Peu d'interet, il s'agit d'un titre survendu par l'editeur alors que c'est un gros flop au Japon, le prépublication s'est arrêté super rapidement. Vous n'aurez jamais le developpement que meritait l'idée initiale, tout est trop limité et mal fagoté !
Hiroya Oku est un des mangaka les plus en vogue depuis les années 2000 et la publication de sa série choc et populaire, Gantz. Comme souvent les jeunes mangaka ont tendance à s’inspirer des œuvres majeures pour percer dans un esprit plus fan qu’auteur, au risque de ne faire que répéter ce qui a bien marché précédemment. De Gantz, Hiroya Oku reprend le principe d’un groupe de jeunes gens dotés de pouvoirs ultra-technologiques frisant la magie, dont ils doivent se servir pour éliminer (de la façon la pus gore possible…) tout un tas de gens. Repris également, le style graphique, plutôt agréable mais très fortement doté d’effets numériques pour donner un aspect hyper-réaliste aux décors notamment.
Ne nous mentons pas, le rythme et le déroulé de l’intrigue fonctionnent plutôt bien si l’on accepte les clichés habituels des lycéens japonais (avec sa figure égoïste, sa file forte, ses petites culottes, fortes poitrines et travaux de groupe). En ce sens l’introduction de ce qui ressemble beaucoup à un reboot de Gantz fonctionne et vous permettra de passer un plutôt bon moment sur cette première création d’un auteur qui a démarré sur la plateforme Days Neo (qui sert de marché rapide aux journaux de prépublication). Avec une introduction très rapide qui ne perd pas de temps en palabres, nous suivons les deux personnages de lycéens caricaturaux mais faciles à appréhender et la présentation des codes de ce nouvel univers via un « concierge » androïde tout puissant, avant des séquences de meurtres pas si trash que l’on aurait pu l’attendre.
Plutôt joli bien qu’assez vide sur pas mal de cases, Gestalt est moyennement surprenant mais sans grosses fautes et doté d’une traduction qui facilite le plaisir littéraire. Terminé (semble t’il précocement) en trois tomes au Japon, cet itinéraire peut être la bonne nouvelle qui aura poussé l’auteur à assumer un rythme bref ou empêcher le titre de décoller en nous laissant dans l’attente. Nous verrons avec la suite qui peut se laisser tenter sans risque.
Lire sur le blog:https://etagereimaginaire.wordpress.com/2023/05/13/gestalt-1/
J'ai bien aimé ce premier tome et j'ai bien envie de voir la suite. Je ne pense pas qu'on puisse juger l'histoire sur un seul tome donc j'attends de voir comme ça va évoluer.
Je me suis laissé avoir par le résumé (Ki-oon est toujours bon pour donner envie), mais il faut avouer que c'est un des trucs sinon le truc le plus mauvais édité par cet éditeur ces dernières années. Une sorte de Hiroya Oku du pauvre, avec beaucoup moins de qualités graphiques, un scénario bidon, un côté insolent qui ne prend pas et surtout des personnages complètement stupides. Comme dit Koiwai dans sa critique ça sent la série abandonnée faute de succès au Japon et à juste titre. Quelle déception !
De kogangel [60 Pts], le 02 Octobre 2023 à 16h05
Peu d'interet, il s'agit d'un titre survendu par l'editeur alors que c'est un gros flop au Japon, le prépublication s'est arrêté super rapidement. Vous n'aurez jamais le developpement que meritait l'idée initiale, tout est trop limité et mal fagoté !
De etagereimaginaire [143 Pts], le 01 Juin 2023 à 12h26
Hiroya Oku est un des mangaka les plus en vogue depuis les années 2000 et la publication de sa série choc et populaire, Gantz. Comme souvent les jeunes mangaka ont tendance à s’inspirer des œuvres majeures pour percer dans un esprit plus fan qu’auteur, au risque de ne faire que répéter ce qui a bien marché précédemment. De Gantz, Hiroya Oku reprend le principe d’un groupe de jeunes gens dotés de pouvoirs ultra-technologiques frisant la magie, dont ils doivent se servir pour éliminer (de la façon la pus gore possible…) tout un tas de gens. Repris également, le style graphique, plutôt agréable mais très fortement doté d’effets numériques pour donner un aspect hyper-réaliste aux décors notamment.
Ne nous mentons pas, le rythme et le déroulé de l’intrigue fonctionnent plutôt bien si l’on accepte les clichés habituels des lycéens japonais (avec sa figure égoïste, sa file forte, ses petites culottes, fortes poitrines et travaux de groupe). En ce sens l’introduction de ce qui ressemble beaucoup à un reboot de Gantz fonctionne et vous permettra de passer un plutôt bon moment sur cette première création d’un auteur qui a démarré sur la plateforme Days Neo (qui sert de marché rapide aux journaux de prépublication). Avec une introduction très rapide qui ne perd pas de temps en palabres, nous suivons les deux personnages de lycéens caricaturaux mais faciles à appréhender et la présentation des codes de ce nouvel univers via un « concierge » androïde tout puissant, avant des séquences de meurtres pas si trash que l’on aurait pu l’attendre.
Plutôt joli bien qu’assez vide sur pas mal de cases, Gestalt est moyennement surprenant mais sans grosses fautes et doté d’une traduction qui facilite le plaisir littéraire. Terminé (semble t’il précocement) en trois tomes au Japon, cet itinéraire peut être la bonne nouvelle qui aura poussé l’auteur à assumer un rythme bref ou empêcher le titre de décoller en nous laissant dans l’attente. Nous verrons avec la suite qui peut se laisser tenter sans risque.
Lire sur le blog:https://etagereimaginaire.wordpress.com/2023/05/13/gestalt-1/
De Netzuko9, le 11 Mai 2023 à 23h12
J'ai bien aimé ce premier tome et j'ai bien envie de voir la suite. Je ne pense pas qu'on puisse juger l'histoire sur un seul tome donc j'attends de voir comme ça va évoluer.
De Onechanbara [4313 Pts], le 09 Mai 2023 à 18h56
Je me suis laissé avoir par le résumé (Ki-oon est toujours bon pour donner envie), mais il faut avouer que c'est un des trucs sinon le truc le plus mauvais édité par cet éditeur ces dernières années. Une sorte de Hiroya Oku du pauvre, avec beaucoup moins de qualités graphiques, un scénario bidon, un côté insolent qui ne prend pas et surtout des personnages complètement stupides. Comme dit Koiwai dans sa critique ça sent la série abandonnée faute de succès au Japon et à juste titre. Quelle déception !