Jojo's bizarre adventure - Saison 7 - Steel Ball Run Vol.15 - Actualité manga
Jojo's bizarre adventure - Saison 7 - Steel Ball Run Vol.15 - Manga

Avis sur Jojo's bizarre adventure - Saison 7 - Steel Ball Run Vol.15

Steel Ball Run - JoJo no Kimyôna bôken

nolhane

De nolhane [6581 Pts], le 15 Février 2022 à 21h02

16/20

Une pause dans la course mais pas pour autant du repos pour nos personnages tant se volume se révèle encore une fois éprouvant pour eux. 

Ce qui se passe dans ce tome est parfois assez difficile à suivre mais en même tant tellement original et inventif que s'en est impressionnant. La suite s'annonce toujours plus rude pour nos héros mais la course reste vraiment palpitante!

Death

De Death [1011 Pts], le 30 Juillet 2017 à 21h07

14/20

La lecture a été extrêmement difficile car je n'ai rien compris de ce qui se passait durant les 3/4 du tome. Je pense que c'était l'effet voulu par l'auteur, avec toutes les métaphores visuelles (j'imagine..), mais j'étais tout de même assez perplexe en refermant ce tome. 

 

J'espère que le suite sera plus claire.

Alphonse

De Alphonse [421 Pts], le 21 Mars 2016 à 21h43

17/20

Araki aura sans doute surestimé une partie de son lectorat avec les qualités conceptuelles de cet ouvrage ; mais il doit probablement s’en moquer. Depuis le début de Steel Ball Run je me demande si l’auteur aura le cran de nous ressortir un machin comme le tome des escargots de Stone Ocean… et bien le voici !

 

Un ouvrage hautement sophistiqué et volontairement voulu comme littéraire : un huit-clos bourré de figures de style : notamment la symbolisme de ce qui nous échappe et que nous poursuivons toujours en vain : cristallisé ici par la souris que pourchasse Johnny (métaphore de sa quête des pièces du cadavre qui lui glissent constamment entre les doigts), de surcroit, mis en relief, par contraste, avec le pouvoir du stand adverse qui affuble chacun de tout ce dont il a souhaité se débarrasser : magistral. Sans évoquer toutes les strates sous-jacentes : les flashbacks, les références croisées à la guerre de sécession (esthétisme de l’antagoniste secondaire, touche musicale…) ou encore le champ lexical biblique (Eglise-décharge, pseudo eau bénite purificatrice, bonne sœur face à ses péchés, apparition du Saint,…).

 

Aussi, j’apprécie lorsque les auteurs malmènent les lecteurs à l’instar de ses protagonistes – les vases communiquant – afin d’amplifier l’impact émotionnel d’une redistribution négative des cartes en fin de tome : avec ce final qui se clôture sur un ultime retournement de situation jamais vu nulle part ailleurs et complètement mégalomane : « outstanding » !

 

Si le précédent ouvrage consacrait nos héros victorieux, il s’agira, bien évidemment et en conséquence, ici, d’un tome « point de bascule » qui s’affère à leur déchéance pour faire entrer en scène ce qui semble désormais être l’antagoniste principal de cette partie.

 

Bref, quelque chose que seul Araki sait faire ; comme Koiwai j’ai été interpellé par les sentiments de densité et de gravité exhalés par la double planche avec la silhouette du Saint : à couper le souffle. C’est précisément à l’aune de ce genre de production que l’on peu reconnaître les grands auteurs : une prestation unique en son genre : diamant de pénombre qui nous saisi de ses frêles éclats rougeâtres ; à l’instar de cette incroyable couverture.

alberichsama

De alberichsama, le 09 Janvier 2016 à 21h13

10/20

Mauvais tome...

Grand fan de la première heure, je constate que SBR devient de plus en plus ennuyeux à lire après le combat contre Ringo Roadagain. Ce tome propose les mêmes défauts récurrents depuis déjà 3/4 volumes, une histoire qui n'avance pas, un recentrage sur jayro/Johnny oubliant ainsi TOUT le reste qui a été mis en place dans les premiers tomes, un combat fouilli et incompréhensible, un adversaire sans saveur ni charisme (malgré un pouvoir intéressant Araki foire totalement sa mise en application), des héros qui finissent démembrés, découpés, en sang, décapités et qui se relevent comme si de rien n'était par une pirouette scénaritique

Vraiment décevant alors que SBR promettant tellement avec des persos comme Pocoloco, diego, sandman et des scènes d'une grande tension comme les 500 derniers metres avant les checkpoint d'étapes etc...le manga est au final très ennuyeux à suivre et surtout très confus...j'espère sincérement que la suite va relever le niveau car les tomes 11 à 15 sont vraiment clairement la baisse de régime de la série.

LcV

De LcV [736 Pts], le 16 Juin 2015 à 10h13

19/20

Qu'elle fin de tome !!!

Et quelle évolution pour Johnny, à la fois dans ses pouvoir et dans sa personnalité !

misae

De misae [1083 Pts], le 13 Juin 2015 à 16h34

Sérieux Erkael, arrête de spoiler ! Tes critiques sont déjà assez mauvaises comme ça, si en plus tu fais le malin par rapport à ceux qui suivent la publication française...

manga27

De manga27 [2075 Pts], le 13 Juin 2015 à 12h30

14/20

Ce quinzième volume de Steel Ball Run était certes intéressant au niveau des personnages (on y (re)découvre leurs regrets et crimes du passé) et sur le Stand Civil War, très intéressant mais qui est malheureusement très tiré par les cheveux... La confusion règne ici, à tel point qu'on a du mal à comprendre la fin de cet arc...

 

Petit rebondissement à la fin du tome concernant le président Valentine, qui sera mis en avant dans le prochain tome. 

Koiwai

De Koiwai [12681 Pts], le 08 Juin 2015 à 17h28

17/20

Hé ben, au-delà du bonheur de retrouver la charismatique Hot Pants (qui est toutefois assez en retrait), je me suis complètement laissé happer par l'affrontement du tome, dans lequel Araki étire pourtant clairement les choses. Certains passages auraient clairement mérité d'être écourtés, notamment ceux où Johnny tente de choper la souris...

Mais le fait est que j'ai trouvé le stand Civil War assez génial et bien pensé dans son fonctionnement. Bien que très difficile à cerner, le stand possède des facultés qui amènent beaucoup de choses :

- Quelques informations sur les regrets passés des protagonistes. On était déjà au courant pour Johny, par contre on découvre enfin les motivations de Hot Pants (et je dois quand même avouer que je m'attendais à un peu plus pour elle...).

- Le concept même du stand oblige Johnny à ruser de façon très prenante dans la dernière ligne droite du combat, qui s'avère franchement incertaine jusqu'au bout.

- Ce très délicat combat pousse Johnny à de nouvelles évolutions, que ce soit au niveau de son stand ou au niveau psychologique. De plus, on est forcément intrigué par les conseils qu'il reçoit de cette mystérieuse silhouette aux allures de Christ...

 

Bref, c'était vraiment bon. Assez complexe, mais inspiré et riche. Les dernières pages, elles, offrent un bon petit rebondissement qui promet une suite où le président devrait plus se révéler, et où Lucy devrait vraisemblablement revenir en force.

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