C'est comme si ca n'a jamais été son fils. Le comportement est surresliste et amène plus d'incompréhension. Cela s'ajoute quand izumi va passer les fêtes dans sa famille. Doit on rappeler qu'à ce moment, le père est aussi le père de Kaoru ?
De plus, les liens charnels et sentimentaux ont du mal à convaincre. Ils se sont quittés enfants et bim il suffit que l'un voit l'autre une seule fois pour se dire qu'en fait il est amoureux de son frère ?
Je suis extrêment décue de la conclusion de cette oeuvre. De plus, coté édition, une erreur dans une bulle où le japonais n'a pas été enlevé et est au dessus du francais.
Certes de beaux dessins, de beaux personnages, mais une histoire qui avait de bons atouts mais où l'auteur s'est pris le mur.
De Einah [4368 Pts], le 21 Novembre 2020 à 13h28
Encore plus d'incompréhension dans ce deuxième et dernier tome.
Soit disant frères de sang mais ca ne pose pas de problème que l'un ne voit plus son père et l'autre sa mère ? Que quand Izumi voit sa mère et inversement depuis tant d'année, aucune émotion, c'est à peine si elle le reconnait. C'est comme si ca n'a jamais été son fils. Le comportement est surresliste et amène plus d'incompréhension. Cela s'ajoute quand izumi va passer les fêtes dans sa famille. Doit on rappeler qu'à ce moment, le père est aussi le père de Kaoru ?
De plus, les liens charnels et sentimentaux ont du mal à convaincre. Ils se sont quittés enfants et bim il suffit que l'un voit l'autre une seule fois pour se dire qu'en fait il est amoureux de son frère ?
Je suis extrêment décue de la conclusion de cette oeuvre. De plus, coté édition, une erreur dans une bulle où le japonais n'a pas été enlevé et est au dessus du francais.
Certes de beaux dessins, de beaux personnages, mais une histoire qui avait de bons atouts mais où l'auteur s'est pris le mur.