Bon ben comme on pouvait s'y attendre vu que la série se poursuit au Japon avec deux autres saisons, on a là une non-fin totale, qui ne conclut rien du tout. Au bout de 33 tomes, difficile de faire plus frustrant que ce finish qui n'en est pas un.
A part ça, le tome se lit tout seul, mais le goût de l'auteur pour rallonger encore et toujours la sauce est une épine dans le pied. Le choix final de Miyabi concernant Aki, qu'il laisse partir sur la promesse d'un nouveau combat juste parce qu'il s'amuse bien avec lui, est digne d'un shônen banal de seconde zone et pas d'un récit horrifique comme Higanjima. Mais bon, c'est loin d'être la 1ère fois que le mangaka tombe dans ce genre de ficelles faciles. Ici c'est une vieille ficelle énervante, juste bonne à prolonger inutilement la série sur une saison 2 après 33 tomes qui s'avéraient déjà souvent répétitifs. Je regrette aussi qu'en dehors de Miyabi et d'Aki, tous les autres personnages ne servent strictement à rien dans ce pseudo-final.
Merci malgré tout à Soleil d'être arrivé au bout de la série (enfin, de la 1ère saison...), même si savoir qu'on n'aura sûrement jamais la suite (et donc qu'on n'aura jamais de fin potable) est frustrant.
La dexième moitié de ce tome double est peut-être la plus intéressante, pour ses petits chapitres autour du frères d'Aki, et surtout pour l'histoire courte en fin de tome qui est celle qui a lancé la carrière de l'auteur (avec le prix Tetsuya Chiba à la clé) et qui s'avère bien menée.
De Erkael [1049 Pts], le 27 Décembre 2016 à 12h37
Ca méritait pas un 1 quand même...
Vous savez pas faire dans la demi mesure...il existe des notes entre 1 et 19
De Towikool, le 27 Décembre 2016 à 09h20
Profondément déçus par cette non-fin. Une année complète à attendre le dénouement de cette histoire. Tout ça pour.....ça
De Koiwai [13048 Pts], le 05 Décembre 2016 à 13h58
Bon ben comme on pouvait s'y attendre vu que la série se poursuit au Japon avec deux autres saisons, on a là une non-fin totale, qui ne conclut rien du tout. Au bout de 33 tomes, difficile de faire plus frustrant que ce finish qui n'en est pas un.
A part ça, le tome se lit tout seul, mais le goût de l'auteur pour rallonger encore et toujours la sauce est une épine dans le pied. Le choix final de Miyabi concernant Aki, qu'il laisse partir sur la promesse d'un nouveau combat juste parce qu'il s'amuse bien avec lui, est digne d'un shônen banal de seconde zone et pas d'un récit horrifique comme Higanjima. Mais bon, c'est loin d'être la 1ère fois que le mangaka tombe dans ce genre de ficelles faciles. Ici c'est une vieille ficelle énervante, juste bonne à prolonger inutilement la série sur une saison 2 après 33 tomes qui s'avéraient déjà souvent répétitifs. Je regrette aussi qu'en dehors de Miyabi et d'Aki, tous les autres personnages ne servent strictement à rien dans ce pseudo-final.
Merci malgré tout à Soleil d'être arrivé au bout de la série (enfin, de la 1ère saison...), même si savoir qu'on n'aura sûrement jamais la suite (et donc qu'on n'aura jamais de fin potable) est frustrant.
La dexième moitié de ce tome double est peut-être la plus intéressante, pour ses petits chapitres autour du frères d'Aki, et surtout pour l'histoire courte en fin de tome qui est celle qui a lancé la carrière de l'auteur (avec le prix Tetsuya Chiba à la clé) et qui s'avère bien menée.