Complétement en accord avec la critique et les commentaires. C'est dommage, ça commençait bien et puis tout part n'importe comment. Surtout qu'il ne fallait vraiment pas grand chose pour rendre le tout plus réaliste et cohérent. Si l'auteur avait fait partir Kiyo dans une autre ville mais toujours au Japon (au lieu de l'Europe) avec de rares retours lors de vacances pour voir sa famille, rien que ça, ça aurai suffit à rendre le truc plus réaliste et réalisable. Car le coup de partir à l'étranger et adieu la famille et les amours 'à dans 6 ans' euh.... ainsi que l'allée-retour angleterre japon pour une journée pour parler à un ancien prof... euh c'est le prof qui lui paye le billet d'avion j'espère! Je ne sais pas ce qui s'est passé dans la tête de l'auteur, mais les situations étaient vraiment non réalistes. C'est dommage, car l'histoire partait bien et j'aimais bien le dessin. Mais alors les choix le scénario... alala!
Ce spin off est sympa, agréable à lire mais sens plus... tellement cliché et prévisible... J'en attendais beaucoup plus. C'est dommage pourtant, l'idée de base était bien.
Bon, moi qui n'avait pas vraiment aimé Please Daddy fall in love, je ne savais pas si je laissais une chance au spin off ou pas.
Maintenant j'ai ma réponse. Merci pour la critique de la rédaction (qui comme le commentaire en dessous du mien le souligne, était très drôle) je sais maintenant que je vais dépenser mon argent ailleurs.
Si j'avais apprécié Please Daddy fall in love malgré ses dénouements heureux quelques peu faciles, je suis vraiment déçue de sa suite Growing love. Dans le deux premiers chapitres, tout va bien puisque l'on retrouve avec plaisir la famille homoparentale idéale du premier opus, quelques années plus tard. Le petit Rintarô a grandi et il a toujours le béguin pour Natsuki, le copain de son père, qui l'a en grande partie élevé. Suite à une dispute entre ses papas, pourtant toujours aussi amoureux, il hésite à saisir sa chance mais décide finalement de les aider à se réconcilier et renonce définitivement à son premier amour. C'est son meilleur ami - et voisin - depuis le jardin d'enfance, Kiyo, qui le console. Très attentionné à son égard, ce dernier ne tarde pas à lui faire part de ses propres sentiments - n'avait-il pas annoncé qu'il voulait épouser Rin dès la maternelle ? Pour l'instant, son ami ne peut répondre à ses sentiments amoureux, mais il reste les deux tiers du manga pour que cela évolue...
Ici, les choses se gâtent ! Tout le potentiel de ce mignon couple en devenir est gâché par un scénario à la fois risible et incohérent. Rin découvre le jour de la rentrée que Kiyo est parti faire ses études en Angleterre - ils sont quand même voisins de palier... Reviendra-t-il pour les prochaines vacances ? Non, il a dit à sa mère qu'il reviendrait une fois son diplôme universitaire en poche, c'est à dire dans pas moins de six ans ! Et c'est sans compter les éventuels redoublements... Sous prétexte de parler football avec le prof de sport, un camarade de classe compatissant va réussir à le faire revenir pour la plus grande joie de Rintarô qui aura d'abord du annuler un voyage familial prévu pile poil ce jour là - pas de chance. Car précisons que Kiyo fait le voyage Angleterre-Japon pour une journée seulement ! Manifestement très à l'aise financièrement et peu regardant sur les heures de vol, ce dernier n'a même pas prévu d'aller embrasser sa maman au passage... Et ça continue dans le n'importe quoi puisque Kiyo, dans une attitude froide à l'opposée de celle qu'il avait précédemment et malgré une déclaration réciproque de sentiments, repart en Europe. Rin le laisse partir sans une larme sur ces mots Eh bien... à dans six ans, alors !. Le volume se termine en queue de poisson par une visite surprise de Rintarô en Angleterre où il n'est visiblement pas le bienvenu. A ce stade, le personnage de Kiyo devient carrément antipathique de part son attitude distante à l'excès là où il n'était avant que bienveillance. Les raisons évoquées sont peu crédibles - ne pas être tenté de succomber au désir de la chair - et l'on pourrait penser que le personnage est masochiste si l'on croyait encore un peu à sa sincérité. La fin est expédiée et ne nous offre même pas la satisfaction d'une réelle conclusion, dans un sens ou dans l'autre.
En bref, si je ne m'attendais pas à beaucoup d'originalité sur ce titre, je ne pensais pas trouver un scénario aussi bâclé, à se demander ce qui est passé par la tête de l'auteur - et de ses éditeurs - à partir du chapitre 3. Le seul point positif pour moi fut de retrouver Satô et Natsuki, les attachants protagonistes de Daddy please fall in love. Si vous voulez acheter du yaoi ce mois-ci, tournez-vous plutôt vers le Nar Kiss de Taifu, un titre qui a le mérite d'être mignon et distrayant, lui.
De smgbuffyliliy [5876 Pts], le 31 Décembre 2018 à 23h45
Complétement en accord avec la critique et les commentaires. C'est dommage, ça commençait bien et puis tout part n'importe comment. Surtout qu'il ne fallait vraiment pas grand chose pour rendre le tout plus réaliste et cohérent. Si l'auteur avait fait partir Kiyo dans une autre ville mais toujours au Japon (au lieu de l'Europe) avec de rares retours lors de vacances pour voir sa famille, rien que ça, ça aurai suffit à rendre le truc plus réaliste et réalisable. Car le coup de partir à l'étranger et adieu la famille et les amours 'à dans 6 ans' euh.... ainsi que l'allée-retour angleterre japon pour une journée pour parler à un ancien prof... euh c'est le prof qui lui paye le billet d'avion j'espère! Je ne sais pas ce qui s'est passé dans la tête de l'auteur, mais les situations étaient vraiment non réalistes. C'est dommage, car l'histoire partait bien et j'aimais bien le dessin. Mais alors les choix le scénario... alala!
De xTrashiiix [1335 Pts], le 14 Juillet 2015 à 21h57
Ce spin off est sympa, agréable à lire mais sens plus... tellement cliché et prévisible... J'en attendais beaucoup plus. C'est dommage pourtant, l'idée de base était bien.
De Rukia05 [1807 Pts], le 03 Juin 2015 à 16h55
Bon, moi qui n'avait pas vraiment aimé Please Daddy fall in love, je ne savais pas si je laissais une chance au spin off ou pas.
Maintenant j'ai ma réponse. Merci pour la critique de la rédaction (qui comme le commentaire en dessous du mien le souligne, était très drôle) je sais maintenant que je vais dépenser mon argent ailleurs.
De cicipouce [3179 Pts], le 03 Juin 2015 à 13h59
Merci NiDNiM pour ta critique, elle était à hurler de rire !!! xDD
De Azu, le 31 Mai 2015 à 11h09
Un tome sympa, moi bien que Daddy fall in love.
De Zebue [548 Pts], le 25 Mai 2015 à 18h55
Si j'avais apprécié Please Daddy fall in love malgré ses dénouements heureux quelques peu faciles, je suis vraiment déçue de sa suite Growing love. Dans le deux premiers chapitres, tout va bien puisque l'on retrouve avec plaisir la famille homoparentale idéale du premier opus, quelques années plus tard. Le petit Rintarô a grandi et il a toujours le béguin pour Natsuki, le copain de son père, qui l'a en grande partie élevé. Suite à une dispute entre ses papas, pourtant toujours aussi amoureux, il hésite à saisir sa chance mais décide finalement de les aider à se réconcilier et renonce définitivement à son premier amour. C'est son meilleur ami - et voisin - depuis le jardin d'enfance, Kiyo, qui le console. Très attentionné à son égard, ce dernier ne tarde pas à lui faire part de ses propres sentiments - n'avait-il pas annoncé qu'il voulait épouser Rin dès la maternelle ? Pour l'instant, son ami ne peut répondre à ses sentiments amoureux, mais il reste les deux tiers du manga pour que cela évolue...
Ici, les choses se gâtent ! Tout le potentiel de ce mignon couple en devenir est gâché par un scénario à la fois risible et incohérent. Rin découvre le jour de la rentrée que Kiyo est parti faire ses études en Angleterre - ils sont quand même voisins de palier... Reviendra-t-il pour les prochaines vacances ? Non, il a dit à sa mère qu'il reviendrait une fois son diplôme universitaire en poche, c'est à dire dans pas moins de six ans ! Et c'est sans compter les éventuels redoublements... Sous prétexte de parler football avec le prof de sport, un camarade de classe compatissant va réussir à le faire revenir pour la plus grande joie de Rintarô qui aura d'abord du annuler un voyage familial prévu pile poil ce jour là - pas de chance. Car précisons que Kiyo fait le voyage Angleterre-Japon pour une journée seulement ! Manifestement très à l'aise financièrement et peu regardant sur les heures de vol, ce dernier n'a même pas prévu d'aller embrasser sa maman au passage... Et ça continue dans le n'importe quoi puisque Kiyo, dans une attitude froide à l'opposée de celle qu'il avait précédemment et malgré une déclaration réciproque de sentiments, repart en Europe. Rin le laisse partir sans une larme sur ces mots Eh bien... à dans six ans, alors !. Le volume se termine en queue de poisson par une visite surprise de Rintarô en Angleterre où il n'est visiblement pas le bienvenu. A ce stade, le personnage de Kiyo devient carrément antipathique de part son attitude distante à l'excès là où il n'était avant que bienveillance. Les raisons évoquées sont peu crédibles - ne pas être tenté de succomber au désir de la chair - et l'on pourrait penser que le personnage est masochiste si l'on croyait encore un peu à sa sincérité. La fin est expédiée et ne nous offre même pas la satisfaction d'une réelle conclusion, dans un sens ou dans l'autre.
En bref, si je ne m'attendais pas à beaucoup d'originalité sur ce titre, je ne pensais pas trouver un scénario aussi bâclé, à se demander ce qui est passé par la tête de l'auteur - et de ses éditeurs - à partir du chapitre 3. Le seul point positif pour moi fut de retrouver Satô et Natsuki, les attachants protagonistes de Daddy please fall in love. Si vous voulez acheter du yaoi ce mois-ci, tournez-vous plutôt vers le Nar Kiss de Taifu, un titre qui a le mérite d'être mignon et distrayant, lui.