C'est plus une aventure de Cutie Honey que de Grendizer...
Mettons un bémol à cette rumeur persistante.
Toutes les versions manga sde Grendizer (Goldorak) démarrent à la même date et se terminent à la même date !
D'octobre 1975 à Mars 1977, trois mangas différents dans trois magazines différents voient le jour.
TV Magazine : C'est la version sur laquelle officie vraiment Go Nagai. Cependant bien qu'il ne soit pas crédité aux dessins, c'est Ken Ishikawa qui dessine (dans des épisodes HS) les DEUX LONGS crossovers avec les Mazinger. Mai 1976 : Nagai et Ishikawa quittent le bâteau, Nagai n'ayant jamais aimé le fait que Grendizer soit plus une commande commerciale de Toei que sa propre création. Ils sont remplacés par Yuu Okazaki qui officie sauf dans un seul des deux HS consacrés au robot dans le magazine jusqu'en 1977 et conclue l'histoire. Un épisode HS adaptant le film sur le Dragosaure est dessiné par Gosaku Ota et ne fait pas partie de la continuité de cet auteur (d'où la présence du Great Mazinger et de son pilote pourtant annoncé décédé par Alcor lors du crossover avec les Mykènes chez OTA)
Bôken Ô : c'est la version sur laquelle officie Gosaku Ota.
TV LAND : c'est la version d'Eiji Imamishi avec plusieurs HS dont un par Akira Mimori (le Dragosaure là aussi). Le seul Tankobon existant de cette version ne republie que les premiers chapitres en oubliant de nombreuses pages de la prépublication dont... les 4 premières. Le dessin est fidèle à l'animé mais l'histoire est humoristique : le Grendizer est souvent très locace (signalant même à Alcor qu'il n'est pas le paquet de lessive Grenzer mais bien GenDiZER) et ls Golgoths aussi (Golgoth 1 souffrant de dépression nerveuse parce qu'il s efait insulter par Hydargos et allant même jusqu'à changer de camp). Quand au Profsseur Procyon, c'est un alcoolo notoire. Notons un nouveau perso : une fillette ont les parents ont été tués par Véga et qui a été recueillie par les habitants du Ranch du Bouleau-Blanc. Phénicia n'apparait que quelques panels sur un épisode ou deux sans avoir un grand rôle.
Je rejoins globalement l'avis de la critique : le tome n'est pas un indispensable, il est moins bon que l'original (et bien meilleur que la version d'Ota) mais se laisse lire sans déplaisir, avec dees personnages sympathiques et d'intéressants retournements de situation sur l'identité des différents personnages notamment. Je regrette quand même une lecture trop rapide (une demi-heure pour les deux tomes) et une absence de véritable fin au deuxième volume. La série aurait mérité d'être plus longue. Mais je ne regrette pas mon achat.
De Judex6, le 21 Avril 2023 à 13h52
C'est plus une aventure de Cutie Honey que de Grendizer...
Mettons un bémol à cette rumeur persistante.
Toutes les versions manga sde Grendizer (Goldorak) démarrent à la même date et se terminent à la même date !
D'octobre 1975 à Mars 1977, trois mangas différents dans trois magazines différents voient le jour.
TV Magazine : C'est la version sur laquelle officie vraiment Go Nagai. Cependant bien qu'il ne soit pas crédité aux dessins, c'est Ken Ishikawa qui dessine (dans des épisodes HS) les DEUX LONGS crossovers avec les Mazinger. Mai 1976 : Nagai et Ishikawa quittent le bâteau, Nagai n'ayant jamais aimé le fait que Grendizer soit plus une commande commerciale de Toei que sa propre création. Ils sont remplacés par Yuu Okazaki qui officie sauf dans un seul des deux HS consacrés au robot dans le magazine jusqu'en 1977 et conclue l'histoire. Un épisode HS adaptant le film sur le Dragosaure est dessiné par Gosaku Ota et ne fait pas partie de la continuité de cet auteur (d'où la présence du Great Mazinger et de son pilote pourtant annoncé décédé par Alcor lors du crossover avec les Mykènes chez OTA)
Bôken Ô : c'est la version sur laquelle officie Gosaku Ota.
TV LAND : c'est la version d'Eiji Imamishi avec plusieurs HS dont un par Akira Mimori (le Dragosaure là aussi). Le seul Tankobon existant de cette version ne republie que les premiers chapitres en oubliant de nombreuses pages de la prépublication dont... les 4 premières. Le dessin est fidèle à l'animé mais l'histoire est humoristique : le Grendizer est souvent très locace (signalant même à Alcor qu'il n'est pas le paquet de lessive Grenzer mais bien GenDiZER) et ls Golgoths aussi (Golgoth 1 souffrant de dépression nerveuse parce qu'il s efait insulter par Hydargos et allant même jusqu'à changer de camp). Quand au Profsseur Procyon, c'est un alcoolo notoire. Notons un nouveau perso : une fillette ont les parents ont été tués par Véga et qui a été recueillie par les habitants du Ranch du Bouleau-Blanc. Phénicia n'apparait que quelques panels sur un épisode ou deux sans avoir un grand rôle.
De Cyril91 [1497 Pts], le 20 Janvier 2017 à 06h39
Je rejoins globalement l'avis de la critique : le tome n'est pas un indispensable, il est moins bon que l'original (et bien meilleur que la version d'Ota) mais se laisse lire sans déplaisir, avec dees personnages sympathiques et d'intéressants retournements de situation sur l'identité des différents personnages notamment. Je regrette quand même une lecture trop rapide (une demi-heure pour les deux tomes) et une absence de véritable fin au deuxième volume. La série aurait mérité d'être plus longue. Mais je ne regrette pas mon achat.